Rageur

Rageur de Virginie Vanos : un roman court mais percutant, avec un style d'écriture incisif, sur le sujet des incels (involuntary celibate), du cyber-harcèlement, entre racisme, sexisme et réalité virtuelle où Ben, youtubeur de 28 ans, s'en donne à coeur joie dans le « hate ».

J'ai vraiment adoré et j'ai dévoré le livre en moins d'une journée (alors que mon temps est relativement limité pour la lecture dernièrement). Et je me suis dit que le hasard a mal fait les choses quand j'ai jeté mon dévolu sur Negombo pour découvrir l'écriture de Virginie Vanos.

La psychologie des personnages est très bien détaillée, chaque chapitre se concentrant sur les faits et gestes d'un seul personnage, développant ses ressentis et son point de vue. Cela a mis en perspective habilement tout les thèmes abordés.
Même si l'histoire se finit bien cette fois-ci pour les victimes, (ce n'est pas le cas pour Ben), combien de crimes impunis aujourd'hui, combien de personnes peuvent-elles avoir leur vie brisée par ces déviances du monde virtuel des réseaux sociaux et du net ?

En ces temps où fake news et commentaires haineux pullulent sur la toile (que certains utilisent comme une défouloir), ce roman court apporte une vision juste de cette violence psychologique et morale. Un roman à lire absolument, pour moi.

Après avoir lu trois autres des livres de Virginie Vanos, je me suis penchée cette fois-ci sur Rageur. À nouveau, je tiens à la remercier de sa confiance.

Dans Rageur, nous faisons connaissance avec Ben, un jeune homme de 27 ans, vivant chez sa mère et a pour seul objectif d'alimenter sa chaîne Youtube « Red Red Rex » en injures misogynes, homophobes, racistes… Sa chaîne est tout simplement une incitation incessante à la haine. Ben fait partie de la communauté des Incels, des célibataires involontaires. Un jour, il apostrophe Audrey Delvaux dans la rue, une championne de boxe de Mâcon. Après l'avoir agressée, la descente aux enfers de Ben s'enclenche très rapidement…

À nouveau, je retrouve le style d'écriture de l'auteure, mais cette fois sur un sujet bien plus au goût du jour. le roman est cru et dénonciateur, Rageur traite des problèmes actuels de la société, à savoir la dangerosité des réseaux sociaux, et les conséquences directes de ces réseaux : le cyber-harcèlement ruine la vie des victimes ainsi que de leur famille. Virginie dénonce aussi ce que les femmes, les homosexuels, les étrangers vivent au quotidien à cause de personnes comme Ben. Ce livre est nettement plus noir que mes précédentes lectures. J'ai évidemment été mal à l'aise lors des points de vue de Ben, personnage aussi abject que méprisable. Ses mots sont violents et chacune de ses pensées sont dures à lire. Néanmoins, j'ai aimé qu'il soit le personnage principal, cela change des personnages principaux toujours gentils et à la morale irréprochable. J'ai aussi apprécié que plusieurs des personnages aient droit à leurs points de vue, particulièrement Ingrid, si douce, et la lieutenante chargée de l'affaire Samira Ben Haddou, qui se démène pour faire justice, mais pourtant si consciente des failles du système.

En bref, j'ai lu Rageur d'une traite, je retrouve encore cette mise en page aérée qui rend la lecture si plaisante. Cependant, ce n'est pas mon livre préféré de cette auteure, étant criant de vérité, cela me rend mal à l'aise de savoir que ces situations existent réellement. Mais il faut pouvoir se donner conscience que le monde est parfois ainsi fait et qu'on peut toujours essayer de changer les choses. Je le conseille aux lecteurs souhaitant un thème juste et révélateur de notre société actuelle. Car Virginie Vanos donne le ton, et de manière très honnête.

