Suite de "Splendeur de Cavendon Hall".
Angleterre. Cavendon, 1926.
A l'étage noble : les Ingham : le père, le fils et les quatre filles.
Dans l'escalier les Swann : Cécily, ses parents, son frère et sa tante Charlotte.
Depuis plusieurs générations les deux familles sont imbriquées l'une dans l'autre et vice versa. L'une ne peut vivre sans l'autre. Mais toujours côte à côte.
Or pour la première fois un Ingham va épouser une Swann !!!
Et l'avenir ne pourra que leur donner raison.
Ils devront rester unis pour sauvegarder le manoir de Cavendon et traverser les épreuves qui les attendent.
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C'est un livre que j'ai emprunté à la médiathèque près de chez moi. D'habitude ils précisent si c'est un second tome mais là ils ne l'ont pas fait et je l'ai pas vu donc je me suis fais avoir. Oui, oui j'ai bien lu le second tome d'une trilogie sans avoir lu le premier et m'en suis rendu compte qu'à la fin.
Tout d'abord, je tiens à souligner que c'est un second tome puisque je l'ai lu avoir cette information. J'ai eu un peu de mal à rentrer au début dans ma lecture, surement à cause de cela, y a beaucoup de personnages je me perdais un peu au départ (d'ailleurs j'adore le fait qu'ils sont répertoriés au tout début). J'ai adoré l'ambiance Downtown Abbey qu'il dégagé avec d'un côté la famille des propriétaires du domaine et de l'autres les domestiques et en particulier une famille à laquelle ils sont très lié depuis plusieurs générations. Ce roman nous permet de voir l'évolution des moeurs dans la société, c'est quelque chose que j'ai plutôt apprécié avec notamment le fait qu'on retrouve des femmes plutôt indépendantes. de plus il se déroule sur plusieurs années, il y a quelques ellipses temporelles ce qui permet de donner un effet “réaliste” sur le temps qui passe.
Maintenant j'ai bien envie de découvrir ce qui c'est passé avant et ce qui peut se passer après.
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C’est un bel homme, avec du charme à revendre. Mais il est terriblement imbu de lui-même. Tout le monde s’accorde à dire qu’il excelle dans son métier… Les médecins dans son genre, accoutumés à faire des miracles et à tromper la mort, ont souvent une très haute opinion d’eux-mêmes. Ils voudraient qu’on se prosterne à leurs pieds.
Les racontars peuvent être ravageurs. Ils peuvent briser des vies. Ceux qui les propagent sont, à mon sens, de dangereux malfaiteurs. Ils causent du tort à autrui par leurs bavardages oiseux
Nul ne sait de quoi demain sera fait ; nous ne manions pas les fils de notre vie : nous en sommes les pantins. Il nous faut accepter le lot qui nous incombe, et prier que tout s’arrange au mieux.
...mon père m’avait mise en garde contre les hommes de ton espèce. Il m’avait avertie que les aristocrates préféraient les femmes issues de la roture, parce qu’elles n’étaient pas avares de leurs charmes. Et il avait raison !
Le passé se fondait dans l’instant présent et la réconfortait, comme en une étreinte bienveillante. Celles et ceux qui l’avaient précédée continuaient de vivre à travers leurs descendants. Ils les avaient forgés, et tous étaient connectés par leurs liens d’amour ou de parenté, formant une grande famille, robuste et solidaire.
Barbara Taylor Bradford's A Woman Of Substance 30th Anniversary