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EAN : 9791032900741
448 pages
Éditions de l'Observatoire (23/08/2017)
3.54/5   26 notes
Résumé :
Sophie, 20 ans, partie faire du bénévolat à Dakar, doit rentrer fêter Noël en famille. La table est mise, le dîner du réveillon est prêt, les guirlandes scintillent. Tout le monde l’attend. Mais Sophie ne rentre pas. Accident ? prise d’otage ? fugue ?
Sa mère Virginie, son beau-père Gabriel, sa demi-sœur Chloé, son grand-père René, et même Antoine, son père, et Fanny, son épouse : tous partent à sa recherche au Sénégal.
Virginie a l’impression que tout... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (20) Voir plus Ajouter une critique
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Voici un livre inspiré de faits réels , une saga sur fond de recomposition familiale et de secrets enfouis , de haine froide et inquiétante entre deux femmes , de remise en question, de complexité des sentiments et d'idéaux mis à mal .......
Sophie, vingt ans ,partie faire de l'humanitaire à Dakar doit rentrer fêter Noël en famille .
La table est mise, le dîner de réveillon est fin prêt , chacun attend sa venue .
Mais elle ne rentre pas . Fugue ? Enlèvement ? Accident ? Attentat ? Piège de "l'autre" ?
À partir de de là , cette étrange famille "décomposée", même le grand- père René, à la personnalité très attachante, dont la participation au voyage l'enchante et voyager loin....., (un de ses rêves inaccomplis) , la mère de Sophie: Virginie,sa demi- soeur : Chloé, et même son père Antoine et Fanny , son épouse, tous partent à sa recherche au Sénégal ......

Au cours de leur périple en Afrique, riche en anecdotes surprenantes et cocasses, ils doivent s'adapter aux croyances, aux rythmes différents, aux us et coutumes de là- bas, tout remonte à la surface , entre adultes meurtris et enfants " Chacun sa soiltude " .
Otages du destin au Sénégal ils roulent vers l'inconnu qui les lie malgré tout .
L'auteur analyse au fil des pages les rapports compliqués ,ambigus entre les personnages,les non- dits anciens , les frustrations et les tensions, entre classes sociales, les sentiments inavoués qui se font jour , les idées reçues à propos de l'Afrique , les positions caricaturales, les mensonges grossiers, les promesses annulées.
Elle dresse le portrait physique et psychologique des membres de cette famille recomposée, sans pathos , avec vivacité ,.
Elle porte un regard honnête, très chaleureux, éclairé et bienveillant sur l'Afrique .
En fait les personnages pricipaux de cette fresque sont l'Afrique et la famille ( qui pourrait figurer un scénario en plusieurs épisodes à la télévision ) ..........
Sophie figure.......dans l'ombre , reste la confrontation avec une autre culture , le fait certain que cette famille est confrontée à des souffrances lointaines ,le dépassement forcé malgré eux , de leurs préjugés ........ des regrets , des vies construites sur des rêves abîmés , le rôle du beau- père , de la mère, la fragilité de l'adolescence, la versatilité des êtres, la violence des sentiments , au sein d'une famille recomposée....... Pas facile !
J'ai été gênée par par les digressions qui rendent l'histoire immobile et difficile à suivre au début , les explications et les prises de parole incongrues sans que l'on sache qui parle .......et les réflexions politiques parfois mal venues !

Un honnête moment de lecture ,malgré tout !
Une belle première de couverture , un ouvrage publié aux éditions de "l'Observatoire" .
Ce n'est que mon avis , bien sûr !
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En pleins préparatifs de Noël, Virginie apprend que sa fille Sophie, vingt ans, partie faire du bénévolat au Sénégal, n'est pas rentrée avec sa compagne de voyage. Celle-ci tente de les rassurer, mais semble leur cacher quelque chose. Virginie décide de partir à sa recherche à Dakar, et toute la famille recomposée se retrouve du voyage : père, beau-père, belle-mère, grand-père, demi-frère, demie-soeur… Il faut dire que le père de Sophie a mené longtemps une double vie où son épouse ignorait jusqu'à l'existence d'une fille. Situation inconfortable pour Virginie comme pour sa fille, dont on soupçonne assez vite qu'elle a peut-être disparu volontairement, une fois les thèses de l'enlèvement ou de l'accident écartées.
Dès lors, le roman se focalise surtout sur l'évolution des personnages confrontés à un univers inconnu d'eux et à des circonstances exceptionnelles. Chacun va se révéler, pas forcément de la meilleure manière. Je pense notamment au père de Sophie, qui ne brille ni par sa patience, ni par son ouverture d'esprit, ou à Virginie, qui se voit en mère parfaite, mais qui prend conscience qu'elle a surtout passé sa vie à essayer d'esquiver les problèmes.