Un gros coup de coeur pour ce petit livre qui traite d'un sujet d'actualité : le harcèlement sur la toile. En effet, il est très facile d'ouvrir sa bouche sur les réseaux sociaux sans penser aux conséquences que ces paroles peuvent avoir sur les personnes concernées. Certains font les bonhommes derrière leurs écrans alors qu'en face, il n'y a plus personne.

Benjamin, le personnage principal m'a mis hors de moi dès les premières pages. On ne peut que le détester à cause de ses propos machos, misogynes et vulgaires. Il va d'ailleurs aller trop loin dans ses propos et dans ses actions sur internet ce qui va lui porter malheur.

On ne peut que soutenir Ingrid, sa mère, qui ne sait plus comment gérer son fils maintenant majeur et vacciné comme on dit, mais vivant toujours sous le toit familial.

Dans ce petit livre, les mots sont parfois crus mais reflète bien la réalité de ce triste phénomène de plus en plus présent malheureusement. Les gens ne pensent jamais aux conséquences de leurs paroles et cela créer bien des problèmes. Il faut protéger les plus jeunes et surtout les sensibiliser face à ce mode d'expression qui n'est pas toujours bon.

Je recommande ce livre à 200% pour tous ceux qui aime ce genre de thématique.

Dans ce livre, nous découvrons Ben, un personnage odieux et détestable faisant vivre sa chaîne youtube grâce à des vidéos sexistes, racistes et homophobes. Mais la roue va tourner le jour où il s'en prend à Audrey Delvaux...

Tout d'abord, malgré le fait que Ben soit détestable au plus haut point en raison de ses propos, il met en lumière de manière brutale la mentalité de nombreux individus de la société actuelle. Son langage est vulgaire et cru ce qui rend sa personnalité très réaliste. Même si je l'ai trouvé très excessif, il est violent dans ses paroles et direct permettant de remettre en question de nombreux comportements.

Le thème du cyber-harcèlement est donc très bien développé et dénoncé. Un sujet sensible qui a toujours le mérite d'être mis au grand jour afin que tout le monde soit sensibilisé au sujet pour mieux réagir par la suite.

Par ailleurs, Virginie Vanos a toujours le talent avec son écriture de s'adapter à l'histoire qu'elle écrit, à ses personnages, au thème, au genre et l'atmosphère de ses romans. Ce livre se lit très facilement, il est accessible et addictif.

C'est une lecture puissante et percutante
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Je me suis senti « sale » dans ce roman et ce n'est pas dans le mauvais sens car c'est le roman pour ce genre de sensations. Dans Rageur, on se met dans la peau d'un déchet humain, d'une raclure. On se met dans la peau de Ben qui est un personnage hargneux, insultant et raciste. Il profite de l'anonymat sur internet pour pratiquer un sport dégoûtant, le harcèlement en ligne. C'est un rageur. Une personne qui déverse sa haine sur internet.

Ce roman est intense. On passe le roman à la première personne. On suit différentes personnes dont on a les points de vue. Comme c'est à la première personne, on a aussi leurs pensées et leurs sentiments. On ressent le désespoir de la mère de Ben, la destruction des victimes, le champ d'action des policiers mais aussi la malveillance de Ben.

Ce roman est intense et violent. La violence des sentiments nous tourmente tout au long de ce récit. Les termes sont violents mais percutants. Ils entrent en nous parce qu'ils sont criants de vérité. On peut tous être un « Ben » un jour ou l'autre, volontairement ou non. Il est tellement facile pour nous, en tant qu'être humain, ne céder à la tentation de mettre un commentaire. Parfois, on pense à mal mais il est tellement facile de blesser à l'écrit car les intonations ne font pas partie du jeu.

L'histoire est courte mais se lit avec passion. L'écriture de Virginie Vanos est fluide ce qui permet de passer à chaque personnage sans aucune difficulté. Comme pour Indésirable, j'ai adoré lire ce livre et je suis vraiment heureux d'avoir pu les découvrir – ces récits et cette autrice.

https://shurylecture.com/2021/01/15/contemporain-rageur/

Lu en 2h, je crois que cela dit long!

