Chanson douce

Quelle déception...

J'apprends dès le premier chapitre que les enfants sont morts, l'intrigue est donc dévoilée, je me demande pourquoi sont-ils morts?

Je ne le saurais jamais, j'ai dû raté quelque chose à cette description de la nounou, psychologiquement faible, et retranchée derrière des enfants pour disparaître aux yeux des gens normaux, de l'administration, du monde.
Une vengeance envers des parents absents, parisien, bobos, soucieux de leur carrière et du paraître, plutôt que de l'être?

Une narration romanesque et adapté à la française d'un fait divers américain?

Peut être un peu tout çà, j'ai abandonné à la page 175, pourtant il restais une cinquantaine de pages pour connaitre la fin .

Je crois que je vais retourner à la littérature classique ou d'Antan.

Décidément je n'arrive pas à entrer dans la littérature contemporaine.

Prix Goncourt ou pas ne je ne comprends pourquoi les écrivains s'enquiquinent à écrire sur des histoires monstrueuses comme si la réalité ne se suffisait pas à elle-même. (Lu en e-book)

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Pour valider ce commentaire, j'ajoute que le "triste tigre" qui a reçu pleins de prix (dommage pour les autres auteurs qui auraient pu eux avoir leur petit coup de pouce) : prix Femina, prix Goncourt des lycéens, prix littéraire du Monde ; et bien j'ai eu une overdose de l'avoir vu sur internet ces derniers mois et lui aussi il ne passera pas ma bibliothèque même virtuelle !

Je met une étoile parce que je n'ai pas réussi à lire ce roman et non pour sanctionner l'autrice.

Je reconnais que la plume de Leila Slimani est habile pour raconter en quelques mots bien choisis le basculement. le basculement d'une âme humaine, le basculement d'une vie, le basculement du quotidien.


A mon humble avis, il ne faut pas lire ce livre si vous avez vécu la mort d'un enfant qui fait remonter à la surface des émotions néfastes car vous connaissez déjà dans les profondeurs de votre âme la banalité du quotidien qui bascule dans le néant, les décisions mineurs qui ont conduit à cet instant, les signes annonciateurs non-vus qui reviennent à la mémoire quand l'ineffable horreur s'est produit.


Je n'ai pas pu lire ce roman, trop d'émotions. J'ai feuilleté, lu une ligne par ci, par là et le malaise reste, j'ai lu le dernier chapitre pour tenter d'apaiser l'angoisse mais J'ai refermé le livre en espérant ne pas faire de cauchemar et en regrettant de ne pas avoir mieux choisi.

Ben si j'ai noté, j'ai noté zéro

Je n'ai que très moyennement apprécié ce livre. Peut être en attendais-je trop après le tapage médiatique qu'il a suscité. Je ne suis jamais vraiment "entrée" dans l'histoire, aucune empathie avec les personnages. J'ai toujours eu l'impression de sentir la volonté de l'auteur d'écrire une histoire hors norme, une histoire faite pour effrayer, pour faire réagir et sans doute pour avoir un prix littéraire.

J'avais d'énormes attentes, mais le pétard était mouillé. Un roman convenu, pour une histoire convenue, avec des personnages qui manquent absolument de profondeur, d'étoffe et de vérité, des effets de descriptions qui ne font qu'alourdir le tout, et pour ma part, une lecture poussive, laborieuse, il ne se passe rien, pas même un coup de vent pour faire avancer le voilier... Bref, pas mal écrit, mais ennuyeux, plat, vide, inconsistant. le Goncourt ? Un tout petit goncourt...

D'une médiocrité sans égale !
Le point de départ : un fait divers à sensation tel que ceux que l'on trouve dans la presse à scandale ou le Nouveau Détective. de quoi donner la frousse aux jeunes parents sensibles. Une écriture grasse et aux détails grossiers. Bref c'est la première fois de ma vie toute entière que je trouve un livre si mauvais du début à la fin.
Ce roman n'est qu'un mauvais article dont les lignes ont été étirés pour en faire un livre !

Tellement déçue par ce roman... Je l'ai lu d'une traite non par passion dévorante mais pour en finir au plus vite. Je n'ai pas aimé le style, les personnages ont des contours flous, pas moyen d'entrer en connexion avec eux. Presqu'aussi déçue qu'avec D'après une histoire vraie de de Vigan que je n'avais même pas pu achever. A croire que les histoires de bobos parisiens ne m'atteignent pas même si là, le fond de lutte des classes aurait pu être intéressant. J'ai le souvenir d'un Goncourt à l'écriture ciselée qui lui m'avait bouleversée : Chasseur Zero de Pascale Roze.

J'ai eu du mal à finir ce bouquin. Je trouve que c'est ennuyeux et que ça traîne vraiment en longueur. Et la fin n'apporte rien de plus. Vraiment déçu par ce prix Goncourt.