J'ai gagné ce roman lors d'un concours il y a deux ou trois mois, et j'étais très heureuse de découvrir, de ce fait, une nouvelle maison d'édition tout à fait prometteuse.
Une fois habituée à la narration, tantôt c'est Virginie qui raconte, tantôt un narrateur omniscient qui se place alors du point de vue d'un autre membre de la famille, une fois adopté donc ce mode de narration, la lecture est fluide. L'histoire ne manque pas d'intérêt, et la crise d'adolescence un peu tardive de Sophie est tout à fait vraisemblable. Ce roman ferait un très bon scénario de film dans le genre comédie dramatique, pour peu que l'on ne choisisse pas (non, par pitié !) Christian Clavier dans le rôle du père un peu rustre et vaguement raciste. L'auteure est également scénariste, cela explique peut-être pourquoi les scènes comiques ne le sont pas à la lecture, mais apparaissent drôles après coup, et de manière plutôt visuelle. Les réflexions émanant de la patronne du petit hôtel où la famille s'est réfugiée, ou d'autres personnages sénégalais, concernant les différences d'éducation des enfants, sont très intéressantes, et on y sent du vécu. Quant au bouillonnement et à l'ambiance de Dakar, c'est très bien rendu, très vivant.
Finalement, si je n'ai pas été tout à fait convaincue par le style qui appuie un peu trop les caractères, alors que j'aurais préféré qu'il se concentre sur les actes, j'ai été touchée par certains personnages et ma lecture a été tout à fait agréable.
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Antoine l'avait reconnue officiellement, mais il était absent lorsque Virginie a accouché de Sophie. Puis, Paul est né de son couple avec Fanny.
Depuis, Virginie a recomposé sa vie avec Gabriel qui lui a donné une seconde fille, Chloé.
Alors que le réveillon de Noël est prêt chez Virginie et Gabriel, l'angoisse grandit face à l'absence de Sophie qui n'est pas rentrée avec son amie de Dakar où elles étaient allées faire de l'humanitaire.
Les deux familles au complet, sans oublier le grand-père, décident de partir pour le Sénégal à la recherche de Sophie.

C'est à partir de ce tableau que vont se poursuivre les différentes scènes d'une vaste fresque, dans laquelle vont se jouer jalousie, rancoeurs, remords, non-dits, culpabilité… au sein d'un pays inconnu qui semble contribuer à rendre les recherches encore plus difficiles. Il faut s'adapter aux rythmes et coutumes, aux croyances, il faut aussi juguler les tensions entre des adultes meurtris à différents niveaux par l'histoire familiale.
Virginie, la narratrice, examine sa conscience de mère, à l'instar de Romain Gary dans “la promesse de l'aube”: “Tu désires tant de choses pour moi, je suppose que c'est ça, la promesse de Gary faite à l'aube. Cette lourde promesse de l'amour maternel vers lequel on court et qu'on fuit en même temps”. Parallèlement, Antoine trahit ses sentiments en déployant joutes verbales et comportements fallacieux…

A réception du livre de Karine Silla, je me suis réjouie de la suivre dans une nouvelle saga, ayant en tête ses deux derniers romans, notamment “autour du soleil” qui m'avait littéralement bouleversée.
De la même manière, “l'absente de Noël” convoque une multiplicité de personnages, participant chacun avec son vécu et sa personnalité à l'aventure organisée par une fille en mal de reconnaissance.

Comme dans ses précédents romans, l'auteur n'a pas son pareil pour décrire la complexité des sentiments ou peut-être seulement, la complexité de la nature humaine.
Elle dresse parfaitement le portrait physique et psychologique des personnages, et ici, porte un regard éclairé sur l'Afrique où elle transporte le lecteur.

Malgré sa richesse, je dois dire que j'ai trouvé de la longueur dans une histoire sans grand suspens. Je pense qu'un “scenario” plus ramassé aurait évité une impression d'immobilisme, voire de redondance. Je m'attendais à mobiliser plus d'émotions, ce ne fut pas le cas. Il n'a pas la force du précédent.

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Il m'est toujours agréable de parler d'un livre en décalé. Pendant que beaucoup de lecteurs en sont à la rentrée littéraire de Janvier 2019, je viens de terminer un roman paru en Août 2017. "L'absente de Noël", troisième roman de Karine Silla. Je remercie les editions de l'Observatoire pour cette lecture.

Cette absente, c'est Sophie, vingt ans, partie en Afrique pour une mission humanitaire et qui devrait rentrer le 24 décembre. Oui, mais voilà, si Paméla, son amie et accompagnatrice revient comme prévu, Sophie, elle, n'est pas au rendez-vous…Sa famille, recomposée ou plutôt décomposée, décide alors de partir au Sénégal, à sa recherche. Se retrouvent à l'aéroport, Virginie sa maman, Gabriel le mari de cette dernière et Chloé sa petite soeur. Et puis il y a aussi son papa, Antoine, la femme de celui-ci Fanny et leur Fils Paul, sans oublier René le grand-père maternel.

