On aurait pu renommer le titre de ce livre par "Tribulations d'une agente à destination". Si tant est que ce soit le bon terme. J'expliquerai pourquoi après.
On suit, donc, une agente à destination, Geneviève, qui s'est reconvertie suite à un incident quand elle exerçait le métier de psychologue.
Elle va nous raconter les anecdotes parfois, malheureuses, parfois déjantées que ses clients et ses collègues vivront sur une semaine.
La 4e de couverture promettait, pour moi, une histoire drôle. Si j'ai souri en lisant certaines situations, j'ai dû vraiment rire une fois ou deux. J'ai trouvé certaines anecdotes peut-être un peu trop exagérées. Sans compter que la vie de Geneviève n'est pas très rose et drôle.
Et puis, le style de l'auteure était assez particulier. Certaines tournures de phrases me semblaient bizarres comme si elle utilisait une expression de tous les jours mais qu'un mot avait été remplacé. Dans d'autres phrases, il semblait manquer un mot. Et aussi, il y avait des références inconnues pour moi.
Je me suis renseignée et l'auteure est canadienne, comme Geneviève, comme je le soupçonnais. Je me dit que ça s'explique du coup mais même en sachant ça, j'accroche pas tellement au style. J'ai pas toujours compris.
En conclusion, une lecture sympa, pour le vacances (en all-in), pour se détendre mais sans plus.
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Un livre qui se lit plutôt facilement, avec de très légers mystères, et un petit rebondissement à la fin auquel je ne m'y attendais pas du tout.
Même si l'histoire peut être assez drôle et que je l'ai lu jusqu'à la fin, l'histoire ne m'a pas tenu plus que ça.
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Je n'ai pas du tout aimé. Je m'attendais à un roman drôle, léger, permettant de se changer les idées.
Geneviève, ancienne psychologue canadienne, travaille dans un hôtel de luxe en République Dominicaine. le résumé nous laisse penser à des situations cocasses avec les clients et la famille de Geneviève.
Effectivement, on a une succession de situations qui auraient pu être drôles mais qui m'ont laissée froide. C'est caricatural, mis bout à bout, on n'apprend pas à connaître les personnages, ça reste une accumulation assez superficielle, qui se déroule sur une semaine.
Bref, ce n'est pas le roman léger auquel je m'attendais, je n'ai pas rêvé de vacances. Je ne lirai pas la suite.
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Je vais être dure là mais j'ai trouvé ce livre sans intérêt et sans saveur. D'une platitude… 266 pages où finalement il ne se passe pas grand-chose d'intéressant.
Moi qui pensais passer un moment sympathique et drôle surtout en lisant la 4e de couverture et bien pas du tout…. je me suis ennuyée. Les situations s'enchaînent certes mais n'ont rien de cocasses. le seul avantage que j'ai pu lui trouver le style est fluide, il se lit bien.
En bref, bien décevant !
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— Ce chien est sur l’acide, ce n’est pas la première fois que ça arrive, dit Rosie lorsque Geneviève alla la rejoindre dans la section des départs et arrivées.
— Il a vraiment des problèmes entre ses deux oreilles, poursuivit-elle. L’autre jour, il a sauté à la gorge d’un de mes clients. Les policiers l’ont menotté devant sa famille, et ils l’ont fait déshabiller et fouiller au complet, avant de s’apercevoir que ce que le chien avait pris pour une bombe était en fait un paquet de cigarettes. OK, de mauvaise qualité, mais de là à prendre ça pour des explosifs ! Il est taré, le cabot…
Au loin, Chorizo, toujours affalé au pied du policier qui le tenait en laisse, semblait maintenant dormir. Il avait de petits spasmes. Rêvait-il à son jour de gloire, lorsqu’il détecterait de vrais explosifs ?
Geneviève assista alors à une scène devenue un rituel depuis son arrivée un mois plus tôt : les adieux déchirants d’une touriste à Gonzalo Resurrección, dit Gonzo, l’un des animateurs de la piscine, don Juan de vocation.
Mais le sorcier du Princess Azul était visiblement un être malicieux. Il avait transformé son adorable mari en terroriste. Et en terroriste nudiste, par dessus le marché.
La seule consolation de Julie turbide était que ce geste de folie avait interrompu l'abominable chant du directeur de l'hôtel.