Emprise

Une terrible tempête s'abat sur la petite ville de Shelter's Lot, dans le Maine, en ce 13 avril 1996, avec des vents très forts et une pluie diluvienne. Ce soir-là, Mark Walemond, un docteur renommé, rend son dernier souffle non sans avoir fait promettre à son fils de détruire des documents secrets qui se trouvent dans un tiroir de son bureau...
Le lendemain matin, la ville se réveille doucement. Des gardes-forestiers sont appelés pour faire le décompte des dégâts occasionnés. Parmi eux, Chase Mingan qui, une fois sur place, découvre de nombreux cadavres d'animaux avant de se faire projeter à quelques mètres par quelque chose de très fort.
Au commissariat de Sherlter's Lot, le patron de la police met le sergent Monica Ruiz et le lieutenant Marcus Obson sur l'affaire. Or, lorsqu'ils se rendent au chevet du garde-forestier, celui-ci ne leur apprend pas grand-chose sauf qu'une masse sombre et immatérielle s'est jetée sur lui.
Obson se rend ensuite chez son ex-femme récupérer son gamin pour le week-end. Ce dernier est tout content de montrer à son père les chiots qui viennent de naître. Mais, lorsqu'il ouvre la porte de sa chambre, le flic et son fils découvrent une bien macabre scène: leur chienne en train de manger ses petits. Obson n'a d'autre choix que de tuer la mère qui semblait s'apprêter à l'attaquer...

Au coeur de cette petite ville du Maine, l'ambiance est plus que jamais terrifiante et glauque. En effet, des phénomènes étranges ont lieu. Les inspecteurs Ruiz et Obson, aux premières loges de cette enquête, vont être confrontés à toutes sortes de théories : des forces surnaturelles ? Des démons ? Ils ne sont pas au bout de leurs surprises. Et le lecteur non plus avec ce final inattendu. Aurélien Rosset nous offre un thriller fantastique savoureux et effrayant. L'on pense de suite à Stephen King. L'auteur fait dans l'originalité en nous proposant des planches d'articles de journaux et de rapports scientifiques. Graphiquement, le dessin manque parfois de précision mais cela n'enlève en rien le plaisir que l'on a à suivre ces deux flics dans cette enquête tortueuse.

La bande dessinée Emprise d'Aurélien Rosset est pour commencer très particulière de par son horreur évoquée par la mort d'un vieillard en 1996, Mark Walewond, laquelle est suivit de mystères. Alors qu'il est mourant, il confie à son fils une clé qui ouvre le bureau de l'asile dans lequel il travaillait auparavant. Un livre de sacrilège y est caché. Suite à sa mort, une énorme tempête s'abat sur Shelter's Lot, et de là, apparaîssent les mystères. Des enfants qui disparaîssent, parfois tués, des personnages possédés, humain ou animal, qui attaquent leurs proches ou encore des ombres maléfiques... L'agent Ruiz et Obson mènent alors une enquête. Ils ne sont pas au bout de leurs surprises lorsqu'ils rencontrent Cunningham, un ancien prêtre, lequel a confessé Walewond sur des expériences faites à l'asile avec Mendannon, son supérieur. Les deux agents sont alors tués, suite au sacrilège réalisé par Cunningham à l'aide du fameux livre.
Je n'avais jamais lu de livre d'horreur auparavant. Celui-ci est captivant, on a envie de lire la suite à tout prix. De plus, ses planches de couleurs sombres sont assez impressionantes grâce aux personnages possédés. Des faits réels, les tueurs, comme des faits iréels, les êtres maléfiques, sont présents. J'ai également remarqué que la couleur d'arrière-plan changeait à chaque pièce.

