AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Tôgen Anki - La légende du sang maudit tome 1 sur 12
EAN : 9782505113744
192 pages
Kana (04/02/2022)
3.64/5   33 notes
Résumé :
Une légende raconte qu'un enfant extrêmement fort serait né d'une pêche et baptisé Momotarô. Lorsqu'il devint assez grand et puissant, ce valeureux guerrier aurait chassé les Oni qui pillaient les villages. Ce héros n'est pas une légende... Tout comme les Oni... Leurs descendants sont encore parmi nous et la bataille opposant le clan Momotarô au clan des Oni fait rage ! Shiki est un jeune garçon, au sang chaud. Alors qu'il vient de se faire renvoyer de l'école, il p... >Voir plus
Que lire après Tôgen Anki - La légende du sang maudit, tome 1Voir plus
Wind Breaker, tome 1 par Satoru

Wind Breaker

Nii Satoru

4.00★ (341)

9 tomes

Fuuto PI, tome 1 par Sanjô

Fuuto PI

Riku Sanjô

3.64★ (46)

5 tomes

Tokyo Aliens, tome 1 par Naoe

Tokyo Aliens

Naoe

4.15★ (177)

5 tomes

Ripper, tome 1 par Céjudo

Ripper

Jéronimo Céjudo

3.79★ (115)

3 tomes

No Longer Rangers, tome 1 par Haruba

No Longer Rangers

Negi Haruba

3.50★ (78)

7 tomes

Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
3,64

sur 33 notes
5
2 avis
4
5 avis
3
3 avis
2
1 avis
1
0 avis
Nouveauté de chez Kana dans leur collection si "ténébreuse" intitulée "dark" , voici Tôgen Anki , un manga décrit par son éditeur français comme "un shonen d'aspect sombre et sanglant tranchant ainsi avec le shonen traditionnel".

Il est vrai qu'au niveau de l'enrobage , Tôgen Anki met l'accent dès ce premier tome sur des combats dont le sang est la pièce maîtresse. Nous suivons une guerre entre deux clans, plus précisément entre leurs descendances : le clan momotaro et celui des Oni, les fameux démons de la mythologie japonaise. Les descendants des Oni ont pour particularité de se battre avec leur sang qu'ils arrivent à modéliser sous différentes formes et techniques. Les combats se résument ici à des confrontations totalement ensanglantés.

En terme d'action, ce premier volume pose les bases d'une série féroce et dynamique renforcé par le dessin de Yura Urushibara qui signe ici sa première série. Yura Urushibara impose facilement son style qui est pleinement concentré sur de l'action glauque et poisseuse avec un chara-design charimastique confrontant des guerriers tout en cicatrices avec moultes expressions de fureur.

Rien à redire donc du côté de la castagne. Les amateurs de shonen décomplexés qui préfèrent la baston à la parole devraient leur compte sans problèmes et ce dès ce premier tome qui s'ouvre sur un combat opposant deux guerriers aguerries du clan Momotaro. le découpage est nerveux avec quelques effusions de violences bien placées. Bref, les combats ont de la gueule et il est vrai que pour un titre catalogué shonen, graphiquement nous nous situons à un niveau supérieur que la simple et usuel goutte de sang qui perle au coin de la bouche. de plus, le manga se soucie avant tout de son rythme en offrant dès les premières pages du combat, thème qui va s'enchainer tout au long de ce volume avec une confrontation face au mentor ou l'habituel épreuve de sélection qui va s'entrechoquer de combats...

Mention spéciale tout de mêmes aux techniques variées et stylées qui peuplent ce manga comme le coup du parapluie ou encore les lames en dents de scie surgissant des bras sans parler des armes à feu du héros. le sang est vraiment mis en valeur et donne un ton plus violent et agressif à l'action. le mangaka joue vraiment avec cet élément insistant sur sa texture poisseuse, jouant avec les corps cicatricés de ses personnages. Il y a une petite touche de body horror qui donne un certain ton au manga, il faut bien le reconnaître.

