Billion Dogs, tome 2

Hier soir, j'ai lu à la suite les quatre tome de "Billion dogs". C'est marrant parce que même si ce n'est pas le même illustrateur que "Jagaaan", le style déjanté du scénariste Muneyuki Kaneshiro rejaillit sur le travail de Naoki Serizawa et sur son esthétique. Les personnages sont beaux, laids, caricaturaux, mais les illustrations collent toujours parfaitement à une intrigue sans temps mort et à des personnages qui courent dans tous les sens, soit pour échapper aux filles qui leur courent après, soit pour échapper aux yakuzas. Les répliques fusent. Il est question d'idols et de pancakes, de meurtres et de tatouages mais surtout d'un magot de trois milliards de yens dont tout le monde veut s'emparer, quite à se jouer une série de coups tordus entre le père et le fils, les lycéens et les yakuzas, et tout cela avec une carte au trésor très particulière dont on apprend l'existence dans ce volume-ci, et des agences qui recrutent des mannequins ou des actrices porno dans le quartier de Harajuku à Tokyo.
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