Je remercie Virginie pour la confiance accordée. Je la remercie aussi pour cette plume qui est addictive et que je trouve réconfortante.

Ce qui est addictif c'est qu'on se dit que ça existe, les hommes comme ça existe, les vengeances ainsi aussi ! J'appelle ca un "vrai roman" parce qu'il n'y a pas une once de fantastique ou quoi, je ne me suis pas dit que c'était poussé à l'extrême.
Ce que j'ai aussi particulièrement aimé c'est le point de vue de la maman de Ben, effectivement, on se dit souvent "oui mais fallait mieux l'éduquer ton gamin et ça ira mieux!" Ça ne fonctionne pas comme ça tout le temps!

Les chapitres ont juste une bonne taille pour se dire "allez encore un" ce qui fait qu'en 2h c'est plié !

Dans tous les cas, si vous cherchez un roman qui se lit tout seul et rapidement, allez-y !
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Écrit du 01/03/2020.

Je remercie Virginie Vanos pour sa confiance et sa gentillesse. J'aime énormément les écrits de Virginie, sa plume arrive à m'emporter dans toutes ses histoires!

Dans ce roman nous commençons très fort. Nous prenons connaissance de Benjamin ou autrement dit un Youtubeur détestable, sexiste, homophobe, raciste, provocateur, etc. Il tient un discours haineux et violent, sa chaîne YouTube ne «fonctionne» ou du moins ne vit que par ça. Il harcèle, mais tout ça va prendre une autre tournure.

Nous avons une histoire qui nous présente plusieurs personnages et nous les suivons (j'adore suivre plusieurs personnages)! L'histoire est donc changeante et dynamique. Nous sommes plongés dans différentes émotions, dans différents ressentis et différentes visions des choses.

Je n'aime pas Benjamin, il est détestable et bhouuuu!

L'homophobie, le racisme, le sexisme, l'harcèlement, tout ça est encore d'actualité (malheureusement) et dans ce roman nous suivons l'impact mais aussi les pensées de la personne qui harcèle, etc. J'espère qu'il tombera dans les mains de certains qui croient que c'est amusant, j'espère qu'ils pourront ressentir ce que les victimes ressentent.

Je crois pouvoir le dire : Virginie Vanos a une plume que j'aime beaucoup. Des écrits coup de coeur pour moi à chaque fois.

C'est avec grand plaisir que j'ai retrouvé la plume si particulière et percutante de Virginie Vanos, que j'avais découverte dans son roman « le spectateur ».

Ici on entre directement dans le vif du sujet, par un premier chapitre qui donne la parole à Benjamin, alias Ben ou Red Red Rex, un jeune youtubeur de 27 ans, particulièrement détestable. Raciste, sexiste, homophobe, il cumule toutes les tares et son discours est provocateur et violent. Il alimente sa chaine de contenus haineux. Un jour, le tournage d'une de ses vidéos ne se passe pas comme prévu, et il se lance dans une vengeance sous forme de cyber-harcèlement qui tourne mal.

En quelques lignes je le détestais déjà et j'étais presque mal à l'aise d'être « dans sa tête ».
En effet, la narration alterne entre les différents personnages, Benjamin, sa mère, son frère, l'inspecteur de police, les victimes …
Le rythme est dynamique et on passe dans la tête de chacun, on ressent leurs émotions et leurs pensées.

Un livre percutant, une écriture directe et sans fioriture, qui nous propulse au coeur d'un univers dérangeant. On se prend toute cette violence de plein fouet et on prend conscience des dangers et des dérives du cyber-harcèlement, ainsi que ses conséquences. Car c'est certes un sujet d'actualité, dont on entend souvent parler, mais sans forcément se rendre compte de la réelle portée et de l'impact qui peuvent en résulter. Un impact pour les victimes avant tout, mais aussi pour leur entourage, sans oublier l'entourage des agresseurs eux-mêmes.

