Je vous explique en gros, parce qu'en fait je n'ai pas compris grand chose.
Ethan, héritier ruiné d'une éminente dynastie de baleiniers, est le commis d'une épicerie qui appartint autrefois à sa famille. Tout le monde le pousse à s'enrichir, quels qu'en soient les moyens, mais il aime bien trop sa petite vie tranquille, son travail bien fait, son adorable femme et ses gosses exaspérants. Et il est heureux d'être un homme honnête et satisfait.
Mais jusqu'à un certain point : le mal va venir tenter cet homme intègre.
Après, je n'ai rien compris aux petits magouilles et aux grosses entourloupes des uns et des autres, qui est méchant et qui est gentil, qui tire son épingle du jeu et la morale de tout cela.
J'ai beaucoup souri car Il y a une grande surprise pour moi dans ce livre, c'est son côté joyeux et plaisantin, que je n'attendais pas du tout chez Steinbeck: il ne se prend pas du tout au sérieux.Mais je me suis heurtée au fil des pages à une incompréhension opaque, sans savoir si j'étais obtuse ou si Steinbeck entretenait à plaisir cette confusion. Et curieusement je ne me suis pas ennuyée non plus dans ce labyrinthe, tant le personnage d'Ethan est plaisant et le point de vue loufoque.
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