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3,86

sur 173 notes
Nous connaissons tous Cruella qui n'a qu'une envie c'est d'avoir les dalmatiens pour s'en faire un manteau de fourrure.
Mais qui est-elle réellement et comment en est-elle arrivée là ?

Cruella a eu destin tragique et son enfance n'a pas été merveilleuse comme la plupart des contes. Malgré tout avant de changer en horrible femme, elle avait tout de même de bons côtés. Est-ce les boucles qui étaient maudites et qui l'ont ainsi fait devenir ce qu'elle est devenue ?

Serena Valentino nous offre un nouveau roman plein de surprises mais cette fois-ci sans l'apparition des étranges soeurs.
Cruella veut tout faire pour obtenir l'amour de sa mère mais cette dernière n'est intéressée que par l'argent. Cruella ne comprend pas que l'argent ne fait pas le bonheur et que l'on n'achète pas une personne avec des cadeaux. Son père a essayé de lui faire entendre mais c'était peine perdue.
Je l'ai trouvé relativement pathétique de toujours vouloir obtenir l'amour de sa mère alors que cette dernière ne se préoccupait nullement de sa fille.
Son comportement envers Anita était noble quand elle prenait sa défense bien qu'elles ne soient pas de la même classe sociale mais leur relation va changer car Cruella ne souhaite pas ouvrir les yeux sur la vérité.
Elle est tiraillée entre le fait de vouloir attirer l'attention de sa mère et ses propres sentiments vis à vis des gens qu'elle côtoie.
La perte de l'amour de sa vie va mettre un terme à sa vie convenable et sa chute aux enfers va commencer.

Il apparaît plus qu'évident que le comportement des autres peut nuire à notre bien-être et notre évolution sociale. La présence des gens qu'on aime est essentiel à un bon épanouissement.
Le manque d'affection de sa mère a totalement bouleversé sa vie et peut-être aurait-elle été différente dans le cas contraire. Mais ça nous ne le saurons jamais…

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Après Maléfique, Ursula, Gothel ou encore la bête, c'est au tour de Cruella de nous raconter son histoire.
Son récit est quelque peu différent des autres car cette fois-ci, on ne retrouve pas les étranges soeurs. Cruella se montre vraiment indépendante par rapport à ses choix, son parcours même si l'on devine sans trop de difficulté que sa mère y est pour quelque chose, une femme froide n'aimant qu'elle-même et n'ayant proféré que peu de tendresse pour Cruella.
L'enfance de Miss d'Enfer aborde un sujet qui jusqu'à présent n'était jamais évoqué dans les livres de Serena Valentino: les différentes classes sociales, des plus riches aux plus pauvres en passant par ceux que Cruella surnomme les "entre-deux". A lire pour les amateurs de Disney!

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Ce septième tome de la collection Disney Villains marque un tournant dans la poursuite de la saga.
Tout d'abord par son manque de lien avec les tomes précédents (alors que les six premiers tomes sont à lire dans l'ordre), celui-ci peut tout a fait se lire indépendamment.

Ensuite, par le style d'écriture, puisque l'histoire est rédigée à la première personne du singulier, comme si Cruella racontait elle-même son histoire.

Pour terminer, là où dans les tomes précédents, l'histoire originale se poursuit en parallèle avec l'histoire du méchant ; ici, nous en apprenons énormément sur l'enfance de Cruella et le récit des "101 dalmatiens" tel que nous le connaissons ne prend que quelques pages.

J'ai bien aimé ce livre, même si surpris de tous ces changements. J'espère cependant pouvoir retrouver rapidement des liens entre toutes ces histoires, dans la suite des romans de la collection.
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Septième tome de cette saga.
J'aurai passé un bon moment avec ces héros et héroïnes, ces "méchants" de Disney que Serena Valentino a décidé de nous montrer sous leurs bons jours. Avant la bascule vers le côté obscur de la force. Ah non, ça c'est pas la bonne saga.

Autant, dans les six premiers, il y a un suivi dans les histoires et il est conseillé de les lire dans l'ordre, et je dirai même plus de manière assez rapproché, autant dans celui-ci, il peut-être lu à part.

