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Le veilleur des brumes tome 1 sur 3

Dice Tsutsumi (Illustrateur)
EAN : 9782745994998
180 pages
Grafiteen (07/03/2018)
4.06/5   222 notes
Résumé :
Yuck est orphelin, mais sa place est sur le rempart. Toutes les douze heures, le petit cochon active les ailes du moulin pour éloigner le brouillard mortel qui s'insinue vers la ville. Le reste du temps, il cherche à mener une existence normale. Pas facile quand tout le monde l'évite, car il rappelle la menace qui pèse en permanence sur la ville... À l'école, il n'a qu'une amie, Fox, une renarde. Le problème, c'est que Yuck doit la partager avec Hippo, un gros balou... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (44) Voir plus Ajouter une critique
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Il y a des années, les ténèbres s'abattirent sur la terre, emportant tout avec elles. Tout sauf le village de Val-de-l'Aube, protégé par un barrage permettant en effet de refouler ces brumes mortelles. Mais lorsque la maman de Pierre fut emportée par l'une d'elles, son papa construisit un immense moulin qui, en tournant, pouvait repousser les brumes. Mais lorsqu'il se suicida, de désespoir et de chagrin, Pierre, qui apprit comment entretenir et faire fonctionner le moulin, remonter le mécanisme toutes les douze heures, devint alors le veilleur des brumes. La population vivait désormais tranquillement, allant jusqu'à oublier l'existence de ces brumes mortelles. Fier de sa nouvelle fonction, Pierre fréquentait le collège. Mais ses camarades l'évitaient, leur rappelant sans cesse le danger au-delà du barrage. Seule Roxane devint son amie, certaine comme tous que rien de grave ne pouvait leur arriver...

Le veilleur des brumes est, à l'origine, un court-métrage, intitulé "The Dam Keeper" multi-récompensé dans de nombreux festivals. Robert Kondo et Daisuke Tsutsumi, attachés à ce petit cochon prénommé Pierre, décident alors d'en faire un album graphique. Deux tomes sont prévus. Dans ce premier volet, l'on fait la connaissance du veilleur des brumes et de son amie renarde, Roxane. Dans ce monde post-apocalyptique, seul le village de Val-de-l'Aube semble avoir survécu aux ténèbres mortelles. C'était sans compter qu'un événement imprévu allait envoyer Pierre, Roxane et Roland, l'hippopotame, au-delà du village. Cet album anthropomorphique nous plonge dans une ambiance douce et poétique et aborde intelligemment les notions telles que l'héritage, le deuil et l'amitié. Robert Kondo et Daisuke Tsutsumi étant issus du monde de l'animation, cela s'en ressent dans les pages, notamment graphiquement. En effet, cela ressemble plutôt à un artbook : des cases dépourvues d'encrage, certaines aux contours flous lors de flashbacks, une colorisation douce, un dessin un brin anguleux.
Un premier volet touchant et bouleversant...
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Val-de-l'aube semble être le dernier refuge face aux brumes mortelles qui l'entourent.
Ce petit cochon qui ne paye pas de mine représente la relève. Celle de son défunt père, inventeur de génie et à l'origine de cet ultime rempart d'un fort joli gabarit ma foi, un barrage salvateur à surveiller et entretenir journalièrement.
Il s'appelle Pierre et comme le fut son papa, il est le veilleur des brumes.

La délicate et touchante BD que voilà.
Pleine de bons sentiments, certes, mais de ceux qui font du bien sans jamais tomber dans la mélasse sirupeuse des plus beaux fleurons de la collection Arlequin. Je n'inclus évidemment pas Nuit Magique, vibrant hommage à peine déguisé à une violoniste aujourd'hui disparue. Non ? Au temps pour moi...

Premier volume d'un fort gabarit itou, le Veilleur des Brumes séduit dès la toute première planche.
Un petit personnage animalier investi d'une mission bien trop imposante pour ses frêles jambonneaux et la sensation d'évoluer dans un monde qui n'est pas le sien, il n'en faut pas plus pour s'immerger dans ce récit fort bien construit au trait minimaliste et à l'éclat flamboyant.

