La Passeuse de mots, tome 1

J'avais remarqué ce roman grâce à la publicité qu'en faisait Babelio peu de temps avant sa sortie. Sa couverture était attrayante et le résumé annonçait une histoire originale avec une héroïne ayant la faculté de se servir des mots comme d'un pouvoir magique dans un univers fantastique mêlé de fantasy.

Si la plume des deux auteurs n'a rien de révolutionnaire, elle demeure agréable. On sent le plaisir d'écrire et le texte se lit facilement. On fait donc la connaissance d'Arya (prénom un peu trop connoté " Game of thrones " pour moi, mais ça reste un joli prénom), une jeune fille de dix-neuf ans, qui passe davantage de temps à lire et à rêver dans sa petite bulle de confort qu'à découvrir le monde qui l'entoure. Pourquoi pas ? Ça ne fait que me rappeler l'adolescent que j'ai été.

Ce monde, ou plus précisément le Royaume d'Hélios, il nous est sommairement présenté afin de mettre en place le personnage et sa situation. Il y a de bonnes trouvailles, notamment un certain traité qui empêche l'utilisation de la magie dans le royaume, ce qui provoque la colère des rebelles. On sent cet élément important dans l'histoire. de même que le personnage du prince Aidan, avec qui Arya est amie, rejeté et mis au silence par son père pour des raisons troubles, mais dont on imagine les secrets qui plus tard feront sens pour Arya. Même si cette dernière n'est pas un personnage fort et que l'univers décrit n'a rien de novateur, la lecture annonçait un voyage sympathique en sa compagnie pour les quelques 733 pages du roman. le nombre de page ne me rebute pas tant que la lecture est passionnante.

Mais ce à quoi je ne m'attendais pas, c'est l'ennui que j'ai éprouvé après l'élément déclencheur de l'histoire. Ce qui correspond à peu près à une centaine de pages. La péripétie débarque et là… c'est le calme plat. Après la brève rencontre d'Arya avec l'ancienne passeuse de mots et ses explications un peu brouillonnes quant à sa mission pour sauver le Royaume, elle se retrouve affublée d'un protecteur-formateur aussi inutile que cliché. le type mystérieux et arrogant au coeur tendre. Un coup je te blesse avec mes paroles humiliantes, un coup je te fais comprendre que tu es importante et que je ne suis pas un vrai méchant. Et dès lors, Arya ne cesse de se chamailler avec lui, comme une écolière gavée de télé-réalité.

Plus aucun sentiment d'urgence, aucune évolution du personnage principal si ce n'est pour régresser et suivre son protecteur aveuglément sans que celui-ci ne lui apprenne quoi que ce soit. Ce qui aurait du être un parcours initiatique avec la découverte d'un univers magique insoupçonné devient vite un road-trip médiéval incohérent entre deux personnalités aussi insupportables et inintéressantes l'une que l'autre.

J'ai jeté l'éponge et abandonné la lecture. Je ne parviens pas à lire plus de 25 pages à la suite et si ce n'est plus un plaisir, ça ne vaut pas la peine de continuer. Je suis heureux si les auteurs trouvent leurs lecteurs, mais je n'en fais pas partie.

