Il n'est pas bon de susciter le courroux du gourou et la belle Irina va l'apprendre à ses dépends.
Dans le Berlin de l'après-guerre, les comptes se règlent comptant et les mémoires s'effacent au P38.
Un Face d'Ange efficace comme d'usage à savourer avant que les woks n'en fassent des autodafés comme au bon vieux temps du Reich.
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L'histoire se déroule à Berlin ouest. Un agent de la CIA doit récupérer des documents sensibles.
Les ingrédients pour un bon roman d'espionnage sont présents ainsi que la qualité narrative.
Rebondissements, rythme élevé et pas de temps morts. Bien évidemment ce n'est pas de la grande littérature mais ce n'est ce que l'on demande à ce style de roman.
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