Nous sommes rapidement plongés dans un genre de road-movie au coeur de Dakar et du Sénégal. Sophie est le prétexte, le fil conducteur d'une somme de réflexions, d'un portrait fin et très fouillé de chaque protagoniste, d'une étude approfondie de leur caractère, qualités et surtout gros défauts. Les secrets de famille surgissent, les jalousies, les griefs, les reproches. Les personnages, à vif, campent sur leur position et l'on comprend au fil des pages les raisons de la fugue de la jeune fille, étouffée par tant d'incompréhension. L'effervescence de l'Afrique est omniprésente, le récit haut en couleurs et les clichés véhiculés par les uns et les autres affleurent chaque discussion. Les deux cultures sont abordées dans leurs différences.

Enseignante, j'ai toujours éprouvé une tendresse particulière pour les enfants les plus difficiles, les plus fragiles, les plus complexes. Il en va de même des livres. J'aime ce roman de Karine Silla malgré les quelques faiblesses que je pourrais lui reprocher : sa longueur, je l'aurais préféré raccourci d'une centaine de pages. Il aurait gagné en rythme, les digressions, je m'y suis parfois perdue, les thèmes abordés, trop nombreux peut-être. Et pourtant, pourtant, l'écriture nerveuse et vive a retenu mon intérêt de bout en bout.

Je connaissais l'actrice et la réalisatrice, je découvre, à la lumière de cette absente, une romancière attachante, et, comme d'habitude, aux Editions de l'Observatoire, une superbe couverture.

Lien : https://memo-emoi.fr
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Sophie a 20 ans et part faire du bénévolat à Dakar, elle est censée rentrer pour passer Noel en famille mais alors que tout le monde l'attend, elle n'arrive pas. Que s'est-il passé ? Toute sa famille part pour le Sénégal afin de partir à sa recherche et la retrouver. Toute la famille se retrouve donc dans un pays inconnu où chacun va devoir y mettre du sien et dépasser ses préjugés.

Ce livre a vraiment été une très bonne lecture, j'ai été attirée par la thématique : les sagas familiales sont quelque chose que j'aime beaucoup. Je l'ai du dans le cadre d'une Masse Critique organisée par Babelio que je remercie pour cette découverte ainsi que les éditions de l'Observatoire.
J'attendais des tensions, secrets et non-dits et c'est exactement ce que j'ai trouvé dans ce livre. J'ai tout de même eu quelques difficultés à rentrer dans l'histoire. Il est vrai qu'au début les nombreux personnages qui ont tendance à digresser ne m'ont pas aidé à me plonger dans cette histoire, mais une fois que je suis vraiment rentrée dedans, j'ai vraiment beaucoup aimé.

J'ai aimé :

les paysages du Sénégal et la description des locaux. Sophie est partie pour faire de l'humanitaire dans un orphelinat et suite à sa disparition, sa famille arrive sur place pour la retrouver. On est plongé dans une autre culture avec les locaux que l'on rencontre et dont on a parfois le point de vue. J'ai beaucoup aimé que l'on ait leur vision des choses et que l'on plonge dans leur quotidien et leurs traditions.
la tension entre les deux parties de la famille de Sophie qui met en évidence une tension entre les classes sociales et les idéaux des uns et des autres. La mère et le beau-père de Sophie font partie de la classe moyenne et ce dernier à des idées de gauche qui poussent parfois vers l'utopie. Son père en revanche incarne la droite bourgeoise, fière de ses racines et effrayée par l'inconnu et l'étranger. La réunion de ces deux parties est explosive, les croyances se confrontent et il est difficile de conserver un équilibre pacifique. Chaque personnage est complexe et possède une psychologie très fouillée ; ils sont vraiment intéressants et travaillés.
le personnage de Sophie, à la fois enfant gâtée et désireuse d'attention mais aussi jeune fille perdue et qui se cherche. Elle est en fuite permanente et ne sait pas vraiment ce qu'elle veut. Sa mère est très présente et en même temps veut la laisser libre, elle veut le meilleur pour elle mais est peut être trop envahissante. Pour ce qui est de son père, il est absent et compense par les cadeaux. Sophie ne veut pas jouer le rôle qu'on veut lui attribuer, elle veut faire ses propres choix et que ses parents les acceptent.
le grand-père de Sophie, il est tellement attendrissant. Il est ouvert et à l'écoute de ses petites-filles. Il n'a pas tout réussit dans l'éduction de sa fille mais veut être là pour ses petites-filles, il est leur confident et leur complice dans bien des situations, j'ai vraiment adoré le lien entre eux qui est tellement touchant.
J'ai regretté :

l'entrée un peu difficile dans ce roman aux multiples points de vues et digressions.
quelques longueurs qui font que l'on a une impression d'immobilité, l'histoire n'avance plus.
J'ai passé un très bon moment avec ce livre malgré le fait que j'ai eu un peu de mal à y entrer. C'est une très bonne saga familiale qui dépeint avec justesse des personnages riches et travaillés.