Avril 1996. Alors que la tempête fait rage, dans la petite ville de Shelter's Lot, dans le Maine, un vieil homme centenaire s'éteint doucement. Il demande à un de ses fils de détruire des documents sans les lire car il a peur qu'ils tombent en de mauvaises mains et soient à l'origine de nombreuses morts. le lendemain, les gardes forestiers envoyés pour évaluer les dégâts découvrent un charnier comportant de nombreux cadavres d'animaux mutilés et un des gardes est attaqué par ce qu'il ne peut définir que comme une ombre. Mais ce n'est que le début de l'horreur et la police, dont le lieutenant Obson et ses coéquipiers en charge de l'affaire, va devoir faire face à la disparition de plusieurs enfants avant de devoir traiter une série de morts violentes à travers la ville …
Bon, cette fois-ci, c'est purement une lecture détente que voilà ! J'ai tout de suite craqué pour cet album ressemblant à un comics américain mais de création purement française. C'est d'ailleurs le premier album de ce jeune auteur et s'il continue de la même façon, je vais régulièrement acheter sa production ! le dessin est nerveux, dynamique, avec des découpes variées et originales qui permettent de varier la lecture. L'histoire est d'ailleurs divisée en chapitres, eux-même séparés par des sortes de dossiers composés de coupures de presse, d'extraits de casiers ou de comptes-rendus d'autopsie, d'extraits de journal de bord, qui étoffent l'ensemble et cela m'a bien plu, même si j'ai eu énormément de mal à décrypter l'écriture du journal de bord du docteur (le style et la taille de la police n'ont pas aidé). Les couleurs sont plutôt sombres pour poser l'ambiance qui est glauque et effrayante. On sent bien que l'auteur a été influencé par Stephen King (le nom de la ville et son emplacement en est d'ailleurs un hommage) et consorts car l'histoire plonge dans le fantastique et l'horreur, avec quelques scènes choc bien réussies. le suspense va crescendo, n'épargnant personne dans les personnages et si certains des développements sont assez prévisibles, l'auteur ne tombe pas dans la facilité. La fin pourrait laisser penser à une suite possible, ce que j'espère fortement voir un jour paraître car je me suis régalée avec cette histoire d'Emprise !

En 1996, le docteur Mark Walewond, doyen de la communauté, va mourir. Dans ses derniers instants, il donne une clé à son fils, qui ouvre un des tiroirs de son bureau. Quelques jours après sa mort, d'étranges disparitions ont lieu, certaines personnes meurent de façon non-expliquée, et une terrible tempête meurtrière s'abat sur la ville. Shelter's Lot se transforme peu à peu en ville cauchemardesque, dans laquelle le moral et la santé mentale des personnages est mise à rude épreuve. Obson, inspecteur de renommé de la ville, va alors, aux côtés de deux de ses acolytes, fouiller le passé trouble de la ville.

Emprise, première bande dessinée d'Aurélien Rosset, nous plonge dans l'histoire sanglante et terrible de la ville de Shelter's Lost.
La beauté des dessins, ainsi que leur violence, réalise clairement les attentes du lecteur suite à la vue de la couverture sanglante, ou du résumé énigmatique. Les dessins manquent peut-être un peu de couleur, mais leur absence par moment appuie sur le côté oppressant de la BD.

Emprise est une Bande Dessinée de Aurélien Rosset. C'est une BD policière, un thriller. L'histoire se déroule dans une ville nommée Shelter's Lot située au Nord des Etats-Unis. Tout d'abord, l'histoire débute avec la mort de Marc Walewond, il remet avant sa mort un carnet secret à son fils Lionel. le même soir de ce décès, une violente tempête touche la ville de Shelter's Lot. le lendemain un certain garde forestier fait une découverte assez troublante avant d'être violemment attaqué par une « Ombre ». Puis, au fur et à mesure de l'histoire nous découvrons qu'il se passe beaucoup de choses inquiétantes, des faits ressemblant à celui du garde. Les habitants semblent devenir fous. Deux policiers enquêtent sur ces faits : le Lieutenant Marcus Obson et le Sergent Monica Ruiz. Marcus Obson va se trouver personnellement touché par ces étranges histoires, la chienne de son fils Daisy a mangé tous ses chiots. La suite du livre nous réserve quelques belles surprises.
J'ai trouvé très intéressant qu'entre chaque chapitre, des pages nommées « les dossiers de Shelter's Lot » présentent un ensemble de visuel en pleine page, par exemple des coupures de presse, des dossiers médicaux, des rapports d'autopsie… Tout cela complète l'histoire du livre.
Le graphisme est assez surprenant malgré le fait que les détails ne soient pas très précis, c'est cela qu'il ne m'a pas plu dans ce livre, car parfois on se mélangeait dans les personnages, car la tête des personnages se ressemblait. Les couleurs sont ternes mais c'est ce qui donne un effet « noir » dans le livre. J'ai remarque que dans certains chapitres, chaque couleur de graphisme représentait un lieu où un groupe de personnage se trouvait.
Le livre nous plonge dans l'histoire et nous spectateur nous nous croyons enquêteur/enquêtrice. J'ai bien aimé le livre malgré que je déteste les histoires « gores » et je vous le conseille.