Horacio d'Alba et son équipe ont échoués à assassiner le sénateur Rembrandt. Tout porte à croire qu'il arrivera à faire abolir les duels. Mais là n'est pas le véritable problème de la République du Point d'Honneur. Non son vrai souci c'est la guerre qui menace. le cardinal rouge et ses armées, soutenue par l'armada du roi de France, n'attend qu'un prétexte pour envahir, détruire et faire oublier des mémoires cette utopie de liberté qu'est la République. Alors qu'ils devraient tous s'unir pour faire face, les académies et le sénat se querellent menaçant de mettre le feu aux poudres.
Un excellent second tome teinté de rancoeur et d'amour, d'intrigues politiques et de passion humaine. La folie des hommes est parfaitement retranscrite ici. Ils ont bâti une République, certes imparfaite, mais pleine de bons sentiments et de débuts encourageants. Et au lieu de l'améliorer, elle va aller vers la destruction.
L'histoire est en marche.
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J'ai eu du mal à me mettre dans l'histoire, que ce soit ce deuxième tome ou le premier. J'ai pourtant persisté parce que je ne voyais pas pourquoi il en était ainsi. L'histoire est bien faite, un peu originale, même si le premier est un peu plus long à débuter, suffisamment complexe pour qu'elle soit intéressante mais pas trop pour ne pas nous perdre. Les personnages assez bien fait et plutôt sympathiques, on en sait mal pour eux pour qu'ils soient attachants, mais j'ai eu pourtant du mal vraiment à m'y attacher. du coup je n'ai pas été trop tourmentée par leurs malheurs. Je suis vraiment restée à l'extérieur de l'histoire. Même les dessins font correctement leur travail. Clairs, nets et précis. Jolis, agréables.
Non je n'ai pas d'explications à cette lecture qui m'a parut interminable mais pas inintéressante.
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Dans un style qui rappellera à certains celui d’Alice ou encore de Lauffray, Nicolas Siner propose un graphisme puissant et dynamique. [...] La limpidité du découpage et la qualité de la mise en couleur achèvent parfaitement le rendu de l’atmosphère de cette épopée.
Lire la critique sur le site : BDGest
Le dynamisme ambiant de ces planches, la profondeur de ses personnages, la justesse de son évocation historique et humaine, l'encrage appuyé et la colorisation adaptée, le sens des proportions, le choix des instantanés, tout est réuni pour rendre des plus convaincantes l'histoire du fameux Horacio d'Alba.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Ma colère est profonde car mon âme est blessée. Et même la force de ma raison n'arrivera pas à l'apaiser. Il n'y a que la vengeance pour calmer ma douleur... Je t'aimais Callisto... Je t'aimais plus que tout.
L'avènement d'un prince de l'ombre...Après avoir été trompé par la stryge Camilla, John Gravestone retrouve enfin sa fiancée Mary. Maintenant que son fidèle protecteur Tibbett est mort, son oncle Théophile est le seul qui puisse le mettre en garde : tant que Camilla respire, elle représentera toujours un danger pour John qui reste un incube. S'il se fait mordre par la vampire, son âme sera perdue à jamais. Pendant ce temps Camilla a rejoint les ténèbres pour panser ses blessures et attendre la naissance de son enfant, celui de John ! Cachée entre les murs lugubres d'un sanctuaire, elle a fait son choix : sa progéniture appartiendra à un monde meilleur, celui des hommes. Pour John et Mary une longue attente de neuf mois commence... Jérôme le Gris et Nicolas Siner terminent leur série épique au coeur de l'épais brouillard anglais avec un tome sombre et gothique. Lord Gravestone mêle écriture moderne et fable vampirique en puisant aux sources du genre. En plaçant leur oeuvre chronologiquement en amont du célèbre Dracula de Bram Stoker, à l'époque prévictorienne, ils imaginent un univers esthétique où le mythe se fond dans une relecture de Roméo et Juliette.
Auteur(s) :
Jérôme le Gris (Scénario) , Nicolas Siner (Dessin, Couleurs)
De chez @GLENATBD
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