L’un des plus grands périls que courent les habitants d’une ville violemment ébranlée par un tremblement de terre est celui d’incendie : les foyers, les fourneaux se renversent, mettent le feu à ce qui les entoure, et la panique que provoque le séisme proprement dit fait que nul au début ne s’efforce d’éteindre ces flammes alors qu’elles sont petites encore. (p.47)
Quatre-vingt dix fois sur cent les drames résultent exclusivement de la destruction des bâtiments. Il est fort rare que lors d’un tremblement de terre les gens périssent d’une façon différente. (p.13)