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Batman & Robin tome 1 sur 7
EAN : 9782365773553
192 pages
Urban Comics Editions (11/07/2014)
3.91/5   22 notes
Résumé :
Batman a toujours eu à ses côtés un Robin, mais pour la première fois, Bruce Wayne fait équipe avec la chair de sa chair : le turbulent Damian Wayne. Élevé par la Ligue des Assassins, ce dernier tente tant bien que mal de se montrer digne de son père, mais l’arrivée de Morgan Ducard va l’amener à faire un choix cornélien.
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Le duo mythique Batman et Robin opte pour une nouvelle configuration ! Bruce Wayne et Damian Wayne voient leur aventure narrée par Peter J. Tomasi et Patrick Gleason, à partir du relaunch de 2011 (DC Renaissance, New 52, etc.). Urban Comics lance cette série en librairie après avoir fait le bonheur de leurs parutions en kiosque.

Cette nouvelle version du Dynamique Duo est captivante à plus d'un titre. Déjà, c'est le retour de Bruce Wayne sous le costume de Batman, en parallèle de son aventure contre la Cour des Hiboux et après l'intermède de Dick Grayson. de plus, pour la première fois, le Robin qui fait équipe avec Bruce Wayne est son propre enfant, Damian Wayne, le fils qu'il a eu de Talia al Ghul. Enfin, en tant que petit-fils du terrible Ra's al Ghul, Damian Wayne, introduit dès le tout début du run de Grant Morrison, a été entraîné depuis son plus jeune âge au sein de la Ligue des Assassins et, malgré sa dizaine d'années au compteur, assurance et arrogance sont ainsi ses principales caractéristiques. L'affrontement permanent entre l'impétuosité de la jeunesse et l'expérience paternelle fait donc le sel et l'argument principal de cette série Batman et Robin.
La relation Bruce – Damian est continuellement tempérée par l'éternel Alfred, toujours au service de la maison Wayne et prolixe en bons conseils. le sens de la famille est constamment questionné et cela prend forme dans contexte du retour de tout un pan intéressant du passé de Bruce : son entraînement avant de devenir le Batman et les ennemis qu'il a pu se faire dans cette période. L'adversaire qui les confronte est alors Personne, dont je ne révèlerai évidemment pas l'identité, mais Peter J. Tomasi s'amuse, à travers quantité de dialogues, à tourner ce nom particulier en blague ou en phrase à double sens tel Ulysse chez le Cyclope dans l'Odyssée. Face à cet énigmatique vilain, Damian Wayne est la petite teigne par excellence certes, mais c'est surtout un « tueur né » comme l'indique le titre de ce tome. Grâce à de nombreux détails savoureux et à quelques ruses scénaristiques de mise en scène pour nous épargner certaines scènes trop violentes de l'histoire, Peter J. Tomasi réussit à réutiliser quantité d'informations tout en ne reniant jamais ce qu'il se fait des les nombreuses autres séries autour de Gotham. Sa connaissance parfaite du Batman Universe est vraiment appréciable et, seul hic, cela implique souvent d'avoir lu et bien digéré le Batman Incorporated de Grant Morrison.
De son côté, Patrick Gleason nous fait profiter de son beau style léché. le dessinateur prend régulièrement appui sur des doubles pages mettant en lumière un moment d'action bien senti ; de plus, il construit assez souvent ses planches en juxtaposant des scènes différentes pour retracer en vitesse, le scénariste aidant, un exposé qui aurait pu être davantage délayé mais aurait alors été bien moins dense et passionnant. le but est d'avancer et le style graphique incite à progresser rapidement dans l'histoire, d'autant plus que la marque apportée par les deux auteurs rappellent fortement les premières histoires du Dynamique Duo : on court et on saute, on s'amuse et on se met en danger, on se pose des questions, c'est à la fois frais et motivant.

Simple est donc très loin d'être l'ennemi du bon, cette histoire en atteste. le souci apporté par Peter J. Tomasi au façonnement des relations et des sentiments entre les deux personnages principaux est la marque de fabrique de cette série qui a de beaux jours devant elle, surtout si le dessin de Patrick Gleason ne faiblit pas, du moment que les prochains tomes sont également publiés en librairie.

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CHALLENGE PETITS PLAISIRS (8/40)

Voici une nouvelle série qui nous présente un personnage crée il y a peu par Grant Morrison lors de son très long run.
Le scénariste a eu l'excellente idée de donner au Justicier de Gotham un fils, né de l'union de Bruce et Talia Al'Ghul : Damian Wayne, le nouveau Robin.
Ce petit enfant, éduqué à la dure par sa mère et surtout par la ligue des assassins, a choisi de rejoindre son père et il faut dire que la cohabitation est loin d'être simple.