C'est trop long à démarrer. J'ai trouvé particulièrement lourde la tendance à faire de l'exposition à travers les dialogues. Ça manque cruellement de naturel, ces personnages qui se décrivent des éléments de leur univers comme s'ils n'avaient pas vu leurs interlocuteurs la veille. J'ai trouvé toute l'introduction très maladroite, en tout cas, en plus d'être longue.
Aïdan est antipathique au possible et je n'ai pas compris comment Arya peut avoir envie d'être amie avec lui. Son caractère exécrable est censé être excusé par ce qu'il endure au quotidien, mais je n'ai pas réussi à ressentir la moindre empathie pour lui. Heureusement, quand les choses se corsent, il disparaît et on n'a plus à supporter sa suffisance. Sauf qu'Arya ne suffit pas à rendre le récit intéressant, elle manque trop de charisme pour un personnage narrateur.
Une fois que l'action arrive enfin, un providentiel personnage fait son apparition pour venir tout expliquer à la protagoniste. On a donc un chapitre entier consacré à la description d'un système de magie auquel je n'ai absolument rien pigé. Enfin il s'agit surtout d'un monologue débité de manière peu naturelle et assez condescendante, qui ne m'a pas du tout convaincue.
Puis on a l'arrivée du perso guide/protecteur, prometteur de prime abord mais qui, lui aussi, retombe comme un soufflé, en grande partie à cause de la manière toute artificielle dont le mystère est entretenu autour de sa personne. Plutôt que de donner envie d'en savoir plus, là grossièreté du procédé n'a fait que m'exaspérer un peu plus...
Et voilà, je le suis arrêtée à peu près là.
L'univers manque d'originalité, les personnages sont creux et stéréotypés, l'action est molle à tel point que même quand il y en a enfin, ce ne m'a même pas donné envie de poursuivre et de tenter le coup.
Du coup, abandon au quart du bouquin, à contrecoeur puisque j'ai commencé ce livre dans le cadre d'une lecture commune et que j'avais bien envie de poursuivre l'aventure jusqu'au bout avec ce petit groupe très sympa.
Mais j'ai bien mieux qui m'attend dans ma bibliothèque !
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J'aurais tenu pratiquement 300 pages avant d'abandonner, mais le combat à l'aveugle contre un monstre suivi d'une sortie de banque que l'on vient de braquer aussi facile que l'entrée à été périlleuse ont eu raison de ma patience.

"La Passeuse de Mots" avait pourtant quelques arguments pour me plaire, et notamment un univers fantastique dans lequel les mots étaient dotés d'un pouvoir particulier.
Mais voilà, quant on choisit pour héroïne une Passeuse de Mots, on est obligé de prêter attention au vocabulaire. Et là, les auteurs ont largement dépassé les bornes. le vocabulaire se veut recherché mais s'avère excessivement lourd puisque absolument toutes les nuances d'émotion, de couleur, d'élément naturel ou de mobilier sont qualifiées. La lecture en devient insupportable.

Au niveau de l'intrigue, cela ne me gêne pas d'être emportée dans un univers dont je n'ai pas toutes les clés, au contraire ! Mais quand les personnages se mettent à agir de manière incohérente, je n'adhère plus. Pourquoi Killian, qui ne cesse de clamer que son rôle est de protéger Arya, l'entraîne dans le braquage d'une banque ultra-sécurisée alors qu'ils ne semblaient avoir besoin que de quelques liquidités ?

La relation attirance/méfiance du binôme principal est lu et relu. Killian beau voleur ténébreux et ironique qui se bat les yeux fermés semble infaillible. Et la niaiserie d'Arya m'a rapidement tapé sur les nerfs. Pas besoin d'aller au bout pour deviner que ces deux-là finiront ensemble. Heureusement que Saren apparaît, parce que le temps devenait long. Mais cela n'aura pas suffit. J'ai du mal à voir ce qui peut faire tenir l'intrigue sur trois tomes.
Cette série semble pourtant avoir trouvé son public, peut-être ai-je simplement passé l'âge ?

Prêts pour un unpopular opinion?

Tellement d'avis positifs sur ce livre que j'étais certaine d'apprécier ma lecture, c'est carrément ma came alors comment imaginer le contraire? Tellement certaine que la déception est grande. J'ai vraiment essayé de persévérer, j'ai poussé ma lecture, je me suis motivée même en allant lire les meilleurs avis sur Babelio entre deux chapitres... J'ai questionné d'autres personnes qui l'avaient lu et qui avaient aimé... Mais rien à faire, je vous explique.