Encore une belle réussite, à découvrir, il ne laissera personne indifférent.

http://moreandnewreading.e-monsite.com/pages/chroniques/chronique-64.html
Mon avis complet ci-dessus :
Tout d'abord je souhaite remercier Virginie Vanos pour sa confiance et l'envoi de ce nouveau service presse. Son roman, Rageur, est un tiré d'un sujet qui est malheureusement d'actualité. le cyber harcèlement. Et lire un roman en se mettant à la place de l'harceleur est dur. L'auteur a su mettre des mots et raconter cela avec succès. Un premier rappel rapide : Qu'est-ce que le cyber harcèlement : [...]

Nous rencontrons tout d'abord Ben, soit Benjamin Neveu, il a 27 ans, il vit toujours chez sa mère, Ingrid, 58 ans. Il a un frère William qui lui vit logiquement avec Hélène. Une famille normale, dites-vous ? Et pourtant. Benjamin, est un « youtubeur », qui traine avec un jeune garçon, beaucoup plus jeune que lui Fiodor. Notre protagoniste est donc le « youtubeur » de Red Red Rex. Une chose qui me fait hisser les poils, je ne comprend pas comment une chaîne ou réseaux de ce genre ne peux accepter ce genre de comportement. On tellement l'habitude de devoir respecter les règles, les consignes etc et pourtant ça existe et ça m'en rend sincèrement malade. Notre fameux Ben, a réussi en moins de temps qu'il n'en faut pour dire « aa » a faire de ma vie d'une chère Audrey un enfer !

Audrey Delvaux, boxeuse, a « refuser » à sa manière de s'amuser avec Ben et sa misérable bande, un refus qu'ils vont lui faire regretter. Cela commence avec de simples divulgations de ses coordonnées, des messages à tout va , des harcèlements SMS et téléphonique. Puis, des photos et des montages monstrueux divulguer à tout vas. Des menaces, des intimidations, d'abord personnelles, puis qui touche toute la famille de Audrey, je pense notamment aux ignobles menaces par rapport à la petite nièce.

Un roman dur, poignant. Audrey a eu beaucoup de courage. J'ai eu énorment d'émotion et de compation avec cette dernière... Mais on va se lancer dans toute cette mascarade et tenter de mener à bien cela, avec l'aide de Samira, lieutenant et qui va prendre en charge ce harcèlement. Un roman qui nous fait prendre conscience d'un sujet d'actualité qui est encore beaucoup trop présent de nos jours. Avec l'essence des réseaux sociaux je suis sûre que cela n'a pas arranger la chose. J'ai eu beaucoup de mal à lire le roman mais seulement lorsqu'on été avec le personnage de Ben, bien que ce ne soit pas mal écrit ou pas bien raconter. Au contraire, l'auteur a rédiger cette histoire avec succès. Mais, j'ai été bercer dans la politesse, dans l'entraide. Je monte dans le bus, une personne âgée aussi, je lui laisse ma place. Je croise des personnes dans la rue, je dis bonjour, même sans retour. J'aperçois quelqu'un qui a besoin d'aide, je ferait tout pour l'aider. Je suis témoin d'un préjudice, d'un mal, je témoigne. Alors être dans la peau d'un harceleur, pire d'un cyberharceleur, qui prend du plaisir à faire du mal, à blesser gratuitement, j'en été vraiment malade. J'ai arrêter plusieurs fois, je pourrai sincèrement tuer et tout faire pour faire punir ce genre de personne, spécimen… Un roman remplit d'émotions et de sentiments.

Cependant, c'est le genre de roman qu'il ne faut pas hésitez à parler autour de nous, à faire connaître. Pour faire agir, faire comprendre le contexte, le danger et le mal que le harcèlement ( de tout type d'ailleurs ) procure aux victimes.

Je vais essayer de ne pas divulguer toute l'intrigue parce qu'elle mérite vraiment d'être découverte de tous. En tout cas je vous souhaite une excellente lecture.
Lien : http://moreandnewreading.e-m..