C'est donc la première fois que le duo dynamique s'articule autour du lien filial. Et j'insiste, si on considère que Peter Tomasi doit faire avec un personnage assez récent, mais qui n'est pas le sien, il faut avouer qu'il s'en tire très bien.

Dans ce premier opus, il y a forcément de l'action, mais ce qui porte l'ensemble du récit, ce sont bel et bien les relations tendues et difficiles entre le père et le fils. L'aspect psychologique est le véritable rouage de la narration, sans jamais devenir prise de tête.

Ce "Batman & Robin" offre donc ses moments de bravoure, d'émotions et il se taille une place toute particulière dans la saga des aventures du Batman.

Pat Gleason (encré par Mick Gray) propose un style graphique assez fluide, avec des découpes très soignées. Personnellement j'ai beaucoup aimé ce premier tome. le second est sorti il y a quelques jours et je pense me le procurer rapidement. Je pense également me laisser tenter par « Grant Morrison présente Batman », afin de découvrir la création de ce nouveau Robin, vraiment très intéressant !
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Ce tome est le premier de la série, lancée dans le cadre de l'opération "New 52" qui correspond à un redémarrage à partir de zéro de l'univers partagé DC... sauf pour le personnage de Batman. D'une certaine manière il s'agit de la suite de Dark Knight vs. White Knight (épisodes 17 à 25, fin de la précédente série) : Batman (Bruce Wayne) et Robin (Damian Wayne) doivent apprendre à vivre et travailler ensemble. Il contient les épisodes 1 à 8, parus en 2011/2012, avec un scénario de Peter Tomasi, des dessins de Patrick Gleason, un encrage Mick Gray, et une mise en couleurs de John Kalisz.

À Moscou, le Batman russe (faisant partie de Batman Inc.) est assassiné sans pitié par NoBody. À Gotham, Bruce Wayne a pris la décision d'associer son fils Damian (10 ans) à ses patrouilles en tant que Batman. Il accepte l'idée de remplir le rôle de père pour ce fils qu'il ne connaissait pas, et d'en profiter pour marquer la rupture d'avec le passé de manière symbolique. Pour commencer, il emmène Robin à Crime Alley (la rue où les parents de Bruce ont été assassinés) avec un point de vue inédit. Ensuite ils font équipe pour arrêter une équipe de criminels en train de s'accaparer les matériaux fissiles utilisés par l'université de Gotham. Cette première mission en équipe met en évidence qu'il va falloir du temps et de la patience à l'un comme à l'autre pour former un duo harmonieux en phase.

Avec la relance "New 52", DC Comics propose 5 séries mensuelles consacrées à Batman : Batman incorporated de Grant Morrison et Chris Burnham, Batman de Scott Snyder & Greg Capullo, Detective Comics de Tony Daniel, "Batman & Robin" et The dark knight de David Finch (sans compter les séries gravitant autour de Batman telles que Batgirl, Batwoman, Robin, etc.). Chaque scénariste doit trouver sa place et développer un aspect particulier du personnage. Comme le titre de la série l'indique, cette série se concentre sur la relation entre père & fils. Peter Tomasi et Patrick Gleason avaient déjà travaillé ensemble sur la série Green Lantern Corps.

Ce tome de 8 épisodes se lit aussi vite qu'un n'en contenant que 4. En y regardant de plus près, le lecteur constate que les dessins de Gleason sont très séduisants, avec de belles surfaces noires, et une densité d'arrières plans assez faible quand il y en a. Chaque page comporte une moyenne de 4 cases faciles à lire, ce qui augmente d'autant la vitesse de lecture. le volume de dialogue est également peu élevé, ce qui participe encore à la rapidité de la lecture. L'intrigue est linéaire. Elle repose sur l'héritage d'un des formateurs principaux de Bruce Wayne avant qu'il ne devienne Batman : Henri Ducard. En jouant sur 2 générations, Tomasi peut ainsi mettre en parallèle des relations de nature père / fils entre plusieurs personnages.