Pour moi le début commençait bien, Arya et sa famille sont chouettes à suivre, une belle petite famille heureuse. Arrive Aïdan, que j'ai trouvé détestable, et à cause de leur amitié, j'ai beaucoup moins apprécié Arya. Je la trouve un peu molle et elle ne parvient jamais à prendre des décisions ni à s'exprimer. Bref, jusqu'à l'élément déclencheur ça allait encore. Et puis pendant bien une centaine de pages tout devient flou. Qui sont les Soldats de Verre? Pourquoi tout le monde sait qui ils sont mais pas d'où ils viennent ni pourquoi? Pourquoi la Tutrice ne donne-t 'elle pas des infos plus précises à Arya, je n'ai rien compris à ses explications, j'ai relu plusieurs fois, c'est horriblement flou, sans parler des dialogues qui sont justes imbuvables et beaucoup trop longs. Puis arrive le voleur. C'est quoi le délire mystérieux qui plane autour de lui, pourquoi elle doit le suivre et lui faire confiance aveuglément? Et cette manie de l'appeler Amour, princesse ou fillette par pitié, un peu de respect quoi! Toute la partie dans les bois j'ai été perdue dans l'histoire et c'est vraiment là que j'ai commencé à décrocher et à compter les pages. Killian disparaît puis réapparait dans la forêt et ce n'est que bien plus tard qu'on apprend qu'il allait dans les villages récolter des infos laissant Arya seule dans la forêt (alors que j'avais supposé qu'ils étaient bien plus profondément dans la forêt!) Bref. Trop de zones d'ombres, pas assez d'infos, trop brouillon, du coup j'ai fait des suppositions complètement inexactes et ça m'a perturbée dans ma lecture. Puis arrive le général. La goutte d'eau quoi. Il rencontre Arya et Killian et en deux, deux les voilà en train de braquer une banque. Quel est l'objectif de ce livre à la fin? Sans compter qu'Arya pleurs plus après son prince désagréable au possible plutôt qu'après sa famille aimante. Bref, j'ai pas accroché à l'histoire, ni aux personnages, ni a rien en fait. J'ai abandonné au chapitre 31, page 255. Et même si j'ai encore envie de pousser plus loin parce qu'on m'a dit qu'après le braquage c'est mieux, 255 pages de rien du tout, c'est déjà bien suffisant. Je suis passée complètement à côté de ce livre et suis la première déçue. Contente qu'il ait quand même trouvé son public.

Depuis le temps que je voulais découvrir La passeuse de mots, j'étais plus que ravie de me lancer dans cette lecture. Il faut dire que je ne voyais que de très bons avis et je l'avoue, je suis particulièrement fan des teasers de notre couple d'auteurs. L'ambiance qui s'en dégageait m'interpellait énormément.

Dans le royaume de Hélios, un traité régie la magie et son utilisation. Mais les rebelles ne sont pas de cet avis et comptent bien renverser la famille royale et leurs alliés. Arya, passionnée de livre va apprendre qu'elle est une passeuse de mots lors d'un coup d'état des plus étranges. Dans sa quête, elle va apprendre que chaque mot a du pouvoir et pourrait bien changer le destin de tous.

Lorsque j'ai commencé ma lecture, j'étais donc plus que ravie de découvrir enfin l'univers de la passeuse de mots. L'ambiance qui avait l'air de s'en dégager me faisait plus qu'envie et j'étais hyper enthousiaste. On ne pourra le nier, notre couple d'auteurs peaufine les décors et mettent en place leur histoire en prenant le temps de développer tout cela. On sent la recherche et la volonté de proposer quelque chose de construit mais cela cause quelques problèmes de rythme. En effet, les cent premières pages sont extrêmement lentes et la suite n'a pas réussi à me tenir en haleine. Arrivée à la moitié de ce premier tome de la passeuse de mots, je tournais les pages sans convictions. Il faut dire qu'Arya est vraiment dans l'apprentissage de son rôle de Passeuse de mots et certes cela peut paraître plus réaliste d'y aller doucement mais... pour un premier tome de sept cent pages, ça peut vite devenir long. D'autant que je trouve qu'on ne ressent pas l'urgence de la situation. Au début du roman, il y a tout de même eu des attaques et une famille disparues et en partie tuée. Mais au final, Arya continue son petit bonhomme de chemin, en prenant son temps (du moins c'est la sensation que cela donne). Je trouve qu'il manque le côté "dangereux", menace réelle sur l'héroïne dans l'histoire.

Côté personnages, nous faisons la connaissance d'Arya, de sa famille (adorable, soit dit en passant) et notamment du Prince Aidan. Qu'on se le dise tout de suite, j'ai détesté ce prince. Pour tout vous dire, j'ai trouvé qu'il se posait trop en victime. Rejeté par son père (le roi), à l'écart de sa famille et solitaire, il peut néanmoins compter sur l'amitié sans faille d'Arya. Mais au final, il ne fait que se plaindre et cracher au visage ce qu'Arya a (une famille) et lui n'a pas. C'est tout de même assez culotté pour un Prince je trouve. Et puis, sa brève rébellion au début du roman à cracher son venin sur Arya avant de finir en mode : je craque pour toi. Mouais, non, son personnage m'a donné envie de le claquer et l'oublier.