Cependant, quand on décide de privilégier tel élément d'une série , on a tendance à mettre à l'égard d'autres composants d'un bon manga. C'est le cas ici avec le scénario qui est si lisse qu'il en devient presque inexistant. Ce premier tome de Tôgen Anki donne l'impression d'être un shonen en mode accéléré dans le sens où le background du scénario est à peine exposé et où l'auteur accumule dès le premier volume quelques poncifs telle que l'école, les épreuves de séléction, les figures clichés de personnages comme l'élève ténébreux, le héros teigneux, bête et bagarreur ou encore le naïf personnage féminin au bon coeur.

A la description de Kana qualifiant ce shonen " tranchant avec le shonen traditionnel" , je répondrais non. Tôgen Anki , du moins dans ce premier tome, présente juste un shonen un peu plus sanglant et féroce que la moyenne mais il ne tranche pas avec un schéma typique que nous retrouvons dans bon nombres de titres anciens ou nouveaux. Certes, il ne faut pas juger à la lecture du premier tome. C'est sans doute pour cette raison que l'éditeur a également publié un coffret collector réunissant les deux volumes mais c'est quand même dommage de devoir lire à chaque fois deux tomes pour se faire une idée peut-être plus juste de la qualité du manga ( du moins pour son début).

Ce qui est regrettable, c'est que Tôgen Anki fait le choix de nous faire partager son intrigue à travers le point de vue des descendants des Oni qui sont censés être les démons de l'histoire, les méchants de l'histoire. Il y a donc un point de vue antihéroique de base plutôt intéressait et qui aurait amplement mérité d'être beaucoup plus exploité afin d'apporter plus d'enjeu et d'attractivité à cette histoire qui peine à se faire remarquer. Au lieu de cela, nous assistons directement à un combat qui présente vite fait notre héros et son objectif : la vengeance. Les enjeux glissent sous la lecture avec un antihéros peu développé si ce n'est son attitude de furieux rebelle. le prétexte est ici uniquement le combat sans réel soucis de profondeur scénaristiques.

Un déséquilibre qui dessert ce premier volume à tel point que les péripéties suivantes sont finalement peu importantes. Notre héros va rentrer dans une école pour former les Oni dans cette guerre qui les oppose au clan Momotaro et, comme dit précédemment, nous retrouvons les habituelles étapes de l'apprentissage...

Cet avis ne concerne que le premier tome. A voir si le scénario rejoint la densité des combats auquel cas, cela pourrait donner un peu plus de coeur à ce Tôgen Anki.

En conclusion, malgré un parti pris technique intéressant qui fera plaisir aux amateurs de combats tout en férocité, ce premier volume de Togen Anki possède tout de même un scénario assez faible et déséquilibré de par son background peu développé et ses nombreux poncifs qui sont à peine dissimulés par son faux ton de mauvais garçon. Affaire à suivre.

Commenter  J’apprécie          40
Togen Anki est la nouveauté shonen des éditions Kana du mois précédent, avec un démarrage en fanfare, beaucoup de publicité, et il se fait même le petit plaisir de s'offrir une édition collector comprenant les deux premiers tomes.
Un titre que l'on doit au mangaka Urushibara Yura, encore inconnu chez nous, mais on va pouvoir découvrir son travail grâce à ce premier titre, toujours en cours au Japon avec 8 tomes de parus.
Je trouve d'ailleurs que son trait est assez banal, mais très sympathique, et ressemble beaucoup à celui de Kazoue Kato la mangaka de Blue Exorcist, peut-être était-il un de ses assistants. le mangaka met l'accent sur certains éléments marquants, ou sur ceux qui veut mettre en avant.

C'est bien de nous proposer de la nouveauté, mais la question est de savoir si c'était une bonne lecture, et si j'ai passé un bon moment. Pour répondre, oui c'était bien, mais ce n'est pas le titre révolutionnaire, ce n'est pas forcément le nouveau phénomène manga à ne surtout pas rater, du moins avec ce premier tome.

On fait la rencontre de Shiki, un garçon tout ce qui a de plus banal en apparence, et qui vit avec son père. Avec les premières pages du tome, on comprend rapidement sa situation et ce qui a pu se passer. Mais ce quotidien un peu tranquille va se retrouver perturber avec l'arrivée d'un nouveau personnage. Ce dernier va être un déclencheur dans l'univers, pour comprendre où on est parachuté, et comprendre la nature première de notre protagoniste Shiki.
En effet, notre personnage n'est pas un humain lambda, il est un descendant des oni, les démons au Japon. Mais surtout, issu de la légende de Momotaro, un petit garçon accompagnait d'animaux, et qui a vaincu les oni avec eux. Avec les événements de ce premier tome, Shiki ne se contente pas de découvrir sa vraie nature, il va rejoindre une académie avec des oni, pour combattre les descendants de Momotaro, qui veulent de nouveau éliminer les oni, et pour Shiki c'est aussi l'occasion pour s'améliorer, et d'accomplir sa vengeance.

