Avant le déclin, la vie doit palpiter, il faut aimer et qu’importe si le sentiment de se soustraire au vieillissement est illusion ; à vingt ans, la vie est encore ascendante.
Il advient qu’on se trompe, même averti, que le bonhomme présumé dangereux soit inoffensif, que l’individu en apparence franc du collier se révèle un malfaiteur. On navigue entre les écueils.
Il ne suffit pas d’être pauvre pour avoir du génie…
Le temps d’une vie humaine, détourné de son objet qui est aimer, pour brasser des affaires, gagner de l’argent, le perdre et s’acharner à en regagner, mais on ne regagne ni sa jeunesse ni son amour… Roule le temps et l’on fait un mort riche… une âme pauvre pour l’éternité !
Pour l’Européen en Europe, le sud signifie un éternel été, luxuriance, sieste, folklore coloré. D’ici, c’est la descente vers les glaces, la désespérance au bout, les naufrages.
La difficulté d’entrer en communication avec autrui était symbolique : les bonnes volontés échouent, souvent.
On jase beaucoup, dans la ville, surtout les femmes, qui s’ennuient et pour elles c’est une distraction que de voir dévorer le dompteur…
Les gros bonnets des grosses boites n’ont pas accoutumé de faire une fleur à qui ne la mérite pas.
Les gens ont besoin de gagner leur subsistance.