Ce n'est pas mon Disney préféré, mais j'ai aimé suivre l'évolution de Cruella sur les 3/4 du livre puisque le dernier c'est ce que l'on connait des 101 Dalmatiens.
Elle m'a fait de la peine. Et on voit à quel point, elle a été façonné par sa mère. Elle a mal tourné car des événements l'ont détournées du droit chemin.
Elle n'est pas égoïste, puisqu'elle fait tout pour plaire à sa mère qui lui rend bien mal.
Elle s'est détournée des personnes importantes et qui avaient une réelle affection pour elles.

Bref, idéal pour se replonger dans son enfance.
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Après la réécriture des histoires des méchantes "sorcières", Serena Valentino s'attaque aux méchantes sans pouvoirs magiques.
C'est Cruella qui ouvre le bal. Cruella d'Enfer qui voulait un manteau en peau de toutou. Mais derrière ce plan de fou se cache une femme qui a vécu de nombreux drames tout le long de sa vie, drames qui l'ont fait tomber progressivement dans la folie.
Ici pas d'étranges soeurs, seulement une allusion à la princesse Tulipe dans un des contes que la jeune Cruella lit.
Encore une réécriture Disney qui me plaît énormément bien que je sois un peu déçue qu'il n'y ait pas de lien avec le tome précédent qui laissait beaucoup de questions en suspens.
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Les 101 dalmatiens étant mon Disney préféré, je me réjouissais de découvrir les origines de Cruella.

Naturellement, j'ai trouvé l'histoire intéressante avec de bons rebondissements. le lecteur va découvrir l'enfance et le début de la vie d'adulte de Cruella avant qu'elle ne devienne la méchante emblématique connue de tous.

L'histoire de Cruella est touchante et vous découvrirez les motivations qui lui ont données l'idée de vouloir créer un manteau de fourrure en peau de bébés dalmatiens.

La plume de l'autrice est prenante. En plus, la narration est amenée de manière à ce que vous ayez l'impression que Cruella s'adresse directement au lecteur en nous racontant son passé avec son côté vaniteux et condescendant.

L'avantage de ce tome est sans nul doute qu'il peut se lire indépendamment des précédents ce qui n'était pas le cas avec les autres tomes de la saga.

L'histoire fait quelques clins d'oeil aux tomes précédents mais si vous ne les avez pas lus cela ne vous dérangera pas dans votre lecture. Je trouve sympathique que ce lien ait été fait avec le reste de la saga.

Cependant, j'ai trouvé quelques longueurs au niveau de la narration surtout que ce roman est assez court (288 pages en tout).

J'ai également été déçue par la fin que j'ai trouvé trop abrupte à mon goût. Je m'explique, Cruella prend le temps de nous raconter son passé mais dès que nous rejoignons la version de base du Disney, cela est passé en un seul chapitre pour ensuite arriver à un postface qui clôt ce roman.

J'aurais trouvé plus judicieux que l'autrice revienne brièvement sur cette partie et développe un peu plus la fin.

Si vous êtes un amateur Disney et que vous avez envie de découvrir le passé des vilains, je ne peux que vous recommander cette saga.

Les chapitres sont de tailles moyennes (environ une dizaine de pages). le style d'écriture est grand et aéré.

Pour le prix, vous pouvez vous procurer ce tome pour 15,95 euros ou 25,40 francs.

J'ai passé un bon moment de lecture malgré quelques bémols que j'ai relevés plus tôt. J'attribue donc la note de 8 sur 10 à ce tome.
Lien : http://devoreusedelivres.ekl..
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Je continue d'avancer dans ma découverte de cette saga. Je dévore les tomes uns après les autres sans jamais m'arrêter, ou très rarement! Je dis ça à chaque fois mais bon, j'avais hâte de découvrir l'histoire de Cruella. Ce n'est pas un méchant qui me passionne de base mais ça reste quand même hyper intéressant de découvrir comment ils sont devenus ce qu'ils sont maintenant. Contrairement aux autres tomes, celui ci est le seul qui peut se lire indépendamment des autres pour l'instant. Alors que les tomes précédents sont à lire dans l'ordre, celui ci vous pouvez clairement le lire en premier sans problème et sans risque de ne rien comprendre.