Après coup, le lecteur peut regretter que ce tome se lise aussi rapidement, car Gleason réalise des images très séduisantes. Il y a cette contreplongée avec une pluie de perles tombant au travers d'une grille d'égout, Titus (un très beau Grand Danois), des images iconiques de Batman, d'autres de Robin, cette magnifique carcasse de voiture au milieu d'un champ devant un écran de cinéma en plein air, une scène nocturne avec des lucioles dans la propriété des Wayne, une Batmobile qui semble sortie de Tron, etc. Mais parfois ces images donnent une sensation de superficialité telle cette double page consacrée à Batman, et Robin frappant 2 criminels, vide d'arrière plan, sans autre objectif que de montrer les coups assénés, ce qui sent la décompression gratuite (vraiment fallait-il consacrer 2 pages à cette image qui ne porte pas de narration supplémentaire ?). À d'autres moments Gleason mise sur le dépouillement pour accentuer l'ambiance ou renforcer la prédominance d'une action. En fonction de la sensibilité du lecteur et de la scène considérée, c'est un peu quitte ou double. Ce prisonnier abaissé dans une cuve d'acide sur fond noir est magnifique et l'horreur du crime ressort bien. Damian jetant une chauve-souris dans une crevasse dans une case occupant une demi-page, là encore il est possible de s'interroger sur le bienfondé de consacrer une telle place à une seule image. Par contre du début à la fin, il maîtrise les expressions de Damian avec maestria ce qui lui confère une personnalité complexe et très attachante (même quand un coin de sa langue dépasse de sa bouche pour montrer qu'il s'applique).

À force, cela peut s'avérer un peu agaçant de se dire que tout ça aurait pu tenir en beaucoup moins de pages, ou que la narration aurait pu être plus dense dans ces 8 épisodes. C'est un peu injuste parce qu'au fil des pages, Tomasi et Gleason ont conçu des scènes visuellement intéressantes, mais diluées dans des pages creuses. le scénario génère la même sensation d'agacement. Quand Tomasi est bon (pour plusieurs scènes), il capture de manière pénétrante plusieurs facettes de la relation complexe entre père et fils, en les transposant à Bruce et Damian. Quand il fait avancer l'intrigue, les dialogues deviennent utilitaires, sans porter la personnalité de la personne qui les prononce. Parfois l'analogie père / fils avec d'autres personnages apporte un éclairage supplémentaire à la relation Bruce / Damian, parfois elle ne sert à rien. Tomasi s'amuse aussi à glisser quelques références telles que la piscine (Frank) Miller ou la rue (Steve) Englehart. Il adresse un clin d'oeil aux lecteurs plus anciens en introduisant une nouvelle version du Bathound (Titus). Il sacrifie à l'obligation de faire apparaître Pandora (sur le bord de la piscine). Comme Gleason, il maîtrise le personnage de Damian en lui écrivant de magnifiques moments.

Voilà un tome qu'il est difficile d'aimer, et qu'il est impossible de détester. D'un coté le lecteur en ressort avec l'impression d'avoir une bande dessinée allégée sur le plan des dessins et du scénario (décompressée). de l'autre coté, Tomasi et Gleason se montrent très habiles pour faire apparaître la personnalité complexe et attachante de Damian Wayne, avec beaucoup de scènes sortant de l'ordinaire des comics de superhéros. La raison me conduirait à attribuer 3 étoiles à ce tome, l'affectif me dicte d'en mettre 4. Batman et Robin continuent d'apprendre à se connaître dans Pearl.
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Parmi les comics de super héros, il y en a peu qui m'intéressent vraiment. Autant je peux être curieux de voir les adaptations cinématographiques, autant les comics, bon, à part X-Men et Batman... du coup, voilà une nouvelle série (un nouveau "run" diront les spécialistes) qui met en scène Batman et son acolyte Robin dont le costume est porté par le fils qu'il a eu avec Talia, la fille de Ra'As Ghûl, le boss de la Ligue des Assassins. Si les rapports entre Batman et la famille Ghûl ont toujours été ambigus, on se doute que les rapport entre Bruce et Damian Wayne vont l'être tout autant.

Et le fait est que Damian Wayne supporte mal l'excès d'autoritarisme dont fait preuve son père alors que son éducation aux arts martiaux a fait de ce gamin de 10 ans un garçon apte au combat. C'est par l'apparition d'un ennemi, Morgan Ducard, que l'opposition entre les deux va se montrer la plus prégnante. L'histoire montrera que Ducard a également eu, pas l'entremise de Bruce Wayne, des rapports tendus avec son père. Aussi, cet album qui regroupe les huit premiers épisodes de ce run sont une réflexion quant aux relations entre père et fils. Si les aspects propres à Batman sont présents (la lutte contre le mal, le commissaire Gordon, les combats, etc.), l'aspect psychologique n'en est pas moins un argument de lecture qui apporte une touche de complexité à l'histoire.

