Mais je pense lui avoir transmis la peur de l’incertain. La méfiance de la passion. Je ne sais plus qui a dit qu’il valait mieux mourir une fois que trembler toujours. Je préfère trembler et rester vivante.
Sophie, lorsqu’elle a grandi, m’a reproché aussi mon obsession de la vérité, me disant qu’elle n’en avait que faire, puisque cette vérité était seulement la mienne.