Dans ce septième tome, Cruella d'Enfer incarne la figure du mal par excellence : elle a du style, de l'esprit, elle est impitoyable et… sans doute maudite. de son enfance solitaire à ses choix vestimentaires discutables, en passant par son accident de voiture fatidique (comment l'oublier ? ), Cruella vous dira tout dans ses fabuleuses mémoires- les mémoires d'une femme condamnée par un destin tragique. Même les méchants les plus diaboliques ont eu des amis, ont connu l'amour et surtout, ont nourri des rêves. Pour Cruella, c'est l'heure de vous révéler les siens..

Contrairement aux autres tomes, celui ci se passe à Londres. C'est d'ailleurs le seul tome qui se déroule dans notre monde à nous et non pas dans un monde qui n'existe pas. C'est un tome très différents finalement, beaucoup de choses sont différente. Non seulement, il peut se lire indépendamment, l'intrigue se déroule à Londres, mais c'est aussi le seul tome écrit à la première personne et donc du point de vue du méchant directement. Ça peut paraître bête mais bon. J'ai vraiment aimé ces petits changements, ça apporte un peu de nouveauté, un petit vent de fraîcheur et ce n'est vraiment pas plus mal j'ai envie de dire!

Concernant le personnage de Cruella et bien je n'aurais jamais cru pouvoir dire ça un jour mais elle m'a fait tellement de peine la pauvre. On la voit dans son enfance, pendant son adolescence, à des moments clés de sa vie. Et ça m'a fait si mal au coeur de la voir comme ça.. Cruella aime profondément son père mais elle aime aussi profondément sa mère et ne veut jamais la décevoir. Alors elle la prend comme modèle. Sauf que sa mère est vraiment quelqu'un de mauvais. Elle n'aime que l'argent, dépenser sans compter, avoir une bonne réputation et j'en passe. En gros, ce n'est clairement pas quelqu'un à prendre pour modèle.. Sauf que Cruella ne jure que par sa mère et la voir devenir comme elle m'a vraiment fait de la peine. En grandissant, elle devient comme elle malheureusement.. J'ai beaucoup aimé son amitié avec Anita, malheureusement leur amitié va partir en eau de boudin.. C'est dommage que Cruelle soit devenue comme sa mère puisqu'elle a tellement changé que même Anita ne la reconnaissait pas.. Je ne vais pas dire que je comprends pourquoi elle a fait ce qu'elle a fait mais au fond elle ne voulait que faire plaisir à sa mère finalement.. Et je trouve horrible dans le fond. C'est vraiment un personnage complexe je trouve. On voit le changement qui s'opère en elle au fur et à mesure en elle..

Un tome bien différent des autres mais tout aussi plaisant à découvrir. Contrairement aux autres, il peut se lire seul et indépendamment. On a quelques références à ce qu'il se passe dans les tomes précédents mais en aucun cas ça ne gêne la compréhension de l'histoire. J'ai vraiment beaucoup aimé ma lecture et je suis surtout très fan de cette saga. J'aime me plonger dedans et dévorer les tomes les uns après les autres. D'habitude je n'enchaîne pas du tout les sagas comme ça mais en y réfléchissant, ça m'a vraiment donné envie de revoir ma façon de faire concernant les sagas. Maintenant je m'en vais vite lire la suite et terminer la saga!

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C'est un tome que j'ai particulièrement aimé. L'auteure arrive encore une fois avec brio à nous transmettre un message fort. La construction d'une personne durant l'enfance est cruciale pour façonner son adulte en devenir. Il est un peu différent que les tomes précédents, mais j'ai aimé qu'ils soient malgré tout liés. J'ai hâte de lire les tomes suivants!
Par contre, la ME se fou de qui avec une faute d'orthographe monumentale sur la tranche!?! Je trouve ça malheureux car c'est un manque de respect vis à vis de l'auteure et de ses supers histoires, mais aussi par rapport à nous lecteurs.

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de l'avis de tous, cet opus était l'un des meilleurs de la collection : ambiance, psychologie, écriture... selon les différentes chroniques parcourues sur la toile, "Cruelle Diablesse" était une pépite. Au final, on ne sait pas ce qui nous laisse le plus perplexe : notre déception, ou notre persévérance dans cette série qui va de mal en pis depuis son second tome ?