Les dessins de Patrick Gleason sont agréables et somme toute dans la ligne classique actuelle des comics, sans originalité et sans défaut majeur. Cette série de Batman et Robin mérite donc d'être suivie pour cette étude psychologique de la paternité de Batman et ce fils qui veut prendre plus de place qu'il n'en a.
Lien : http://croqlivres.canalblog...
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'avais déjà lu cette série en numérique au moment de sa sortie, mais ce fut un plaisir de la relire en papier ! Comme j'ai pu déjà le mentionner, le Batverse est l'univers que j'affectionne le plus au sein des DC Comics et particulièrement les différents Robins, c'est donc absolument le genre d'histoire que j'adore.

Tout se passe après la « mort » de Bruce, Dick avait alors pris la suite du Batman, avec Damian à ses côtés. Au fur et à mesure de leurs mésaventures, ils avaient finit par pouvoir travailler ensemble en tant que Batman et Robin. Puis Bruce est « revenu » et Damian doit à présent apprendre à travailler avec son père et inversement. Autant dire : ce n'est pas une mince affaire ! Damian doit oublier tout ce qu'il a pu apprendre depuis son enfance en étant élevé par la Ligue des Assassins, et se conformer aux règles de Batman, particulièrement à celle qui consiste à ne tuer personne. Pour le féliciter de n'avoir tué personne pendant leur tournée, Bruce prend un grand danois pour Damian, qui finit par l'appeler Titus (c'est ainsi que commença la collection d'animaux de Damian !).

La relation entre père et fils est encore bien tendue et compliquée : Bruce ne dit pas tout à Damian, notamment à propos de l'arrivée de Morgan Ducard en ville. Morgan, ou « Personne », s'est bien rendu compte que Bruce et Damian n'avaient pas les mêmes idéaux quant à garder des criminels en vie (si tant est qu'un enfant de dix ans puisse avoir des idéaux… mais on parle de Damian). « Personne » est plutôt de la vie que tous les criminels devraient être tués, et il compte bien s'en charger et propose à Damian de le rejoindre.

Un tome pleins de rebondissements (pas particulièrement surprenants mais assez savoureux pour qu'on pardonne cela) avec de l'humour, des dessins magnifiques et une évolution dans la relation père / fils (et Batman / Robin) entre Bruce et Damian. Bien impatiente de (re)lire la suite !
Lien : https://deslivresetlesmots.w..
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critiques presse (2)
LesComics
28 mars 2022
Finalement ce Tome 3 de Batman Terre Un ne fait que continuer le plaisir du premier tome. Si on regrette le manque d’enjeux, on a malgré tout droit à une BD de grande qualité accessible à tous qui saura ravir les néophytes mais aussi les fans acharnés ! Bravo !
Lire la critique sur le site : LesComics
ActuaBD
12 décembre 2014
Nouveau souffle insufflé par l’une des meilleures créations, en termes de personnages, proposée dans l’univers de la Chauve -Souris, Batman & Robin apparaît comme une des excellentes surprises que les fans du Chevalier Noir ne doivent en aucun cas manquer.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (4) Ajouter une citation
- Je ne veux pas finir comme Ducard…sans boussole morale, je ne veux pas devenir comme lui. Je veux être comme toi, j’ai toujours voulu être comme toi…Mais parfois je ne sais pas ce que je suis, ni qui je suis…
- Tu es mon fils, et ce que je veux, c’est que tu deviennes le meilleur Damian Wayne que tu puisse être.
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Alfred : C’est un jeune garçon effrayé, Monsieur Bruce.
Bruce : Je pense que son problème, c’est justement qu’il n’a pas peur, Alfred.
Alfred : C’est là où vous vous trompez, Monsieur. Damian a vu son père se faire sérieusement malmener, ce soir. J’ai vu la peur dans ses yeux alors que je vous raccommodais. Je pense qu’il a réalisé, pour la première fois, à quel point vous étiez humain. Vous ne portez pas un « S » ou une bague verte, ni ne chevauchez d’hippocampes vingt mille lieues sous les mers…
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Il y a des fois où je me dis que même tes secrets ont des secrets.

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Bruce : Un peu de respect, je te prie. C’étaient tes grands-parents.
Damian : Il n’en reste que des noms et des portraits poussiéreux au mur.
Alfred : Objection, jeune homme. Il n’y a pas un grain de poussière sur un seul de ces portraits, merci.
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Vidéo de Peter J. Tomasi
Comic Con Paris 2017: l'Interview de Peter Tomasi & Ian Bertram
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