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sur 4955 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Turtle, 14 ans, vit dans une petite bicoque déglinguée, à Mendocino, au fin fond de la Californie. Élevée par son père, Martin, un homme autoritaire, violent et abusif, elle passe le plus clair de ses journées, quand elle n'est pas à l'école, à arpenter les bois, à tirer avec son Remington 870 ou son AR-10 au fond du jardin (quand ce n'est pas le Sig Sauer dans la maison) ou encore à rendre visite à son grand-père alcoolique qui n'habite pas loin. Aux yeux de Martin, la fin du monde étant inéluctable et proche, il prépare sa fille à affronter l'inévitable chaos. Mais sa rencontre avec deux adolescents va bouleverser sa vision du monde...

Pffff.... Quelle lecture éprouvante et harassante ! Non seulement pour l'ambiance incestueuse, glauque et malsaine, les gros mots usités à tout va, l'incompréhension, la faiblesse, le verbiage de certains dialogues, l'abus de mots savants (qui plus est, sortis de la bouche d'adolescents), le manque d'empathie et de compassion pour tous les personnages (sauf la chienne Rosy !) mais aussi pour les scènes surréalistes et une fin croquignolesque. Quelques passages intéressants relèveront un tant soit peu l'intérêt de ce roman.
Huit années auront été nécessaires à Gabriel Tallent pour écrire My absolute darling. Cela, évidemment, s'en ressent tant chaque mot est pesé et le style ampoulé. Ça manque de chaleur, d'humanité, d'émotion.
Pfff... M'en vais tirer deux, trois coups au fond du jardin, pas loin des rochers couverts d'hépatique, ça va peut-être me calmer. Avec un peu de chance, je pourrais admirer les sumacs, les myrtes, les fétuques rouges ou les tiges de houlque laineuses. Ou encore apercevoir une envolée de marouettes ponctuées, de pluviers guignards ou de phragmites aquatiques...
Rhâââ... J'hésite encore entre mon Noveske AR-15 ou mon AR-10 Lewis Machine & Tool avec lunette U.S. Optics 5-25x44...
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À lire les avis dithyrambiques de mes compères babéliotes, on peut s'interroger sur l'intensité de noirceur qui attire les individus! ;-)
Ceci dit en toute amitié!

Car vous conviendrez sans doute que ce livre est en bonne place pour la palme du thriller le plus glauque lu pour ma part à ce jour. Les éditions Gallmeister ont le chic pour dénicher ces champignons vénéneux !

Mettez dans le tonneau un trou du cul de l'Amérique profonde, une nature omniprésente qui inspire des scenari à la Koh-Lanta, un huis-clos « père-fille» d'une perversion d'orfèvre, une philosophie de bazar sur l'écologie et la fin du monde possible, une constante très américaine de l'utilisation des armes, des jurons toutes les deux pages, de la violence, de l'inceste...
Laisser macérer et déguster un breuvage indigeste qui reste en bouche par des excès d'aigreur.

Même si je peux comprendre que l'originalité du livre est justement cette haute capacité à décrire le pire de la nature humaine, je trouve au récit bien des lourdeurs: excès de descriptions sans intérêt, peu de subtilité dans cette relation toxique filiale, des pistes d'explications psychologiques un peu simplistes et une surenchère dans l'indicible.

