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4,19

sur 1204 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Je suis très mitigée sur cette lecture et pourtant je suis très bon public. Pourtant tout y est, magie, dragons, combats, pirates, femmes fortes...
j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire, j'ai été perdue par tous les personnages aux noms très étranges et longs, qui en plus ont des diminutifs... Tous les lieux...et de temps en temps un chapitre sort du lot et nous emmène mais le soufflet retombe vite... Et je repose le livre quelques semaines.
Je me suis presque forcée à le finir, je me suis attachée à certains personnages, certains couples et j'en ai détesté d'autres. Alors je n'aimais que lire quand il s'agissait d'eux 😅
Quel dommage, j'aurais tellement vous dire que cette lecture m'a passionnée car vraiment encore une fois tout y est, l'écriture est fluide.
Mais la magie n'a pas opérée pour moi.
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♫ La Mère, voici le temps venu, D'aller prier pour notre salut, le Sans-Nom est revenu ♪

♪ le Saint, tu peux garder ton vin ♪ Ce soir, on boira notre chagrin ♪ le Sans-Nom est revenu ♪

♫ Toi la reine Sabran, Tu peux sortir tes dents ♪ Les dragons sont revenus ♪

La première chose qui a attiré mon oeil sur ce roman, c'est sa magnifique couverture ! Une oeuvre d'art. La 2ᵉ c'est que ce roman était best-seller du New-York Times puis j'ai lu la mention "Mérite d'avoir autant de succès que GOT". Allez hop, vendu !

N'est pas Georges R.R. Martin qui veut… Si l'univers développé par l'auteur est riche, si ses personnages sont nombreux, si les femmes sont mises en avant et si on a des intrigues de pouvoir, on est loin tout de même des intrigues étoffées de GOT, de ses personnages marquants et de ses salopards flamboyants !

Le début du roman fut assez laborieux, je ramais entre les différentes régions de l'Est et de l'Ouest, face à tous les personnages et les 300 premières pages ont été lues à la vitesse d'un escargot asthmatique, ce qui est rare chez moi, étant donné que j'ai dévoré des pavés de plus de 600 pages en deux jours à peine.

Pour que je préfère regarder une rediffusion de "Petits meurtres en famille" (que je connais) au lieu de lire ce pavé, est un signe qui ne trompe pas : je m'y ennuie ! Pour que je préfère aller repasser mon linge, moi qui déteste ça, c'est un encore plus un signe qui ne trompe pas : je m'emmerde ! L'introduction est fort longue et sans des moments un peu plus excitants, je pense que j'aurais été voir ailleurs.

Certes, il fallait présenter l'univers dans lequel nous allions évoluer, mettre tout en place, mais il y avait peut-être moyen de le faire moins long ou de mieux incorporer ces moments creux dans le récit général, au fur et à mesure. le récit est dense, on suit plusieurs trames scénaristiques et au départ, il y a assez bien d'informations à retenir et à digérer.

À l'Est, en Seiiki, on vénère les dragons et des dragonniers chevauchent des dragons d'eau, tandis que dans l'Ouest, en Yniss, on chasse et on craint les dragons.

De plus, dans l'Ouest, la religion se nomme Vertu, elle a ses règles très strictes et ceux qui la pratique aimeraient que tout le monde ait cette religion, car c'est la Vérité. Ça ne se discute même pas. Dans l'Est, au contraire, on a une autre véritable Vérité et elle remet en cause les textes sacrés et les mythes que cela a créés. Ailleurs, ce sont des autres croyances…

Les problèmes entre les religions est un des points que j'ai appréciés dans ce roman : ils avaient des senteurs que nous connaissons bien, quand des gens très pieux considère les croyances des autres comme hérétiques, persuadés qu'ils sont meilleurs que les autres alors qu'ils n'ont aucune tolérance ou courtoisie pour autrui, bien que la tolérance et la courtoisie soient de leurs vertus.