Le soucis, c'est qu'Arya n'a pas compenser mon aversion pour le Prince car je n'ai vraiment pas accroché à son personnage. En fait, j'ai trouvé qu'elle vivait trop dans sa bulle, couvée par ses proches, un brin naïve sur ceux qui l'entour et terriblement fragile (tant physiquement que moralement). Alors on peut se dire que cela change un peu des personnages qui ont du répondant dès le début mais... elle pleure un peu trop sur son sort à mon goût. J'avais envie de la secouer. Fort heureusement, après une centaine de pages supplémentaires, débarque Killian, l'homme masqué. J'ai plutôt bien accroché à son personnage à son arrivée. Son personnage regorge de mystère, ce que j'apprécie fortement mais surtout, il vient bousculer notre demoiselle en la poussant dans ses retranchements et en ne se comportant pas comme avec une petite chose précieuse.

La dynamique entre les deux personnages m'a aidé à progresser dans ma lecture mais a vite été de nouveau ébranlé par l'arrivée d'un troisième personnage puis d'un quatrième (qui m'a, là, fait décrocher totalement). Arya était de nouveau considérer comme la jeune femme fragile qu'on doit absolument protéger et en prime par deux hommes qui jouent les coqs constamment. Alors au début, cette prise de bec est drôle mais très vite cela devient trop.

Après avoir dépassé la moitié du roman, je continuais ma lecture sans avoir envie de la poursuivre. Terriblement déçue d'être déçue, je n'y arrivais plus du tout. C'est dommage car, sur le papier, l'histoire de la passeuse de mots avait tout pour me plaire. Mais en pratique, je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages et le rythme du récit est bien trop lent pour me tenir en haleine et me donner envie de poursuivre l'aventure. J'ai donc été lire les derniers chapitres, pour tenter un ultime essai en me donnant envie de poursuivre mais non, ça n'a pas suffisamment éveillé ma curiosité pour aller au bout de cette lecture. C'est dommage mais malheureusement, cela arrive. Et encore plus quand j'ai lu dans d'autres avis, que la dernière partie était la meilleure.

En conclusion, je suis totalement passée à côté de la passeuse de mots. J'y croyais tellement que finalement je ressors déçue de ne pas avoir réussi à l'apprécier. Je ne doute pas qu'il séduira d'autres lecteurs comme il a déjà réussi à le faire, mais ça n'a pas été mon cas.

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Puisque je suis dans ma période de lecture fantasy "Young Adult" et que la saga de la Passeuse de mots avait déjà pas mal fait parler d'elle, je n'ai pas résisté à l'envie d'en découvrir l'histoire. Même si je ne fais pas partie de la cible concernée par cette histoire, certain romans peuvent porter une double casquette et se montrer surprenantes.
Malheureusement ça n'aura pas été le cas de celui-ci.

Malgré l'enthousiasme ambiant qui flotte autour de l'histoire de Alric et Jennifer Twice ce n'est que sur les 200 dernières pages que j'ai contracté un certain intérêt.

Si l'histoire commence très rapidement, pour une fois j'aurai réellement apprécié quelques pages supplémentaires pour approfondir l'intérêt profond de la passeuse de mot. Les choses sont survolées si bien que j'ai eu beaucoup de mal à comprendre tout simplement à quoi "servait" cette héroine. J'ai trouvé son engagement dans cette quête dont elle ne connaît rien plus léger encore, d'une facilité troublante. En finalité, j'ai trouvé la trame de fond très creuse sur une grosse moitié du roman et ce n'est qu'à la toute fin que l'on commence à en apercevoir un certain potentiel... ce qui à mon goût est long, très long.

Le roman s'adresse bien plus à un public jeune/enfant que "Young adult" ; même s'il s'agit d'un avis très personnel.

J'ai trouvé les relations entre chaque personnages très redondantes sur la longueur, jusqu'à l'ombre d'une avancée qui intervient toujours sur les dernières pages. Bien que ce soit sans doute pour garder une part de mystère, l'absence de véritable passé pour chacun m'a empêché de m'attacher véritablement à eux (en dehors de Alric qui, sur cet aspect, prend toute la lumière). À part se chamailler continuellement et se suivre aveuglement vers une quête dont on ne comprend ni les tenants ni les aboutissants, le groupe n'a pas beaucoup plus de saveurs.

Si l'histoire continue d'aller crescendo sur les prochains volets, elle peut être prometteuse ; mais l'envol aura été pénible.

