Le paradoxe veut que ces arts libéraux seront enseignés… dans les écoles d’art, qui ne deviendront « Beaux-Arts » que tardivement, au XVIIIe siècle, incluant alors peinture, danse, sculpture, dessin, gravure, mais étrangement pas le théâtre, qui a plus à voir avec les « arts serviles » du potier, du charpentier, de l’ébéniste ou du céramiste.
Le Grand JT de l'Éducation (30/01/2023): L'école selon Philippe Meirieu