Ben est ce que l'on appelle un "rageur". Vous savez, c'est le genre de gus qui se cache derrière son écran, derrière un pseudo pour déverser toute sa haine qu'il a sur des divers sujets de notre société. Ben a vingt-sept ans vit toujours chez maman, planqué derrière son pseudo "Red Red Rex", sur sa chaîne YouTube qu'il affectionne particulièrement et alimente régulièrement. Sur sa chaîne, il se plaît à distiller toute la haine qu'il a au plus profond de lui où il se complaît à publier des vidéos misogynes, homophobes, racistes et aussi sexistes.

Un jour où il est en quête de sa nouvelle victime pour bavasser sur sa chaîne YouTube, il va tomber sur une championne de boxe, Audrey Delvaux. En faisant d'elle son nouveau bouc-émissaire, Ben était loin de se douter que la demoiselle allait répliquer ! Qui est cette femme qui a osé lui tenir tête ? Lui, le grand Ben, le tout puissant ? Outré par l'aplomb de la belle, il va faire appel à sa communauté de potos virtuels pour créer un mouvement de haine envers la jeune femme. Audrey Delvaux va être victime de cyber harcèlement sauf que voilà, elle n'a pas l'intention de se taire et laisser faire ce troll pour qui se sera la descente aux enfers !

Virginie nous présente un livre fort, intense qui nous parle d'un phénomène de société qui prend de plus en plus d'ampleur à travers le monde. le cyber harcèlement est une réalité, est un crime aussi. J'ai été victime de cyber harcèlement par des lectrices qui n'ont pas apprécié la critique que j'avais faite d'un livre. Elles m'ont insulté, menacé, attaqué violemment sur le blog et sur les réseaux sociaux. Elles m'ont attaqué en tant qu'individu, pas seulement comme chroniqueuse. Je pense ne pas avoir été la seule à être victime de cyber harcèlement ou alors vous êtes chanceux/chanceuse. de nos jours, il est presque devenu dangereux de donner son opinion de peur des représailles mais pour ma part, il faut passer outre cette peur qui nous enlèverait notre droit à dire et penser ce que l'on veut !

Virginie Vanos emploie des mots forts, des mots percutants parfois violents, notamment quand elle est dans la peau de Ben. Ce n'est pas choquant en soi car malheureusement ce sont des mots souvent utilisés et retrouvés sur la toile. Certaines scènes du livre sont gênantes mais incroyablement criantes de vérités. La plume de l'auteur est forte, intense, brute de décoffrage et tellement réaliste qu'elle m'a donné froid dans le dos par moment.

Les chapitres sont courts, la lecture intense et rapide. L'alternance des points de vue est une incroyable bonne idée dans ce récit, cela nous permet de nous mettre dans la peau de la maman de Ben, du frère aîné de Ben, des victimes de Ben et du lieutenant de police chargé de mené l'enquête suite à la plainte de la boxeuse.

J'ai trouvé très intéressant que Virginie nous décrive un peu l'entourage de Ben. Au début de ma lecture, je n'en voyais pas trop l'utilité mais cela nous permet de mieux entrer dans sa tête de pervers, de mieux comprendre le sentiment d'impuissance que ressent malheureusement la famille de Ben. On essaye de se mettre à la place de ces personnages devant l'impuissance devant la folie de l'un des leurs à laquelle ils doivent faire face.

L'enquête policière piétine un peu et l'on se rend compte qu'il est difficile de réunir des preuves admissibles devant un tribunal.

Tout ça pour vous dire que "Rageur" nous donne du moulin à moudre pendant longtemps après la lecture. Virginie nous donne matière à réflexion, elle nous amène à ne pas nous poser comme une victime mais à prendre les armes contre ces personnes qui se pensent en sécurité, derrière un écran, à faire du mal à autrui... Un livre qui est à découvrir !

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