Récit dystopique et anthropomorphe brassant moult thèmes divers et variés tels que la solitude, l'amitié, l'amour, le douloureux souvenir d'un être cher, il est le garant d'un très joli moment de lecture. Moment d'autant plus agréable qu'il n'annonçait pas forcément la couleur de prime abord.
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Pierre est maintenant le veilleur de brumes, il a repris le flambeau depuis la mort de son père. Il doit empêcher les brumes mortelles d'entre dans la ville de Val-de-l'Aube. Mais depuis quelques temps, il remarque que les vagues de brumes sont de plus en plus puissantes...
L'histoire prend bien le temps de se mettre en place, la disparition du père de Pierre, son côté sombre, un peu taciturne, ses amis... L'action est assez vite présente et c'est le début de grandes aventures ! J'aime beaucoup les représentations des personnages animaux (je pense dessinés par ordinateur) mais ça leur donne un côté sympathique avec leurs formes rondes-carrés (même si nous, les enfants et moi, avons trouvé la grenouille un peu flippante avec son côté un peu fou-fou). Dommage que nous n'ayons pas la suite sous la main !
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Merci aux Editions Milan, Grafiteen, Babelio & Masse Critique.

A l'origine "Le Veilleur des Brumes" fut un court-métrage d'animation qui remporta une ribambelle de prix (pas moins de 6 répertoriés en quatrième de couverture). Son succès incita ses auteurs à lancer leur bébé en 25 images seconde sur le marché de la BD.

Voici entre mes mains (et peut-être bientôt entre les vôtres si je parviens à convaincre) leur adaptation au pays des vignettes, des phylactères et des onomatopées.

Val-de-L'aube est, au creux d'une étroite vallée, un petit village de haute-montagne. En amont, le père de Pierre, notre héros, y a construit un gigantesque barrage en bois. Il est surmonté d'un moulin à vent. Ses ailes brassent l'air comme le font les pales d'un ventilateur. Son rôle est de repousser les noires brumes de mort qui assaillent la petite communauté. Elles ont, entre autres, tué la mère de Pierre et poussé son père au suicide. Val-de-l'aube vit en autarcie totale. L'Ailleurs est terra incognita. Des Brûmes et de l'autre côté du mur, Pierre ne sait rien, si ce n'est que les premières viennent cogner contre le barrage en marées de plus en plus fortes, et que derrière le second s'est suicidé son père en allant à leur rencontre. Au-delà du village la vie n'est plus. Tout est noir, sans vie. le complexe mécanisme du moulin doit être remonté toutes les 12 heures, sinon ses pales ne tournent plus, les brumes débordent par dessus l'enceinte. Entretenir le mécanisme, le réparer, remonter le ressort: c'est le rôle du "Veilleur des brumes".

Pierre, après son père, en est le dernier représentant en date.
Et, bien entendu, il va devoir affronter ce qui se cache au-delà du mur.

"Empêcher les ténèbres d'entrer, c'est la mission du Veilleur des Brumes" dit la 4 de couv. Belle trouvaille qui colle au livre comme un logo. Elle me fait penser à celle d'Alien: "Dans l'espace, personne ne vous entendra crier" C'est court, menaçant, énigmatique, efficace.

"Le veilleur des brûmes" de part sa thématique appartient de plein pied à un archétype de SF écrite. A savoir le mur, le veilleur/guetteur/sentinelle à son sommet, la Terre Inconnue inaccessible. Et cette question centrale: "Qu'y a t'il de l'autre côté ?". le passé s'est estompé des mémoires (Que s'est t'il déroulé en des temps barbares pour en arriver là..?), le présent devient incompréhensible (Pourquoi tous ces rituels de garde dont nous ne comprenons pas vraiment la finalité). le futur est incertain ("l'Autre Côté" est de plus en plus puissant et nous ne pourrons plus le contenir longtemps).

A titre d'exemple, "Survol" de Keith Roberts aborde un sujet similaire au livre qui nous occupe. "Le veilleur..." n'en est pas un plagiat. Sur une Terre dévastée, post-atomique, la Caste des Guetteurs en bordure des Terres Irradiées embarque ses pilotes à bord de gigantesques cerfs-volants, les Servols. Ils montent la garde en haute altitude et donneront l'alarme quand de l'horizon reviendront les démons mutants. Mais cette veille est t'elle encore nécessaire puisque depuis si longtemps la radioactivité a largement baissée...?*

Ainsi le héros, Pierre ou le Pilote de Servol, en basculant du côté pile au côté face, vit une quête initiatique mi-subie mi-espérée qui va l'éclairer peu à peu sur le monde qui l'entoure, mais peut-être et surtout sur lui-même.

Si ce qui précède vous semble envelopper des mondes durs et cruels, vous n'êtes pas au bout de vos surprises.