Une fois l'histoire posée, et l'univers dépeint, ce premier tome est dynamique, efficace, mais aussi page-turner, on a du mal à lâcher le récit. Mais si cette histoire m'a vraiment prise, elle n'en reste pas moins très classique dans sa construction, dans ses événements, et très prévisibles… Tout ce qui se passe au début, le combat ou même encore les révélations, j'ai malheureusement tout deviné des événements… Par rapport à Shiki ou même son père, tout était prévisible, c'est dommage, surtout quand on voit que l'idée de base est très intéressante. J'aime beaucoup l'idée d'utiliser la légende pour en faire une réalité, et d'ailleurs, en faire quelque chose de sombre, puisque les techniques utilisées sont particulières, mais aussi originales.

Pour ces techniques, on va pouvoir y assister dans le deuxième partie de ce premier tome, puisque Shiki va rejoindre cette académie spéciale oni. On va faire en même temps que lui la rencontre de nouveaux personnages, qui pour leur part, semblent déjà maitrisés certaines techniques, et leurs capacités en tant qu'oni.
Ce que nous propose le mangaka ici est vraiment sympathique et original en travaillant sur le sang et la créativité de chaque personnage. Les personnes qui sont victimes d'hématophobie, attention à vous, vous allez être servies, et à grosses doses !
Encore une fois, pas de grosse surprise, les personnages présentés sont classiques, c'est du déjà-vu. le personnage qui va se positionner en tant que rival, la jeune fille inutile et qui se sent inutile, le gars aux lunettes, c'est clairement le mélange classique dans ce genre de titres, et ce sont les caricatures que l'on peut retrouver. C'est clairement le point faible de ce titre, pas de grosse surprise, ou de grosse originalité, le mangaka utilise les éléments les plus classiques du shonen avec les personnages, et ça fait un peu l'ombre au tableau…

En revanche la fin du tome est dynamique, et rentre rapidement dans le vif du sujet, en amorçant un combat avec Shiki, qui devrait lui permettre de mettre à profit le fruit de son entraînement, mais ça ne semble pas être bien parti pour lui, à voir dans le prochain tome comment ça va évoluer !
Commenter  J’apprécie          20
Dans ce manga on va suivre Shiki, un jeune garçon extrêmement rebelle fan d'armes à feu. Il se fait virer des écoles, il parle mal à son père, et il pense être un petit caïd. C'est peut-être vrai dans le monde des hommes, mais dans celui des êtres mythiques, il va très vite se rendre compte qu'il est en réalité très faible.
Bien entendu, au début du manga, notre héros n'a pas conscience de faire partie d'un monde rempli de créatures étranges, pour lui seul les humains existent. Cela va changer le jour où son père va recevoir la visite d'un ancien collègue. On va très vite se rendre compte que ces hommes ne travaillaient pas ensemble dans une simple entreprise, non non non, ils étaient en réalité des membres de l'agence Momotarô, à savoir des personnes dotées de pouvoirs chargés de tuer les Oni.
Ce nom vous dit peut-être quelque chose, puisqu'on connaît les Oni dans le folklore japonais, ici il s'agit de personnes à l'apparence humaine qui ont la capacité de se battre avec leur sang. S'ils sont chassés c'est que la plupart ne parviennent pas du tout à se contrôler lorsqu'ils entrent dans cet état, ils deviennent alors des monstres.
Si le père de Shiki se bat avec son ancien collègue, c'est parce qu'il y a des années, il a quitté l'agence pour sauver la vie d'un petit garçon : Shiki le petit Oni.
C'est à cet instant que la vie de l'adolescent va basculer, il va en même temps se rendre compte que le monde dans lequel il vivait jusqu'ici n'était pas du tout celui qu'il pensait et dans la foulée il va perdre son père avec qui il venait de se disputer.
Sa tristesse et sa rage vont laisser place à son pouvoir qui va le rendre incontrôlable. C'est alors qu'un nouveau personnage va faire son entrée, Naito Mudano, il va hésiter entre tuer notre héros ou l'envoyer en formation. Vous vous en doutez pour la suite de l'histoire, Shiki va se retrouver dans une école pour apprendre à maîtriser ses pouvoirs et espérer survivre. Pour autant, il ne va pas mettre sa vengeance de côté, puisqu'il va dans un premier temps vouloir se former pour demander des comptes à l'assassin de son père.
Le premier tome est extrêmement prometteur, il est hyper dynamique aussi bien dans les dessins que dans l'histoire.
J'aime beaucoup la manière dont se manifeste le pouvoir par le sang mais en prenant la forme de quelque chose d'important pour le personnage. le héros va ainsi matérialiser des armes, alors qu'une de ses camarades va matérialiser sa grande soeur sous la forme d'une espèce de monstre géant formé d'agglomérats de sang.
Le personnage du professeur est aussi excellent, c'est d'ailleurs mon personnage préféré. On ne va pas se mentir, j'ai eu un petit coup de coeur pour lui avec son côté très rationnel, sa minutie extrême et surtout il a l'air extrêmement puissant. Pour ne rien gâcher son chara-design n'est pas dégueulasse du tout, il est beau le bougre !


