Plus que la description d’une époque, sous De Gaulle, où ça tabasse sec au commissariat comme en prison, les Amies de la place blanche est, selon les mots d’Hélène Hazéra, «un album de famille, témoin irremplaçable du temps où les premières trans parisiennes arpentaient le bitume ou faisaient la fortune des cabarets». Un destin immortalisé par Christer Strömholm, le plus français des Suédois [...].
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Strömholm vit avec les prostituées, il partage leur quotidien. Il est presque dans l'image. Ce qui crée une énergie, une proximité, une sensualité rares sans pour autant être voyeur ni vulgaire.
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