La solidarité ne devient intéressante que lorsque l'on est le dos au mur et que l'on a besoin des autres pour vaincre l'ennemi commun. Pourtant, c'est bien connu que l'union fait la force… C'est plus facile de le prendre comme devise que de l'appliquer, bien entendu.

Une autre chose que j'ai apprécié, c'est que certains personnages ont évolués, passant de "chieurs nés" à "personnage avec ses blessures et ses faiblesses" que l'on arrivait à comprendre et puis à apprécier.

Le reste est de facture classique avec le retour d'un Grand Méchant qui se nomme le Sans Nom, une prophétie, des mensonges racontés depuis des siècles, des élus, des armes magiques pour le terrasser et une alliance entre plusieurs peuples que tout sépare, notamment les croyances…

Sauf en ce qui concerne le féminisme, bien mis en avant, puisque l'on a un reinaume gouverné par des femmes depuis des siècles et que les personnages féminins ne sont pas des créatures apeurées ou stéréotypées. Malgré tout, les femmes sont toujours ramenées à leur but primaire : pondre des enfants !

Un bon point aussi pour le fait que les amours n'étaient pas qu'Homme/Femme, mais aussi homosexuelles (hommes ou femmes). Un petit pas qui pourrait déboucher sur un grand pas… Qui sait ?

Hélas, ce qu'il a manqué le plus, dans ce roman, ce sont les émotions provoquées par le récit et celles que l'on aime ressentir pour certains personnages. Ici, que dalle, nada. Même si j'en ai apprécié quelques-uns, ils ne marqueront pas mon esprit comme d'autres le firent, même en ne parlant que du genre fantasy.

La saga de "L'épée de vérité" (Terry Goodking) n'était pas exempte de lourds défauts (dichotomie, manichéisme, violences, tortures, bienséance dans ses rapports H/F et personnages "Mary & Gary Stu"), mais elle avait de la flamboyance et m'avait apportée des émotions à foison. Ce qui a manqué cruellement dans le prieuré, alors qu'il n'avait pas les défauts de la saga de Goodking. Comme quoi…

Il est aussi un équilibre difficile à atteindre dans les finals : trop longs, on n'en voit pas le bout et quand c'est trop court, on a l'impression qu'on s'est tapé des longs préliminaires pour se retrouver avec un bouquet final qui se termine bien trop vite. Tout ça pour ça ?? 50 pages à tout casser ? J'aurais aimé que cela durât plus longtemps.

C'est mitigée que je ressors de cette lecture dont l'équilibre du scénario n'était pas atteint. Trop de langueurs monotones au départ, des personnages agréables, sans être marquants et un combat final qui se termine bien trop vite.

Des critiques élogieuses de ce roman se trouvent sur Babelio et je vous invite à aller les découvrir. J'aurais aimé ressentir ce que les autres lecteurs/trices ont ressenti en lisant de pavé… Hélas, j'ai pris une toute autre direction.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Une petite déception. J'en attendais beaucoup et ne m'y suis pas retrouvée. Dommage.

Avec le Prieuré de l'oranger nous voilà plongé dans un univers imaginaire où tous les ingrédients de la fantasy sont bien présents.
Dans cet univers cohabitent reines, princes, magiciennes et dragons. On fait la connaissance de Sabran la reine de l'ouest dont la vie est menacée, de Tané, une dragonnière à l'est, Ead la magicienne espionne appartenant à l'ordre de l'Abbaye et d'autres, nombreux (trop nombreux ? à la limite "d'éparpiller" le lecteur ?).
Je cite prioritairement les personnages féminins qui, pour moi, tiennent le roman. Les personnages masculins deviennent secondaires.
L'intrigue repose sur une menace millénaire qui peut resurgir en “la personne” d'un dragon maléfique. Menace qui pèse sur plusieurs pays, royaume ou reinaume, les uns l'est, les autres à l'ouest (reinaume d'Inys). Heureusement une carte permet de s'y retrouver et de comprendre la géographie de l'intrigue.
Je dois avouer qu'il m'a fallu une centaine de pages pour bien entrer dans le roman. Comprendre les personnages et leur place dans l'intrigue, comprendre la situation géo-politique.