Revenons un peu en arrière : il y a quelques années de cela, l'auteure Serena Valentino était contactée par Disney Press pour écrire un roman mettant en scène un grand méchant de l'univers Disney et ainsi raconter l'histoire dont il est issu depuis l'autre côté du miroir. En choisissant la Reine de Blanche-Neige et les sept nains, l'auteure avait offert aux lecteurs avec "Fairest of all / Miroir, Miroir", un conte sombre et inventif on ne peut plus réussi. Face au succès rencontré par le roman, Disney Press avait alors proposé à Serena Valentino de poursuivre l'aventure en publiant tous les ans un nouvel ouvrage conçu sur le même modèle et racontant l'histoire d'un "Disney Villain". Et là, ce fut le drame : dès le second ouvrage ( consacré à la Bête), la romancière avait décidé de transformer la collection en série, et de relier les différentes intrigues entre elles comme partageant un même univers, voire comme se suivant de l'une à l'autre.

Pour justifier cette dramaturgie, Serena Valentino avait été obligée de créer des personnages secondaires insipides, leur seul intérêt étant de servir de "liant" ; malgré cela, ces derniers ont au fur et à mesure de plus en plus d'ampleur, au point de reléguer parfois lesdits "Disney Villains" à l'arrière plan. Cela dit, on avait quelque espoir avec ce Cruelle Diablesse de voir le niveau se relever : Les cent un dalmatiens ne se réclamant pas du conte de fées, l'auteure était obligée de s'affranchir de sa mythologie de papier mâché créée bon an mal an pour ses précédents titres, au moins pour celui-là. Malgré le contexte spatio-temporel et l'ambiance du Londres du milieu du XXème siècle (des atouts de taille pour imaginer une intrigue à la hauteur du personnage), "Cruelle Diablesse" est un ratage quasi total, dans la continuité des précédents opus.

Alors, certes, il y a quelques bonnes idées : l'histoire est racontée par Cruella elle-même, qui rédige ses mémoires, ce qui tend à une lecture immersive prometteuse, et il apparait clairement que Serena Valentino a lu le livre de Dodie Smith. En effet, comme dans le roman original des "Cent un dalmatiens", Cruella souhaite épouser un homme à condition qu'il accepte de prendre le nom des de Vil / d'Enfer afin de poursuivre la lignée. Malgré ces quelques points, les origines et la tournure que l'auteure donne à la relation Cruella / Anita manquent de crédibilité, de même que les relations qu'entretient Cruella avec sa mère sont assez peu réalistes ; de façon générale, les personnages ont vraiment peu d'épaisseur et on s'ennuie ferme. L'écriture (ou la traduction ?) y est certainement pour beaucoup : le style du texte français est (mais c'est déjà quelque chose qu'on avait pu reprocher aux précédent opus de cette collection) assez pauvre, ce qui n'aide pas à apporter de la teneur à quoi que ce soit, protagonistes ou péripéties. Serena Valentino ne parvient au final pas à s'empêcher de tisser un lien avec la mythologie fantastique imaginée pour les autres romans de sa collection, expliquant presque la folie du personnage par une malédiction en lien avec l'univers des contes de fées, un subterfuge dramatique assez grossier... Enfin, ultime reproche que l'on peut faire à l'auteure si elle a effectivement lu le roman de Dodie Smith : elle parvient même à passer complètement à côté de LA caractéristique du personnage ; à aucun moment en effet elle ne s'attarde sur la conduite déraisonnable et bruyante de Cruella dans les rues de Londres, LE signe distinctif de Lady d'Enfer après sa couleur de cheveux, pourtant rappelé maintes fois dans le roman original ainsi que dans les autres adaptations et variations autour de cette grande méchante...

En bref : Malgré le grand potentiel de départ du personnage, Serena Valentino s'englue un peu plus dans le ratage total qu'est aujourd'hui la saga des Disney Villains. Manque de relief des protagonistes, intrigue inégale, style pauvre... Cruella d'Enfer méritait infiniment mieux...

Lien : http://books-tea-pie.blogspo..
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Livre lu en une soirée je les dévorée. Vraiment très bon, on voit cruella différemment. Peut être quelques répétition, le livre aurait pu être plus court et moins répétitif mais quand même bonne lecture, jamais déçu de cette collection disney méchant 😍 j'espère que sa ne sera pas le dernier 🤞
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