Bien que prête à affronter le pire, vous comprendrez donc que je me suis passablement ennuyée. Trop de sordide tue la crédibilité, même si le thème de la maltraitance est une constante dans nos sociétés et se doit d'être dénoncé.
Pour les amateurs du genre…
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Je l'ai enfin lu, le livre dont tout le monde parlait.
Evidemment, quand on attend le livre du siècle, on est déçue. Là, c'est même plutôt dégoûtée.
C'est très américain, ce n'est pas un défaut, au contraire.
Nature sauvage-sumacs vénéneux, tarentules, scorpions, tsunamis sortis d'on ne sait où, océan grondeur, séquoias géants, pumas en free style, averses diluviennes, le nouveau monde, c'est pas la Mayenne, ma bonne dame...,-survivalistes en mode Terminators armés jusqu'aux dents, vieux hippies incestueux qui mangent bio rescapés de la secte de Charles Manson, adolescentes en difficultés scolaires et familiales qui marchent pieds nus pendant cent bornes dans "les ronces parviflores et les troncs écaillés des pruches de l'ouest" ...Saperlipopette.
Lolita version hardcore. le papa de Julia, dite Croquette, dite Turtle, est affreux, violent, violeur, exerçant une emprise presque totale sur sa fille, qui ne sait trop si elle l'aime ou le hait, en tout cas le protège. C'est là que je tique. On sait que les enfants battus et molestés adopte ce type de comportement. Je déplore cependant de la complaisance envers l'amour physique du père pour la fille, des cris de plaisir de Croquette qui me paraissent un tantinet déplacés, un côté sexy appuyé du paternel qui dérange. Quand je pense aux affaires sordides de ce type dont on parle parfois dans les journaux, j'ai du mal à imaginer dans ces jeunes filles exsangues que la police délivre des caves et des maisons où elles étaient enfermées, des geishas libertaires amoureuses de leur papounet. Sérieux ? Non mais sérieux ? Je pense que jamais une femme n'aurait écrit ça. Jamais.
Tout dérape entre papa et son absolut darling quand Lolita rencontre deux lycéens perdus en forêt qui parlent de Proust et de Platon. de Marc-Aurèle. Sérieux ? D'ailleurs, papa violeur lit Descartes et Marc-Aurèle lui aussi, allongé tout nu sous les séquoias géants avec son fusil Machin XX23 de la guerre du Viet-Nam. Sérieux ? Il se laisse bercer par les vagues du Pacifique, mais demeure soupe-au-lait. Croquette prend une belle trempe quand il comprend qu'elle a fait du camping dans la pinède géante avec Proust et Aristote.
Ca dérape encore plus, si c'est possible, avec la mort de Papy ....Nous n'en dirons pas plus....Ca dérapait déjà pas mal.
En plus, ça m'a vaguement ennuyée, sauf quand Lolita et Marc-Aurèle se font prendre par un raz-de-marée en pêchant des anguilles-phénomène naturel sur ces côtes auquel je n'ai rien compris.
Bref, en ce qui me concerne, pas un chef d'oeuvre du tout. Limite racoleur.
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Je n'ai pas pu. J'ai essayé, j'ai insisté jusqu'à la moitié du livre, mais non ! le style regorge de vulgarités, à force, c'est trop ! Même si le cadre de vie de Julia est sordide, et que son père incestueux est d'une vulgarité dérangeante et violente, pour quelqu'un qui lit autant.

Vous l'aurez compris, pour moi, ce n'est pas le fameux chef-d'oeuvre du siècle annoncé, malgré les sujets graves abordés.
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C'est avec une totale confiance que j'ai entamé la lecture de ce roman.
Dès le début, j'ai eu envie que Turtle s'en sorte, vivant seule avec un père incestueux, l'initiant aux armes à feu.
Elle hésite entre lui faire confiance et le rejeter.
Heureusement, elle va au collège et ses profs dont Anna s'interrogent sur son repli sur elle-même et son retard scolaire.
Ils convoquent le père qui se mêle de leur étaler ses théories de destruction du monde et de critiquer les matières enseignées.
Heureusement, Julia ( Turtle ) va faire connaissance avec Jacob, un lycéen de son âge, sain et blagueur ( enfin un) qui va l'aider à revenir sur ses certitudes.
Les seules motivations qui m'ont poussée à continuer étaient de savoir si Turtle, notre jeune adolescente allait pouvoir se libérer de l'emprise de son père et l'écriture qui était par moments très belle, très précise, notamment dès le début pour décrire la maison dans laquelle ils vivent.
Sinon, l'ambiance plus que glauque et les mots orduriers employés par le père et la fille étaient épouvantables, très lourds, les scènes aussi d'ailleurs.
Un roman que je regrette d'avoir lu. Il ne m'a absolument rien apporté.
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Ma meilleure amie m'a prêté "My absolute darling" en me disant : "Tu verras, c'est dur, mais c'est bien", et son avis semblait alors rejoindre celui de très nombreux lecteurs. Je referme ce roman après une semaine de lecture pénible et je me dis : "C'est dur, et pourquoi est-ce bien ?".

Je ne sais pas si Gabriel Tallent a voulu montrer par ce premier roman le spectacle navrant de la décadence des ploucs américains ; en fait, je ne sais pas ce que Gabriel Tallent a voulu montrer à travers son roman, si tant est qu'il ait voulu montrer quelque chose. Personnellement, je ne vois pas en quoi l'histoire de Turtle, 14 ans, prisonnière d'un géniteur pédophile et ultra-violent, dont les progrès à l'école sont stagnants et la capacité de survie exacerbée, tout comme son goût pour les armes à feu, héritage éducatif de son enfoiré de paternel, est représentative de quelque chose de concret. Au début de ma lecture, j'ai cru que l'auteur voulait dénoncer quelque chose voire l'absurdité de la société et certains passages m'ont semblé creusés avec soin mais dès la seconde partie du roman, tout est parti en eau de boudin : quand Turtle et Jacob font naufrage sur un îlot désertique au large de la côte californienne, c'est tout le roman qui chavire et bascule dans un mauvais scénario de blockbuster hémoglobiné.

Roman noir, roman dur, comment en serait-il autrement quand on subit les scènes d'inceste et de pédophilie, de violences sur enfants, d'entraînements intensifs au tir et au maniement des armes à feu, et quand les seuls mots qui franchissent les lèvres de Martin, l'enfoiré de paternel, sont "Putain" et "Bordel de Dieu" ? Chez Tarantino, ces mots ont une résonance, ici, aucune.

