J'ai bien aimée ces plusieurs petite histoire de cette petite fille avec ces mauvaise idée qui la font souvent punir, et de son cousin qui est tout le contraire de Sophie !
"Ne pleure pas Sophie, et n'oublie pas qu'avouer tes fautes c'est te les faire pardonner." (35)
" Les enfants restèrent seuls et jouèrent longtemps devant la maison. Sophie parlait souvent de fruits confits.
"Je suis fachée, dit-elle, de n'avoir pas pris d'angélique ni de prune : ce doit être très bon."
Le lendemain, Sophie peigna et habilla sa poupée, parce que ses amies devaient venir. En l'habillant, elle la trouva pâle. "Peut-être, dit-elle, a-t-elle froid, ses pieds sont glacés. Je vais la mettre un peu au soleil pour que mes amies voient que j'en ai bien soin et que je la tiens bien chaudement." Sophie alla porter la poupée au soleil sur la fenêtre du salon.
- Que fais-tu à la fenêtre, Sophie ? lui demanda sa maman.
- Je veux réchauffer ma poupée, maman ; elle a très froid.
- Prends garde, tu vas la faire fondre.
Et voilà Sophie qui prend des ciseaux et qui coupe ses sourcils aussi court que possible. Elle se regarde dans la glace, trouve que cela lui fait une figure toute drôle et n'ose pas rentrer au salon.
Sophie était coquette ; elle aimait à être bien mise et à être trouvée jolie. Et pourtant elle n'était pas jolie.
..., mais prends garde de te croire meilleure que tu n'es. Cela s'appelle orgueil, et tu sais que l'orgueil est un vilain défaut. (129)
J'ai d'abord découvert ce livre en dessin animé et je l'ai toutefois aimé parce que chaque épisodes, chaque moments à une leçon a en attiré. Sophie, petite fille qui a vécu tant de choses dans son enfance. Fille unique, adorée par son père et maltraitée par sa belle mère se verra être traité méchamment par cette dernière. Malgré tout elle arrive à se sortir de ce cauchemar grâce a sa tante et ses cousins lui seront d'une grande aide car ils lui ont permis d'oublier sa vie d'autrefois et de passer à autres choses mais toutefois vie avec la peur de revoir sa méchante belle. Ce livre a été pour moi une dénonciation de la méchanceté, la résistance d'oublier le passé et la solidarité des cousins et tantes.
PAUL
— Et toi, tu es coléreuse comme les affreux dindons de la ferme !
SOPHIE
— Je ne suis pas coléreuse, monsieur ! Mais je trouve que vous êtes un méchant !
PAUL
— Je ne suis pas méchant, mademoiselle, mais je dis la vérité, et c'est pourquoi vous êtes toute rouge, comme les dindons avec leur grosse crête rouge !
Et Sophie raconta à Paul comment elle avait mangé la boîte de fruits confits.