"Le Veilleur des brûmes" est construit sur ce modèle SF, mais avec une contrainte étonnante supplémentaire. Grafiteen, la collection (quelle trouvaille étonnante de malice et de simplicité) s'adresse aux pré-ados (8-13 ans dixit Wikipedia). C'est dire qu'il a du leur falloir être prudents et inventifs, édulcorer un max une situation difficile et mettre des pansements partout.

Défi remporté, haut la main. Grafiteen ne prend pas ses petits lecteurs pour des naïfs et le prouve. Et de belle manière.

Scénariste et dessinateur ont réussi à éviter certains écueils prévisibles. C'est à mon sens d'adulte la grande réussite de l'entreprise. Un véritable tour de force: rendre le background humain (la mort) et celui géographique (l'enclave menacée qu'est le village, l'Ailleurs enténébré) moins oppressants mais toujours présents.

Ici intervient le choix heureux des personnages:

Pierre, un petit cochon, rose mais tristounet, angoissé par le poids de sa charge de veilleur.
Roxane, sa copine renarde, extravertie, rieuse, charmeuse et complice.
Roland, son hippopotame de rival aux yeux de Roxane, un temps chambreur et matamore, un temps peureux et lâche face aux évènements.
Une bande de copains, rieurs et légers, appliqués et curieux, comme le sont la plupart des prés-ados.
Ils sont dessinés tout en rondeurs et couleurs chaudes quand çà va bien et en angles aigus et onomatopées déchirées quand çà va mal. le scénario, nous montre entre eux des relations pétries de bons sentiments, des réactions humaines portées par la logique, l'entraide et la fraternité sans calculs. C'est le bon côté de la Force car de l'autre, de manière manichéenne, rode ce que l'on distingue mal, noir, vague, indistinct.

Grafiteen via ici "Le Veilleur des brumes"prépare nos mômes 8-13 aux énormes bouleversements qu'ils vont subir. Et ne prend pas de gants. Elle cible celles et ceux qui vont basculer sous peu de l'enfance (on y absorbe la vie comme une éponge le fait de l'eau, sans trop se poser de questions, le monde étant comme il est et c'est très bien comme çà) vers l'adolescence (laps de temps bardé de questions épineuses auxquelles il faudra bien trouver bon an mal an les meilleures des réponses possibles, le monde n'étant pas comme on le souhaitait).

Quoi de mieux ainsi pour Grafiteen qu'un petit cochon, auquel nos pré-ados s'identifieront facilement. Un petit cochon chamallow qui a certes dèja des responsabilités et des devoirs qu'il peine à assumer, et qui va basculer contre son gré du fait d'éléments extérieurs vers un important changement qu'il redoute,

Pour les petits lecteurs, l'adolescence à venir c'est aussi de "l'autre côté du mur".

"Le veilleur" raconte la métamorphose d'un monde connu mais incertain (que s'est t'il passé avant ?) accompagnée de celle d'un enfant en passe de devenir autre, instant fragile et angoissant (Que se passera t'il après ?) avant la grande déferlante de l'adolescence.


Cà, c'est l'avis de l'adulte que je suis. Je peux me tromper. A l'opposé, quelles sont les réactions réelles du public ciblé ? Je vais testé avec une petite nièce qui est dans le créneau d'age et reviendrai dire.

Attachons-nous maintenant à l'objet-livre car là aussi c'est un point qui mérite détour.

Le format du livre est intelligemment pensé. L'idée centrale est là, aussi, celle de la transition d'une tranche d'age vers une autre. C'est à dire qu'il offre des dimensions entre les formats réduits enfantins et le 24/36 traditionnel, connu et apprécié des adultes. Grafiteen offre ainsi un habile et justifié compromis à nos têtes blondes; entre leur passé et leur avenir. J'adhère à l'idée, elle peut porter ses fruits. de plus, l'objet est épais, 155 pages, comme les gros livres des parents. La couverture est de béton, les pages épaisses. Oui c'est vraiment un bel objet..

A noter que les vignettes aux angles arrondis, bordures floues et en marron dominant, sont des astucieux flashbacks. Ils pointillent le récit d'éléments essentiels à la pleine compréhension de l'histoire. La narration ainsi non-linéaire, pourrait rendre la progression heurtée; il n'en est rien tant ces retours en arrière arrivent toujours à point nommé. L'articulation du tout est intelligemment huilée, les transitions sont douces même si elles s'ouvrent toujours lors de moments de tension. On peut voir ici des gimmicks typiques de la SF écrite post-apo: le passé expliquant le présent est dévoilé au compte-goutte pour entretenir le mystère tout en le dévoilant peu à peu.

