Sept Comme Setteur

Il y avait un autre personnage encore plus terrible que les autres : un homme affreux, habillé de vieux vêtements sales et déchirés, avec une grosse barbe noire, des dents jaunes et pointues et des yeux rouges. Il s’approchait parfois des cages pour distribuer la nourriture. Et quelle nourriture! De la viande crue, si molle qu’on s’étouffait presque en la mastiquant, et de l’eau tellement gluante qu’elle donnait envie de vomir!

(La Bagnole, p.21)

Elle pleurait si souvent que la fillette se demanda comment son corps pouvaient encore produire des larmes.

Ce livre a beaucoup d'action et de suspens . J'ai aimé beaucoup ce roman.
Elie ;)

Doucement, Nat, fais des petits paquets de mots et mets du vent dans ta voix, lui dit sa mère.

Il s’agissait là de trucs qu’on donnait à Nat pour l’empêcher de bégayer.

De temps en temps, des personnages étranges et inquiétants entraient dans la salle. Nat avait ainsi revu le père Noël, mais surtout ce lapin géant, tout blanc avec de larges pattes et de grandes oreilles poilues, très élégant dans son habit trois pièces et son noeud papillon. En temps normal, il aurait eu l'air d'un gentil toutou touffu, mais son regard était troublant, et ses grandes dents semblaient toujours prêtes à mordre. Et il y avait aussi cette femme magnifique aux longs cheveux blonds et brillants, vêtue d'une robe rose soyeuse et coiffée d'un chapeau pointu recouvert d'étoiles. Sûrement une fée. Mais une fée qui paraissait bien méchante et qui avait sur le visage la même expression insolite que celle de ses deux complices. Le lapin géant et la fée portaient tous deux un pendentif, un 7 en or, comme celui du père Noël. Nat se demandait ce que cela pouvait bien signifier.

wow quel avanture ses livre son fantastique

Le père Noël n’arrive jamais chez nous avant huit heures, vous le savez bien.

— Il arrive quand, le père Noël? demanda Rom.

Elle était assise à la table avec son frère Nat et ses parents. Ils avaient terminé la dinde et en étaient maintenant au dessert, une succulente bûche remplie de crème glacée et recouverte de chocolat. Dehors, une fine neige tombait dans la nuit. Ambiance parfaite pour Noël. L’immense sapin tout décoré et illuminé, dans un coin du salon, attendait les cadeaux du père Noël.

Cool

—Le lapin de Pâques est passé! s'écria-t-elle.

Elle bondit hors de la voiture et courut sur le terrain. Papa Pat, en sortant à son tour, tendit l'oreille en fronçant les sourcils. Il avait l'impression d'entendre des bruits étranges qui provenaient de plus loin sur la rue.

—Tu entends, Pat? demanda Mère Sof. On dirait des enfants qui crient...

Rom, elle, était trop excitée pour entendre quoi que ce soit. Il n'y avait pas un œuf, mais deux ! Pour elle toute seule !

Non... Il y en avait sûrement un pour Nat... Mais Nat avait disparu... Rom sentit toute sa joie s'envoler d'un seul coup.

Un craquement se fit entendre. Un œuf était en train d'éclore ! Mais voyons, ça ne s'ouvre pas tout seul, les œufs de Pâques !

Ce sont les enfants qui les ouvrent! Rom avait-elle reçu des œufs magiques?

Elle se pencha vers le coco. À l'intérieur, une forme noire bougeait, de gros yeux rouges la regardaient, tandis qu'une forte odeur de chocolat fusait de la cavité. Qu'est-ce que c'était donc ? Rom tendit son doigt, curieuse.