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Critique de PetiteBichette


niré, le 4ème opus de la pentalogie Une clochette sans battant, nous raconte Nobuki niré, frère d'Anzu (Suzuran) et de Kyoko (No-no-Yuri) et fils de Fujiko et Tetsuo (Sémi).
J'ai malheureusement été un peu déçue cette fois, Nobuki est gentil garçon mais ô combien fade et transparent, et je me suis ennuyée à ses côtés sans ressentir beaucoup d'émotions.
Les « découvertes » de Nobuki m'ont laissée sur ma faim, puisque Aki Shimazaki nous en a dit beaucoup plus long au cours des précédents tomes qu'à son personnage. de ce fait, il ne se passe rien de nouveau dans ce tome, j'ai rongé mon frein en attendant de nouvelles révélations, qui attendront finalement le dernier tome (ou pas) ...
Aki Shimazaki amène habituellement les situations avec finesse, à légers pas de ballerine. Là elle m'a fait l'impression d'avoir chaussé ses grosses geta, et je l'ai vue arriver de loin quand elle met en place de trop nombreuses coïncidences.
Ce numéro quatre en demi-teinte est clairement celui que j'ai le moins apprécié jusqu'à présent dans cette pentalogie. Je remarque d'ailleurs que souvent l'auteure me captive moins quand elle met un personnage masculin à l'honneur (j'avais ainsi été déçue de Suisen). Aki Shimazaki me semble peiner à se renouveler. J'espère que le dernier tome apportera un nouvel angle intéressant et relancera mon intérêt.
Je suis en revanche toujours aussi séduite par les magnifiques couvertures et cette jolie feuille d'orme (qui se dit niré en japonais) dorée tourbillonnante chahutée par le vent et les fines gouttes de pluie.
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