"Les Mots sont des émotions, Arya, et chaque émotion est personnelle, propre à chacun."

J'ai énormément entendu parler de ce livre avec d'excellents retours d'ailleurs et puis cette magnifique couverture (parce que oui, il faut le dire, elle est très belle) qui promet une merveilleuse aventure. Et bien quelle déception pour moi !

//Arya, 19 ans, est passionnée de livres, elle dévore les mots. Elle habite Hélios, un charmant petit royaume. Elle va suivre sa destinée à travers de nombreuses péripéties grâce à de "jolies" rencontres. Un mélange de magie et d'aventure.//

Les pavés qui passent au-delà des 600 pages me font toujours un peu peur. Je les trouve souvent trop développés, trop détaillés et, de ce fait, trop longs et ennuyeux. Malheureusement, celui-ci n'a pas fait exception à la règle. Sans passer par quatre chemins, cette lecture ne fut pas un plaisir.
Je suis consciente que c'est un roman jeunesse et dès le début je me suis imposé de ne pas être trop exigeante. Il y a la mise en place du contexte, des personnages donc on patiente pendant une centaine de pages et... rien. Ça tournait souvent à la niaiserie même.

Déjà les personnages m'ont tous insupporté en réalité. Je les ai trouvés stéréotypés. Pour certains hautains, prétentieux et même détestables, pour certaines autres naïves, ridicules voire cucul la praline avec des disputes sans aucun intérêt et les rendant donc insupportables et immatures, le tout manquant cruellement de subtilité.

Et concernant le propre de l'histoire, on ne comprend pas clairement le rapport entre la dévastation du royaume d'Hélios et le statut de passeuse de mots d'Arya. Pendant longtemps j'ai cherché avant de comprendre qu'il me faudrait lire le tome 2, le problème étant que je ne sais pas si je vais continuer cette saga. Je n'ai pas compris le but de cette histoire surtout avec des scènes qui n'apportent rien. Je suis passée un peu à côté.

En effet, au final je me suis ennuyée. Je n'ai pas réussi à me plonger dans l'histoire, même lorsqu'il y avait de grosses actions. le tout m'a semblé lent, avec des détails inutiles sur pas mal de passages (je pense qu'on aurait pu facilement virer 100 pages)
Aventure clichée avec des péripéties assez enfantines.
C'est dommage parce que le concept de base est bon, ça me rappelait beaucoup "l'elfe de lune" d'Elodie Tirel que j'avais adoré étant plus jeune.

Une critique très partielle, pour ce livre, pourtant recommandé par quelqu'un qui est de très très bon conseil, mais qui m'est définitivement tombé des mains à la page 135.

J'ai été complétement rebutée par l'écriture, trop ampoulée à mon sens, et qui pour moi sonne faux. Les auteurs s'ingénient à employer (au moins) un adjectif pour chaque nom, à employer un vocabulaire recherché. C'est lourd, et ne convient pas au personnage de la narratrice, frais et joyeux. Les dialogues sont particulièrement peu naturels, surtout quand le personnage entend par inadvertance une dispute en cours, que le dialogue rapporté commence au début de la discussion et refait l'historique complet de la situation. Et la mort du libraire, assassiné, décrite par "Je vois presque la vie s'envoler à travers les fenêtres de son âme"... c'est peut-être lu comme délicat et romantique pour certains, mais pour moi, c'est trop !

Que je suis heureuse d'avoir fini ce livre!
Le début était très prometteur, je l'ai dévoré! Et puis on découvre le sens du titre et la ca devient extrêmement long et lent… on passe constamment d'un nouveau lieu avec un nouveau danger et un nouveau mot et à un autre comme un cycle… mais ca manque de profondeur et de sens pour l'histoire… Tout le début de l'histoire avec son intrigue et ses personnages ne sont que secondaires tout le restant du livre! On n'a pas d'explications ou de sens profond sur qu'est ou ce que devra faire la passeuse de mots… Bref, grosse déception et je ne lirai pas la suite!

Un livre plein de promesses que j'ai abandonné après 200 pages de lecture laborieuse et sans intérêt... Si ça démarre pas mal, le corps de l'histoire est redondant , l'écriture pauvre et pleine de clichés. Bref au bout d'un moment j'ai commencé à ne plus en avoir rien à faire d'Arya et son stupide accompagnateur. Dommage