"My absolute darling" raconte la lutte à mort entre un père abusif et sa fille victime du syndrome de Stockholm jusqu'à la mise à mort de l'un d'eux. Mais pour autant, je n'ai jamais eu la sensation que Gabriel Tallent voulait illustrer une lutte à mort contre la prédation sexuelle ou contre l'usage familier des armes dans les foyers américains. Il y a ce quelque chose de gratuit et de voyeur dans la précision chirurgicale de son style qui m'a agacée.

Bien sûr, il se dégage de la narration une urgence, une terreur réfrigérante, une détresse et une violence qui ne peuvent laisser insensible le lecteur le plus blasé mais la même question revient : pourquoi ? A quoi ça sert ? A qui ça sert ? La finalité de toute cette merde, de toute cette noirceur et de tout ce vice, où et quelle est-elle ?

La psychologie des personnages principaux se veut fine mais elle est grossière, inutilement complexe et alourdie par des introspections hors-de-propos pas même justifiées par l'urgence à survivre de Turtle. C'est complaisant et surjoué, l'auteur prépare ses effets comme un magicien le lapin caché dans son chapeau. Les descriptions de la nature sont valables mais l'auteur donne l'impression d'être fier du moindre mot un peu érudit. le style manque de naturel ; j'ai ressenti de la pitié pour Turtle mais pas de compassion, dommage. Si le but ultime était de faire naître chez le lecteur la rage du vengeur et du justicier, très peu pour moi, merci.

Bref, je suis arrivée au dénouement épuisée et soulagée d'en finir. Définitivement, me méfier des romans dont la première page jette à la figure du lecteur les critiques dithyrambiques des magazines. La puissance et l'authenticité unanimement vantées auront été les grandes absentes de cette expérience littéraire.


Challenge MULTI-DÉFIS 2020
Challenge TOTEM
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My absolute Darling, un livre qui a fait couler beaucoup d'encre. Je l'ai lu il y a déjà un moment mais j'étais incapable d'en dire autre chose que « il est dérangeant, très dérangeant ». Mais pourquoi ? D'abord parce que Turtle n'est pas une gamine comme les autres et pas non plus une victime comme les autres. Difficile d'entrer en empathie avec un tel personnage, ce qui ne fut d'ailleurs pas mon cas. Cette gamine est flippante : tireur d'élite en herbe, capable de survivre seule dans des conditions extrêmes elle est pourtant complètement sous l'emprise de son père. Il est difficile de ne pas perdre de vue que c'est une victime car elle est physiquement en capacité d'échapper à son bourreau. Donc une seule explication, dérangeante : il y a une forme de consentement. Un consentement arraché, extirpé, par une manipulation psychologique malsaine et perverse, pour autant ça n'adoucit pas le sentiment de répulsion inspiré par la situation.

Le profil psychologique des personnages est finement travaillé et effrayant car plausible. Il en découle que le ressenti face à ce livre est très compliqué (enfin ce n'est que mon avis et mon ressenti). Je comprends pourquoi les lecteurs ont adoré ou détesté ce livre. Il exerce sur le lecteur à la fois une attraction et une répulsion. Une envie de savoir et un dégoût une fois que l'on sait.

Personnellement ce livre m'a mis mal à l'aise car il met face à l'horreur de la nature humaine (hors période de guerre et hors circonstances exceptionnelle donc rien qui ne puisse apporter des circonstances atténuantes) de façon subtile et brutale à la fois. Subtile de par la psychologie des personnages et brutale de par les comportements violents omniprésents.

Qu'un livre provoque de telles réactions chez le lecteur est en soit un véritable tour de force, c'est un livre marquant qui laisse une empreinte. de là à parler de chef d'oeuvre, je serai beaucoup plus nuancée. Je n'ai pas particulièrement aimé l'écriture et à la lecture de certains passages j'avais du mal à conserver mon attention. Certaines longueurs ont failli me décourager et j'ai failli ne pas aller au bout de ma lecture. J'en suis encore à me demander si je me souviendrai de ce livre pour de bonnes raisons. Une lecture qui me laisse dubitative.
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Martin a transformé en super Rambo sa fille Julia, en décrochage scolaire, sa fille "Croquette" qu'il élève seul et à qui il voue un amour incestueux, sa fille Turtle bizarrement peu sure d'elle, qui ne sait jamais quoi faire à part se traiter de connasse.