Lien : https://chronicroqueusedeliv..
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
"La vie humaine est comme un grand arbre et chaque génération est comme un jardinier.
Le bon jardinier n'est pas celui qui déracine. Pour croître en hauteur et étendre ses branches, un arbre a besoin de profondes et puissantes racines, disait Hampâté Bâ.
Et l'eau dans laquelle les racines familiales puisent doit être propre ........"
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Pour elle, c’est arrivé d’un coup. Trop d’espoir dans l’amour. Un espoir assassin. Un début de dépression. Peut-on faire la différence quand on est médecin entre un début de dépression et une profonde tristesse ? Mais oui, madame, la tristesse a des limites, elle ne s’installe pas ainsi dans notre coeur. Le chagrin n’est pas un mal irréversible. C’est vrai. Elle devait être malade. Une maladie honteuse. Le voile était tombé sur son âme comme la brume sur un paysage d’hiver.
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Que faire des sentiments qui naissent malgré nous ? Le mensonge blesse. La vérité dévaste. Il aurait fallu, pour que tout s’arrête, s’interdire de vivre. Se rendre prisonnier du concept moral ou accepter que l’appel du bonheur soit parfois immoral. Que la liberté, qui finit quand celle de l’autre commence, est une contradiction en soi.
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Il sait que Sophie est quelque part en sécurité. Ce pays respire l’espoir. Il ne s’est pas senti aussi vivant depuis des années. Son flair lui dit que ce n’est pas un endroit où on disparaît.
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Tout tourne autour d’Antoine. Il mène la barque des sentiments. C’est lui qui piétine et lui qui répare. En laissant des fuites. Que reste-t-il de leur amour ? Des vestiges du passé. L’écho lointain d’une magnifique histoire d’amour. Ils raccommodent depuis des années leur amour échoué avec des bouts de souvenirs et des habitudes de gens mariés. Triste à en pleurer.
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Vidéo de Karine Silla
Invités par la bibliothèque Elsa-Triolet de Bobigny, Karine Silla et Yancouba Diémé se sont rencontrés pour parler d'un pays qui leur est cher, le Sénégal, et plus particulièrement d'une région qui est à l'origine de leurs deux romans : la Casamance. Dramaturge, réalisatrice et scénariste franco-sénégalaise, Karine Silla a récemment publié "Aline et les hommes de guerre" (Ed. de l'Observatoire, 2020). Primo-romancier, Yancouba Diémé est diplômé du master de Création littéraire de l'Université Paris 8 en 2015, et a publié en 2019 "Boy Diola" chez Flammarion.
Comme tous les Français, Yancouba Diémé avait en mémoire les reportages du Journal de 13 heures et ses portraits nostalgiques des villages de nos régions, désertés par l'exode rural. Et c'est un village presque de ce type qu'au détour d'une conversation avec Apéraw, son père, il entreprend d'exhumer de la mémoire de celui-ci : un village en Casamance, dans le sud du Sénégal. Un village avec son peuple de riziculteurs chassé par les sécheresses des années 50. Apéraw, fut de ceux-là : parti tout d'abord à Dakar, puis en France, dans les usines Citroën d'Aulnay-sous-Bois.
Or, c'est trente ans plus tôt que naquit Aline Sitoé Diatta, héroïne de la résistance en Casamance contre la colonisation française, à qui Karine Silla rend un splendide hommage dans son dernier roman. Guidée par des voix intérieures - et de ce fait souvent comparée à Jeanne D'Arc -, elle entraina la population dans un mouvement de désobéissance civile et non-violente avant d'être arrêtée et jugée par l'administration coloniale française, puis déportée à Tombouctou, au Mali, où elle meurt du scorbut en 1944 à l'âge de 24 ans.
Figure historique invisibilisée, ou héros familial couvrant son histoire d'une chape de silence, les deux existences qui sont au centre des livres de Karine Silla et Yancouba Diémé racontent, dans leur précieuse singularité, quelque chose d'éminemment collectif.
Une production de l'Association Bibliothèques en Seine-Saint-Denis, avec le soutien du Conservatoire Jean Wiener de Bobigny Réalisation : Pierre Mauduit & Quentin Mouyal Interview : Claudia Minerba & Julien Missioux Conception : Bibliothèque Elsa-Triolet de Bobigny Conception graphique : Studio des formes
#médiathèque #SeineSaintDenis #festival #littérature
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