Sur la planète Targian, la vie est rude.
Les humains, entassés dans de gigantesques cités-ruches, doivent quotidiennement se battre pour survivre.
Aux abords de l'une de ces cités regroupant plusieurs milliards d'humains, Zelia aide sa mère à déterrer des artefacts dans l'espoir de découvrir des technologies oubliées. Ce travail passionnant pourrait bien s'avérer plus dangereux qu'il n'y parait, surtout quand résonne la sirène de la cité-ruche annonçant une invasion xenos...
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Plutôt bonne surprise que ce premier roman jeunesse de la série 40K de Warhammer Adventures.
Même si l'on regrettera que la plume soit plutôt fade et l'écriture assez pauvre, le scénario, les personnages et le rythme compensent tout à fait. Vous ne lirez pas de la grande littérature mais une bonne petite aventure rondement menée.
Le Lore de 40k est très fidèle et assez bien dilué dans le récit (grâce notamment à un personnage qui n'est jamais sorti de sa ruche et a donc tout à apprendre, comme nous), le côté technologique est parfois peu crédible (construire une arme en 2 minutes ou "renforcer les radiateurs" d'une capsule d'évacuation...) mais rien qui ne soit choquant.
Les divers changement de point de vue sont très agréables à suivre (même quand on nous met dans la tête d'un méchant), et le suspense apporté par la fin de l'histoire nous pousse à aller découvrir la suite, bien volontiers (entre deux parties de Mechanicus ;) ).
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Excellente surprise pour cette plongée dans l'espace morbide du 41ème millénaire. L'Attaque des Nécrons plaira tout autant aux lecteurs qui ne connaissent pas l'univers de Warhammer 40.000 qu'à ceux qui sont déjà aficionados. En effet, tout y est très bien expliqué et les codes sont respectés. L'histoire se tient et ne prend pas les jeunes lecteurs pour des imbéciles, et apporte un lot suffisant d'événements dramatiques pour qu'on se rappelle qu'il ne s'agit pas d'un jeu léger (Warhammer 40.000 est un jeu de figurines qui se place dans un univers de science-fiction obscur et terrifiant, où tout est dicté par des guerres sanglantes et sans fin). Les illustrations, bien qu'un peu trop rares à mon goût, complètent joliment le texte. En revanche, le bémol va directement à la qualité de l'édition : pagination à revoir, quelques erreurs et un texte qui n'est pas justifié.
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- Dire du mal de l’Empereur est une hérésie. Il est notre seigneur et protecteur.
- Ouais, eh bien, je parie qu'il n'a jamais dû ramper dans un égout pour échapper à une embuscade.
On les appelle les Nécrons, précisa Élise, et ils ne seront satisfaits que lorsqu'ils auront anéanti tout ce qui vit sur cette planète.