L'écriture avec ces insipides longueurs m'a paru manquer de maturité cependant j'ai apprécié le côté 'nature writing' de certains passages (noeud de Tarbuck). Ce côté "survie" et les nombreuses armes à feu devraient plaire aux "Républicains" ainsi que peut-être la richesse du vocabulaire. (Il y a quand même 41 "connasse", 23 "fils de pute", 12 "pouffiasse", 18 "connard", 172 "putain" dont 17 "putain de merde"...)
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J'ai souffert avec ce roman que je n'ai pas du tout aimé même si on peut reconnaitre à l'auteur une grande maitrise : les personnages vous hantent, la nature plutôt hostile vous cerne : aucun répit .

Dans une maison délabrée, au bord de l'océan, Julia , surnommée Turtle ou Croquette, 14 ans , vit seule avec son père Martin . Un père peu ordinaire, citant les philosophes, persuadé que la fin du monde est proche ,et qui voue à sa fille un amour qui déborde largement le cadre paternel . Il est d'une exigence impitoyable vis à vis des capacités de sa fille à survivre dans toutes les conditions en commençant par la pratique répétée des armes à feu !

L'univers de la fillette tourne autour de ce monde , les relations avec les autres sont inexistantes, sauf qu'en arrivant à l'adolescence les choses vont changer et Croquette va tenter de sortir de ce carcan paternel .

Tellement modelée par son mode d'éducation, elle peine à exprimer une autre opinion et d'autres mots que ceux que Martin emploie, cela en est déchirant , comme l'emprise qu'il exerce sur elle et régit malgré elle ses rapports avec les autres , la rendant sauvage et antipathique au regard de ceux qui voudraient l'aider .

On sent bien que Gabriel Tallent va nous entrainer jusqu'au fond de l'océan.

Huis clos étouffant et souvent violent , et c'est bien cela qui m'a gêné dans ma lecture avec un besoin de faire des pauses pour supporter les mots, pour admettre cet amour que la jeune fille porte malgré tout à son père et l'impossibilité d'y échapper sans fracas .


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Julia Alveston, dite Turtle, vit seule avec son père en Californie, en pleine campagne, dans des conditions rudimentaires. Ses sorties se limitent à l'école où la jeune fille a de grosses difficultés, elle n'a pas d'amis non plus car elle n'a confiance en personne. Turtle passe son temps à s'exercer au tir avec les armes que lui donne son père et à les entretenir méticuleusement. Son père est un homme très cultivé mais extrêmement violent et malsain puisqu'il abuse de sa fille et ne supporte pas qu'elle puisse lui échapper. Mais un jour, Turtle va se promener plus loin que d'habitude et rencontre deux garçons. Elle commence à comprendre qu'une autre vie est possible en-dehors de son père. A la mort de son grand-père, le seul qui semblait la comprendre et vouloir la protéger, le père de Turtle disparaît pendant des semaines. Quand il revient, il est encore plus violent ; Turtle réalise que pour sauver sa vie, il faut qu'elle lui échappe...

J'ai emprunté My absolute darling à la médiathèque de ma commune par curiosité, ayant été interpelée par les nombreuses critiques de ce roman. Personnellement, je pense que toute seule je n'aurais pas choisi de lire ce roman vraiment particulier.
Honnêtement, je n'ai pas apprécié ce livre qui m'a rebutée à de nombreuses reprises et que j'ai failli abandonner plus d'une fois. Tout d'abord, j'ai eu beaucoup de mal avec le style employé, il y a énormément de mots ou d'expressions très vulgaires qui pour moi n'ont pas leur place dans un livre, d'autant plus quand il y en a autant. Les injures employées par Turtle paraissent encore plus déplacées dans la bouche d'une jeune adolescente.
Il y a aussi un lexique de la nature assez compliqué, l'auteur parle de plantes ou d'animaux peu courants et vu qu'il y fait souvent allusion, cela complique la lecture.
Des scènes comme celle du petit déjeuner avec toujours le même rituel, sont répétées à de nombreuses reprises et procurent une impression de lassitude.
Mais ce qui m'a le plus choquée et déplu, c'est le fond même du roman, ce père incestueux et violent qui use de la plus féroce des violences envers sa fille unique. Les scènes de viols, de violence m'ont donné la nausée, je les ai trouvées insupportables, d'une sauvagerie crue, j'ai eu beaucoup de mal à les lire. C'est bon que je voulais savoir si la jeune fille allait s'en sortir car sinon, j'aurais abandonné ma lecture. Ce roman est vraiment difficile à lire et pas à la portée de tout le monde.
J'en avais lu un un peu identique il y a quelque temps, La fille du roi des marais de K. Dionne, mais celui-ci m'avait mieux plu, même si certaines scènes étaient très violentes aussi.
Je ne m'attendais pas du tout à ce genre de livres avec ce roman, d'autant plus que le livre me laissait penser à toute autre chose, j'ai vraiment été déconcertée et cela ne correspond pas à ce que je lis habituellement. Je veux bien changer de style de lecture de temps en temps mais celui-ci ne me correspond vraiment pas.
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