Autre chose que j'aime bien, c'est le côté folklore traditionnel japonais qui est remis au goût du jour, On dirait un mix de plein de mangas que j'aime déjà comme Kemono Incident, Jagaaan, Chainsaw Man sauf que cette fois-ci on est dans le clan Oni, des personnages qui sont censés être les méchants puisque les Momotarô qu'ils combattent sont normalement des êtres humains.

On va quand même très vite se rendre compte que dans le clan de ceux qui sont censés être méchants, il y a des personnes extrêmement gentilles et de l'autre côté il y a des gros sadiques. C'est quelque chose que j'aime beaucoup dans les mangas, retrouver un inversement des rôles qui montre que finalement ce n'est pas toujours ceux que l'on croit être les gentils qui le sont... Vous l'aurez compris, ces 2 premiers tomes m'ont beaucoup plu et j'espère que la suite saura encore plus tirer son épingle du jeu.

🩸⛓👹⛓🩸

Lien : https://www.instagram.com/my..
Commenter  J’apprécie          10
Togen Anki est inspiré d'une célèbre légende japonaise. Cette légende raconte l'histoire d'un enfant extrêmement fort né dans une pêche. Nommé Momotarô par ses parents adoptifs. Il devient un puissant combattant qui part chasser les démons qui pillent les villages.
Dans Togen Anki, les démons sont les Oni et les valeureux guerriers sont les Momotaro.
Quand j'ai commencé à lire le tome 1 vraiment je ne m'attendais pas à ça, ce torrent de violence sanguinaire à un moment, je me suis dit que vraiment je n'allais certainement pas accrocher.
L'histoire commence un peu bof, avec un gamin de 15 ans, Shiki Ichinose. Il est rebelle, insolent, nul à l'école, flemmard enfin le gosse, tête à claques. Il vit avec son père adoptif et passe ses journées dans sa chambre à admirer sa collection d'armes. Je ne vais pas vous raconter toute l‘histoire mais oui, il est un Oni, un méchant démon. Et sa vie de petit adolescent se complique drastiquement quand il réalise la portée et la puissance de ses pouvoirs.
Il est un Oni poursuivi par le clan des Momotaro. Il faut savoir que les Onis ont se pouvoir de transformer leur sang en une arme indestructible et fatale pour l'adversaire. Il leur suffit de verser quelques gouttes de sang pour en faire une épée, un fusil ou un parapluie et oui ça peut servir un parapluie et cela peut être mortel aussi un parapluie. La transformation en Oni est pratique pour se défendre mais s'avère aussi épuisante car se servir de ce pouvoir c'est aussi perdre du sang et donc de la force.
Cela m'a semblé un peu bizarre comme idée de départ, la transformation du sang mais le tome 2 m'a donné une idée originale du fin mot de l'histoire.
Dans le tome 1, j'ai aimé la vision de l'auteur et sa présentation des sentiments confus voir chaotique d'un adolescent de 15 ans. Sous ses airs de violences sanguinaires, l'auteur nous amène à réfléchir sur nos émotions et la façon que nous avons chacun à notre manière de les canaliser. Faut-il tout contrôler ? Notre instinct n'est il pas un atout de décision plus intéressant que la réflexion ? Et notre ego ? Est-il là pour nous aider ou nous ralentir dans nos décisions ?
Shiki Ichinose notre adolescent aux supers pouvoirs va devoir faire face à ses propres démons pour renforcer et contrôler ses capacités.
Il va intégrer l'académie ou sont formé les Oni afin d'apprendre à contrôler son sang. Et dans cette académie, il va devoir apprendre à composer avec ses partenaires et son professeur. On se doute bien qu'il va changer et devenir un héros mais justement un héros peut-il être un démon ? et qu'en est-il des Momotaro qui semblent dans ce premier tome aussi violent que leurs adversaires les Oni.
Voilà, j'en était là de mes réflexions, et puis, j'ai refermé le tome 1 en me disant que bon, c'était bien mais voila je ne souhaitais pas aller plus loin dans cette histoire d'ados bagarreurs.

