J'ai longtemps parlé du baiser de Klimt, baiser puissant, bestial, presque violé, et, par opposition, du baiser de Munch, partagé, voluptueux, fusionnel. Je ne sais pas pourquoi je n'avais pas la présence d'esprit d'y introduire celui d'une sensibilité extrême de
Vuillard au regard mystérieux, intérieur, baiser semblant être attendu, unique dont il rêvait depuis toujours, baiser trop beau pour y croire, voire impossible que la pudeur manifeste rend plus beau encore !..PG