J'ai choisi de lire cette bande-dessinée, car elle faisait partie de la sélection « Bulle en Fureur » 2013. Elle s'adresse à des enfants de 8 à 10 ans.
Trois petits garçons jouent dans la campagne environnante. Chaque lecteur se rappelle de moments où il a joué, avec uniquement son imagination pour limite. Il y a de nombreuses histoires courtes, toutes sur le thème des pirates. J'ai du mal à croire que des enfants puissent rester sur une même thématique aussi longtemps. Là, j'ai l'impression qu'ils y passent tout l'été.
Si le bateau est un simple carton, comme souvent dans les jeux d'enfants, les décors changent beaucoup. Un poisson rouge ou des poissons panés deviennent des requins. C'est assez drôle et sympathique. J'ai souris pendant ma lecture. Il y a toujours la réalité qui vient polluer l'imaginaire des jeunes. Ainsi, le chat s'incruste. Une mouette se rappelle au bon souvenir du capitaine. Les mères restent les capitaines par excellence du navire.
Les illustrations sont simples et colorées. Je préfère prévenir que les femmes sont mal vues par les pirates. Je pense que cette bande-dessinée plaira majoritairement aux petits garçons. Bien que l'ensemble soit gentillet, un adulte aura moins de plaisir qu'un enfant.
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Trois petits gars qui ressemblent tant à nos gosses. Ils ont quelques déguisement de pirates. Et une caisse en carton leur sert de navire. L'imagination fertile et débordante de ces "têtes blondes" fait le reste.
J'apprécie le côté "anthologie" du recueil. Cela donne un fil conducteur à l'ensemble, ce qui est bienvenu. Les gags ne sont pas répétitifs et le plus souvent originaux. C'est plutôt comique également. le détournement des objets du quotidien vus à travers le prisme de la piraterie, c'est intéressant. Surtout quand la réalité du quotidien rattrape les aventuriers. Par contre le dessin m'a laissé assez indifférent (pour ne pas dire davantage).
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Je n'ai pas aimé ce livre car je trouvais que les illustrations étaient incomplètes à l'histoire.Les illustrations ne complétaient pas l'histoire.
Ce livre est plus adapté aux enfants de 10 ans.
PJ
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Un album rafraichissant comme un jeu sur l’herbe.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Jamais vulgaires et dotés d’un dessin soigné, les gags font souvent mouche même si le respect du thème entraîne, çà et là, quelques redondances.
Lire la critique sur le site : BDGest
On s'amuse comme des petits fous en lisant ces gags destinés surtout aux plus jeunes lecteurs mais qui plairont aussi aux grands enfants que nous sommes parfois. Les idées de Mickaël Roux font mouche dans ces pages.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Roux s'avère être un bon gagman mais aussi un dessinateur habile. Son trait est précis et simple. Il fait plaisir à voir et à lire. Tout fonctionne à merveille.
L'auteur nous renvoie à notre enfance, à nos jeux d'antan tout en restant correct et sobre.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Dans le 131e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente le premier tome des mémoires du dragon Dragon, baptisé Valmy, c’est fini, album que l’on doit au scénario de Nicolas Juncker et au dessin de Simon Spruyt, édité chez Le Lombard. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
– La sortie de l’album Bertille & Bertille que l’on doit à Éric Stalner et aux éditions Grand angle
– La sortie de l’album L’inconnue du bar que l’on doit à Jonathan Munoz et aux éditions Fluide glacial
– La sortie de l’album L’ami colocataire que l’on doit au scénario de Pog, au dessin de Séverine Lefebvre et c’est édité chez Marabulles
– La sortie de l’album Super cyprine, une vengeance corrosive, album que nous devons à Tess Kinsky et aux éditions Massot
– La sortie de l’album Itinéraire d’une garce que nous devons au scénario de Céline Tran, au dessin de Grazia La Padula et c’est édité chez Glénat dans la collection Porn' pop
– La réédition en intégrales des Confessions d’un canard sex-toy que nous devons au scénario de Mikaël Roux, au dessin d’Arnaud Poitevin et c’est édité chez Fluide glacial
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