Lien : https://fdl.radio/podcast/to..
Commenter  J’apprécie          20
Boooon je déteste faire des critiques négatives, mais je n'ai malheureusement pas vraiment été convaincue par ce début, que j'ai trouvé très stéréotypé (oui, les codes du shonen, tout ça, mais quand même) et dans lequel je n'ai pas réussi à m'immerger.
J'ai trouvé le personnage principal plutôt fade et artificiel, ainsi que l'intrigue en elle-même (on commence direct par une confrontation de type épreuves/examens à la Naruto ou My Hero Academia, mais à laquelle je n'ai pas du tout adhéré car ne connaissant pas les autres personnages ni leurs motivations ni rien du tout)
En fait j'ai eu l'impression que le décors et les personnages devaient être mis en place, et ce très vite, alors ça a résonné de façon assez superficielle à mes yeux...
Pourtant, j'adore le graphisme !! Les personnages sont super beaux et assez singuliers (ce qui est assez dur, je trouve, à obtenir), et le principe des onis, du rôle du sang, de son utilisation, etc. est super chouette !
Mais je suis littéralement passée à côté de ce premier tome (et du deuxième aussi, je tiens à préciser)
Sans rancune ! :)
Commenter  J’apprécie          20


critiques presse (2)
ActuaBD
23 mars 2022
Pour une personne qui n’est pas familière du genre, ce manga peut être une bonne découverte avec un système de combat intéressant centré sur le sang et un point de vue atypique.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Sceneario
21 mars 2022
Le scénario assure l’essentiel. Il ne brille pas par son originalité, ni par son déroulé. De plus, l’introduction est rapide, le mangaka ayant privilégié l’action au détriment du mystère. Mais ça fonctionne assez bien, et cela devrait plaire aux amateurs du genre.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Quand j'y pense aujourd'hui, je me sens désolé pour le mini-moi de l'époque... Pardon, mon vieux... Mais... Il s'avère que je fais partie de ceux que les justiciers doivent démolir...
Commenter  J’apprécie          111
Se laisser envahir par les remords est une perte de temps.
Commenter  J’apprécie          50
Il n'y a rien de plus terrifiant qu'un ignorant qui porte une arme !
Commenter  J’apprécie          40
C'est quand ils sont au bord du gouffre que les êtres vivants révèlent leur vrai potentiel.
Commenter  J’apprécie          10
- Mais vous êtes un monstre ou quoi ?!
- Ben oui !
- Oh ! Ça va, hein ! Vous voyez ce que je veux dire !
Commenter  J’apprécie          00

Lire un extrait
Video de Yura Urushibara (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Yura Urushibara
Tôgen Anki : La légende du sang maudit - Teaser
autres livres classés : mangaVoir plus
Les plus populaires : Manga Voir plus


Lecteurs (73) Voir plus



Quiz Voir plus

Le manga en quelques mots (facile)

Quel est le pays d'origine du manga ?

La Chine
Le Laos
Le Vietnam
Le Japon

5 questions
1467 lecteurs ont répondu
Thèmes : manga , mangakaCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..