Avec joie et docilité

Je ne vois pas son visage, mais je flaire le parfum de la sciure de la honte, la senteur de reine-des-prés du désarroi et la légère odeur d'essence de l'amertume.

ÉLOÏ, subst. fém. Courant et familier. Sous-race du sexe féminin, active sur le marché de l’accouplement et vouée à favoriser par tous les moyens le bien-être du sexe masculin.

Ne nous sommes-nous pas aussi, en tant qu’espèce, efforcés tout au long de notre histoire de façonner notre descendance en la poussant vers le haut par l’éducation, la morale, l’encouragement du talent, la pratique sportive, etc. afin qu’elle atteigne l’excellence ? Il n’y a là rien de contraire aux droits de l’homme, c’est aussi naturel que, pour un animal, de tuer sa progéniture si elle n’est pas viable et promet de n’être qu’une charge pour le troupeau.

Il n’y a rien d’héroïque ou de viril à consommer du piment. Ça vous fait littéralement tomber dans la boue. L’addiction à la capsaïcine provoque aussi des symptômes proches de ceux d’ignobles maladies vénériennes, tels que des brûlures douloureuses et humiliantes lorsque l’on urine ou que l’on défèque.

Dans ton monde, la surprise est toujours aussi grande quand sous un beau vernis siègent la trahison, le mal et la désolation.

De l’éducation des éloïs
Extrait de l’ouvrage ‘L’éloï au foyer – Conseil pour une vie familiale harmonieuse’, éditions de l’Etat, 2008

Lorsque vous emménagez sous le même toit avec une éloi, il est bon, avant d'établir des règles et de les lui enseigner, de vous familiariser avec son mode de pensée.
Vous devez être capable d'apprécier votre femme pour ce qu'elle est, à savoir une créature instinctive, esclave de ses hormones sexuelles.
Sa capacité de compréhension repose sur trois pierres angulaires : la répétition, la récompense et le renforcement. En retour, elle sera obéissante et loyale et vous manifestera un amour et un attachement sans limite.
Les clefs, pour inculquer son rôle d'épouse à une éloi, sont la constance, la logique, la clarté et la patience. (p. 167)

ELOI, subst. fém. Courant et familier. Sous-race du sexe féminin, active sur le marché de l’accouplement et vouée à favoriser par tous les moyens le bien-être du sexe masculin. Recommandation officielle fémine*. Étymologie et histoire. Terme passé dans notre langue dans les années 1940. Créé par l’écrivain social H.G. Wells*, qui a prédit que l’humanité se diviserait au cours de son évolution en sous-races bénéficiant et tirant parti chacune à sa manière de l’organisation de la société.
Exemples : "L'éloï est typiquement blonde et brachycéphale." "Les éloïs sont autorisées par la loi à se reproduire."

Si tu as l'âme d'une vraie fémine,
Tu sais être douce et câline.
Mais qu'en est-il de ta fraîcheur ?
Seule l'assure l'Eau de Senteur!
Auprès de l'élu de on coeur
Tu ne dois pas puer la sueur

L'été est comme une plante sortant de terre. Il s'écoule à la fois avec la lenteur imperturbable de la germination et avec la rapidité presque agressive de la pousse des tiges et des fruits au cœur de la belle saison.

« Tous les jeux ont pour objet d’assurer des bénéfices à leurs organisateurs ».