Relisant mes premières lignes, je sens bien que la rédaction de ce post est un peu laborieuse, le coeur n'y est pas. Ce n'est pas que je n'ai pas aimé, disons que je suis resté sur ma faim. Je n'ai pas pu véritablement rentrer dans le roman, j'en ai compris l'essentiel mais je me rends compte que j'ai finalement des difficultés à en parler spontanément.

Il est vrai que ma référence en matière de fantasy, c'est Robin Hobb. Alors peut-être que cette référence met la barre trop haut, peut-être que j'attends trop d'un roman de fantasy, un genre que j'ai découvert il n'y a pas si longtemps.

Je sais que des lecteurs ont adoré ce roman. La preuve s'il en faut encore une, que chacun a sa vision du monde, et que la diversité permet à tous de trouver son bonheur en matière de lecture.



A vous de vous faire votre opinion ...
Lien : https://www.mrsnorthlit.com/
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Au niveau de l'intrigue, on suit l'histoire de Ead qui doit protéger Sabran (la reine) pour qu'elle puisse avoir un enfant car si celle-ci n'a pas d'enfant, la légende dit que le méchant dragon « le sans nom » va se réveiller et tout dévaster. Hors la reine ne souhaite pas se marier.

J'ai beaucoup aimé les personnages principaux surtout Tané et Ead qui sont vraiment les chapitres les plus importantes. le seul inconvénient est que j'aurais aimé avoir plus de détails sur la manière donc Tané a été formé pour etre dragonnière car je trouvais que ces chapitres au début étaient assez petits. J'ai adoré suivre cette jeune aventurière au dos de son dragon (oui il y a des gentils et des méchants dragons). Niclays lui, je l'appréciais au début du roman et son histoire m'intriguait et plus au fil des pages, il devenait de moins en moins appréciable ^^ Arteloth fut aussi un bon personnages mais j'ai commencé à mis attacher à la fin de l'histoire. J'ai beaucoup aimé la manière dont de fil en aiguille les personnages se rencontrent pour ne former plus qu'un point de vue et c'est souvent le cas quand il y a plusieurs points de vues.

Je trouvais qu'ils y avaient beaucoup de mots trop complexe, trop de personnages partout et tout le temps, des religions à gogo et très complexes. Je trouvais aussi que l'enjeu politique arrivait un peu tard dans l'histoire.

J'ai globalement aimé ce livre meme si je trouvais qu'il y avait quelques longueurs mais je trouvais la fin géniale et c'est cette partie qui m'a fait plus aimé le livre ! A la fin, j'avais un pincement au coeur en quittant les personnages et surtout Sabran et Ead.
Lien : https://lecturesdeclem.wordp..
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On nous présente ce livre comme le nouveau Game of Thrones. Autant le dire, ce n'est pas le cas. Jamais je n'ai été autant déçue par un livre de fantasy épique, et n'ai autant hésité avant de le jeter. Je ne m'y suis toujours pas résolue d'ailleurs. Ou à finir son dernier quart.

J'aurais pu mieux apprécier ce livre s'y j'avais eu dix ans de moins. Mais il manque la dureté, cette petite touche dark que j'aime tant en fantasy. Oui, l'écriture n'est pas mauvaise. Oui, il arrive des trucs moches à un des personnages principaux. Mais dans le fond, pas de danger et une étrange impression de tourner en rond. Et puis cette invasion draconique qu'on nous promet, quand est-ce qu'elle qu'arrive ? Dans les 20 dernières pages me dit-on ? Ah non ! Là je crie au scandale. Que l'hiver vienne, qu'ils soient tous congelés sous trente mètres de glace et que j'en soit débarrassée.

Ça me rappelle le Grand Pays d'Ange. Un roman avec un grand potentiel, classé sans suite, sans doute gâché par le manque de volonté des auteurs de se tenir à un plan et à une trame précise. Rappelez-vous, très chers auteurs : une série de fantasy, ce n'est pas que de l'exposition.
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Bonne histoire mais écriture trop féminine
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