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EAN : 9782894648124
255 pages
Ulysse (19/05/2022)
3/5   1 notes
Résumé :


Les 150 plus beaux sites de plein air du Québec recense les parcs nationaux et régionaux, les réserves naturelles, les refuges fauniques et les zones récréatives exceptionnels du Québec. Ce magnifique album vous révèle les 150 espaces les plus enivrants pour la pratique de sports de plein air en toute saison, qu’il s’agisse de randonnée pédestre, vélo, escalade, canot, kayak, spéléologie, camping, observation de la faune, raquette, ski de fond, march... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Livre pour se donner des idées de sortie quand on a l'impression d'avoir fait le tour de ce qu'on connaît. On y présente surtout les grands parcs nationaux qui sont des destinations incontournables, mais aussi des parcs régionaux moins connus des gens qui proviennent d'une autre région. Pour chaque emplacement, il y a une description du lieu, des photos et une liste des activités à y faire pour la clientèle visée.
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Kiskotuk et l’île Verte
Cacouna, Bas-Saint-Laurent

Le magnifique parc côtier Kiskotuk, mot malécite signifiant « terres dénudées à marée basse », s’ouvre sur le fleuve Saint-Laurent et dévoile 30 km de panoramas variés. Il englobe entre autres le Site ornithologique du marais de Gros-Cacouna, idéal pour l’observation de la faune ailée, ainsi que de grandes étendues herbeuses, des prairies d’herbes salines, des collines, tourbières et pessières. Une partie de son territoire est protégée par la Réserve nationale de faune de la Baie-de-L’Isle-Verte, qu’administre Environnement et Change-ment climatique Canada.Le parc se divise en sept secteurs de découverte, répartis entre les municipalités de Cacouna, L’Isle-Verte et Notre-Dame-des-Sept-Douleurs, cette dernière englobant l’île Verte. On le visite aisément à vélo puisque la Route verte de l’Estuaire qui le traverse compte plusieurs boucles permettant d’en arpenter différentes portions. Les amateurs de vélo de montagne se donnent rendez-vous dans le secteur des Faucons, où 5 km de pistes aménagés spécifiquement pour cette activité offrent de superbes vues sur le fleuve.Le réseau de sentiers pédestres recense pour sa part une quarantaine de kilomètres, dont le sentier de la Digue (1 km), qui passe par le marais à spartine, un excellent lieu pour observer la sauvagine au printemps. Le sentier des Passereaux (3 km), situé dans le secteur où se trouvent des cabanes perchées originales, des petits chalets et des emplacements de camping, forme deux boucles qui débutent près d’un marais salé, dévoilant plusieurs points de vue sur le fleuve. Le sentier grimpe ensuite sur un cran rocheux (monadnock), d’où les panoramas se révèlent magnifiques. Enfin, le sentier de la Montagne (boucle de 4 km dans le secteur du Site ornithologique du marais de Gros-Cacouna) mérite une visite. Il s’ouvre près du marais à spartine, où se trouvent également deux tours d’observation et des panneaux d’interprétation, puis débouche sur des points de vue saisissants sur le marais et sur le fleuve Saint-Laurent. On y aperçoit entre autres le quai de Rivière-du-Loup, les îles du Pot à l’Eau-de-Vie, l’embouchure du Saguenay, l’île Verte et, parfois, de beaux bélugas qui forment des taches blanches sur les eaux du fleuve.L’île Verte déroule pour sa part plusieurs kilomètres de plages sablonneuses où l’on peut marcher.Sur la rive nord, on peut observer des baleines et des phoques. On peut également y visiter le plus vieux phare du fleuve Saint-Laurent, construit en 1809, une ancienne école de rang et l’étonnant Musée du squelette, qui possède une collection de plus de 300 squelettes et crânes de diverses espèces d’animaux. Le meilleur moyen d’explorer l’île est de la parcourir à pied ou à vélo.
►Pour qui? Pour les amateurs d’ornithologie, de vélo et de randonnée pédestre au cœur des paysages salins,herbeux et vallonnés du bord du fleuve.
►Pourquoi au printemps? C’est en mai, lors de la migration printanière, que l’on peut observer le plus grand nombre d’espèces d’oiseaux : oies des neiges, sarcelles, harles huppés, eiders, macreuses et bien d’autres.
►Des activités à ne pas manquer :La randonnée pédestre, le vélo, l’observation des oiseaux, le vélo de montagne, le camping.
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Avec son fleuve majestueux et ses vastes étendues naturelles composées de forêts,de montagnes, de lacs et de rivières, le Québec recèle d’innombrables lieux propices à la pratique de sports de plein air, qu’il s’agisse de randonnée pédestre, vélo,escalade, canot, kayak, spéléologie, camping, observation de la faune, raquette, ski de fond, marche hivernale ou autres.Mais alors, par où commencer? Même en se pressant, découvrir tous ces milieux enivrants risque de nécessiter quelques vies... Nous avons donc confié à nos rédacteurs la délicate mission de dresser la liste des 150 plus beaux sites de plein air du Québec, allant des parcs nationaux ou régionaux aux réserves naturelles, refuges fauniques et autres zones récréatives, en tenant compte de la diversité des activités qu’ils offrent, de la beauté de leurs paysages et de la qualité des expériences qu’ils permettent de vivre.Nous avons ensuite regroupé ces destinations exceptionnelles selon les saisons les plus intéressantes pour les fréquenter, bien qu’elles soient en majorité accessibles toute l’année. Les descriptions des espaces retenus révèlent leurs spécificités et les sports auxquels on peut s’y adonner, et fournissent des conseils pour optimiser leur exploration.Vous voilà donc muni d’un formidable outil pour repérer les sites de plein air les plus remarquables du Québec. Des grandioses parcs nationaux d’Anticosti, de la Gaspésie et du Nunavik au mont Royal et au parc des Champs-de-Bataille de Québec; de la réserve mondiale de la biosphère du Lac-Saint-Pierre à la rivière Bonaventure; du arc marin du Saguenay–Saint-Laurent au réseau cyclable de l’Estriade; et du Sentier des Caps de Charlevoix aux îles du Bas-Saint-Laurent, c’est à une sensationnelle odyssée visuelle que nous vous convions.
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