Les textes ne sont pas omniprésents, il y a une complémentarité astucieuse avec les images. Cela demande de l'attention, le pré-ado devra être acteur et chercher à comprendre. On ne lui mâche pas le travail. La narration est à la première personne du singulier. C'est à ma connaissance, n'étant pas BD-addict, un fait assez rare en bande dessinée. A mes yeux c'est un bonus qui tend à rendre encore plus réaliste l'ensemble.

Alors oui, le tout est une franche réussite car intelligemment pensé. "Le Veilleur..."est ciblé pré-ados mais les vieux croûtons y trouveront aussi du plaisir. Pour moi, de la bonne SF, classique, correctement et rondement menée. Bravo.

Si je vous ai donné envie de lire, j'en suis le premier heureux.

*PS: je ne résiste pas ici à citer une nouvelle de J.G. Ballard bâtie sur un principe presque similaire et intitulée "Le jardin du temps". Une maison et son jardin en plein désert, des dunes, du sable en lentes ondulations planes.... Un couple y cultive des roses de verre, fragiles et cassantes. A l'horizon, de partout où porte le regard, une immense troupe barbare semble approcher, menaçante. L'homme déterre une rose, la casse. La horde semble reculer, moins loin que la dernière fois qu'il a coupé la rose précédente. Et les roses ne poussent pas assez vite.

Lien : https://laconvergenceparalle..
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A l'origine, il y a un dessin animé, une petite pépite, primé dans plusieurs festivals. Une histoire sur la tolérance, je vous invite à le voir : https://www.youtube.com/watch?v=8JXIBeDas7w&ab_channel=CartoonsYouTube
Dans cette bande dessinée, on retrouve les mêmes personnages animaliers ce petit cochon mécanicien, un peu perdu dans le monde, la gentille renarde, et ce lourdaud d'hippopotame. le graphisme est toujours aussi doux et intense, avec de belles surfaces de couleurs feutrées, une matière qui donne envie de toucher, une lumière et des nuances subtiles, des inventions graphique, l'utilisation de chacune de ses qualité est au service du récit. le film était resté centré sur le monde fermé de cette ville, ici, on va découvrir l'extérieur, l'ambiance est beaucoup plus lourde et inquiétante, les personnages toujours aussi touchants, mais on s'éloigne de l'histoire d'amitié, de tolérance pour se lancer dans une quête initiatique, où la mort est présente. On passe d'une allégorie sur l'acceptation, la différence, celui qui est à la limite du monde, dans le film, à une allégorie sur le passage à la vie d'adulte, de la découverte d'un monde où les actes nes sont plus innocents. La démonstration et poétique et puissante. Ce monde idéal, avec ce petit cochon tout rond et cette petite renarde toujours rassurante n'est qu'un leurre, les auteurs vont nous amener à découvrir une autre face. Avec ce superbe graphisme, il se dégage une puissance, une force impressionnante, les auteurs nous mènent dans cette quête, nous font trembler pour nos héros, c'est touchant, bouleversant, et poétique à la fois. Magnifique !
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critiques presse (3)
Sceneario
09 novembre 2020
C’est un livre jeunesse de qualité, qui plaira aussi aux adultes. Le lecteur a vraiment envie d’en apprendre plus sur cet univers et l’origine de la brume. L’intégralité de la trilogie étant maintenant parue, c’est le moment de vous lancer dans l’aventure !
Lire la critique sur le site : Sceneario
BDZoom
10 mai 2019
Ce beau et dense petit album étale sur près de 160 pages une intrigue prenante, malicieuse et émouvante.
Lire la critique sur le site : BDZoom
BDZoom
13 avril 2018
Un récit innovant, un dessin original et me voilà tout guilleret à l’idée de vous parler de cette nouvelle perle du 9e art pour nos chères têtes blondes. Une fable mystérieuse, une chronique fantastique qui se transforme en quête initiatique incertaine et dangereuse.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Je m'présente, les neveux ! Je suis Vince. Tout le monde de connaît et m'appelle Tonton.
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"Il n'y a pas de vie, dans les brumes...on n'y trouve que des souvenirs..."
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Les gens ne pensent pas trop à ces brumes qui bordent la vallée.
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L'autre costaud là, il flippe facilement.
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Et moi ? Où est-ce qu'elle m'a emmené, ma folie ?
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