Citations sur Le Seigneur des Anneaux, tome 1 : La Communauté de l'an.. (435)
Je ne connais pas la moitié d'entre vous autant que je le voudrais. Et j'aime moins de la moitié d'entre vous à moitié moins que vous ne le méritez.
Il était un roi elfe appelé Gil-galad.
Sa mémoire est chantée dans de tristes ballades :
dernier dont le royaume ait été libre et fier
de la Mer azurée aux Montagnes altières.
Longue était son épée et vive était sa lance,
son heaume scintillant se voyait à distance;
les étoiles semées aux champs du firmament
se miraient à la nuit dans son écu d'argent.
Mais en des temps troublés jadis il chevaucha
à l'ultime bataille où l'ombre le faucha;
son étoile périt dans la nuit la plus sombre
au pays du Mordor, au domaine des ombres.
Livre 1 - Chapitre 11
Nombreux sont ceux qui vivent et méritent la mort. Et certains meurent qui méritent la vie. Pouvez-vous la leur donner? Alors ne soyez pas si empressé d'infliger la mort en jugement. Car même les plus sages ne peuvent percevoir toutes les fins.
Livre 1 - Chapitre 2
« Trois Anneaux pour les rois elfes sous le ciel,
Sept pour les seigneurs nains dans leurs demeures de pierre,
Neuf pour les hommes mortels destinés au trépas,
Un Anneau pour le Seigneur ténébreux sur son sombre trône,
Au pays de Mordor où s'étendent les ombres
Un Anneau pour les gouverner tous
Un Anneau pour les trouver
Un Anneau pour les amener tous,
Et dans les ténèbres les lier
Au pays de Mordor où s'étendent les ombres. »
C'est le boulot qu'on ne commence jamais qui est le plus long à terminer. (P.478 - Pocket)
La mort n'est qu'un autre chemin
qu'il nous faut tous prendre.
Le rideau de pluie grisâtre de ce monde
s'ouvrira, et tout sera brillant comme l'argent...
Alors vous les verrez...
Les Rivages Blancs!
Et au delà...
la lointaine contrée verdoyante,
sous un fugace lever de soleil.
(...), car un avis est un don dangereux, même de sage à sage, et tous les partis peuvent mal tourner.
Vous... ne passerez.... pas !
La maison est derrière et devant nous le monde ;
Les sentiers sont légion où nos pieds vagabondent
Quand d'ombre en crépuscule, au lever de la brume,
Tout à tour dans le ciel les étoiles s'allument.
Puis le monde derrière et la maison devant,
Nous rentrerons enfin trouver notre lit blanc.
Brume et nuage rond
Dormiront ! Dormiront !
Feu, lampe et pain de mie,
Puis au lit ! Puis au lit !
(Dernière strophe de la chanson de marche composée par Bilbo)(Nouvelle traduction de D. Lauzon)
Dans cette quête, les faibles ont autant d'espoir que les forts. Mais il en va souvent ainsi des actes qui font tourner les roues du monde : de petites mains s'en chargent parce qu'il le faut, pendant que les yeux des grands regardent ailleurs.
Livre 2 - Chapitre 2