Seuls, tome 8 : Les arènes

Une belle découverte que ce nouveau peuple as si nouveau que ca en fait j'aime bien le systeme des arenes mais bon on savait deja qui allait etre meilleur que les autres

Un tome assez classique dans sa facture. Les enfants amenés de Fortville sont soumis à des tests, des interrogatoires et des épreuves... C'est tout... L'ensemble du tome est consacré aux épreuves, destinées à les accepter à Néosalem et à déterminer dans quelle caste (symbolisée par le chiffre sur le front) ils rentrent.

Mais, bien sûr, le lecteur va se voir distiller des petits indices sur les Familles, sur leur mort, sur les Limbes...

Je prends goût petit à petit à la série. Cela dit, les âges supposés des enfants me posent toujours un problème. Mais un peu de poudre de perlimpinpin vient souvent expliquer l'inexplicable... comme le pouvoir de l'esprit sur les choses dont use Saul pour tenter de freiner Dodji lors de l'épreuve finale.

Le lecteur sait donc qu'il n'est pas au bout de ses peines. Ni de ses surprises.

Le tome se termine sur un double questionnement: qu'est-ce donc que la chambre blanche? Et les 5 mais ont-ils vraiment gagné leur billet de sortie de Néosalem?

Étrange sentiment de déjà-vu tout au long de ce tome 8. J'ai eu l'impression de me retrouver dans autre monde mélangé de Hunger Games ou encore walking dead en moins violent. de ce fait je ne suis pas complètement rentré dans l'histoire tant elle est prévisible et les rebondissements qui s'amorcent pour la suite me laissent perplexe.

Dodji et ses amis sont dans une bien mauvaise posture.
Prisonniers de la communauté des "familles", ils doivent subir tout un tas d'épreuves, les plus dangereuses les unes que les autres, pour obtenir leur liberté.
Ces épreuves sous formes de "jeux" comme au temps des romains et de leurs arènes, sont des épreuves physiques qui peuvent se solder par la mort en cas d'échec.
Ce nouveau tome m'a plutôt déçu dans la mesure où l'intrigue est uniquement basée sur l'action, et que nous n'en savons pas plus sur le pourquoi du comment de cette situation qui a amené ces enfants à se retrouver seuls, livrés à la violence de la survie en "clans".
Peu de changements donc et ça se lit tellement vite que ça laisse un arrière-goût d'insatisfaction et de frustration... à quand le prochain tome ?

Ce huitième volet de « Seuls » a l'originalité de proposer un tout nouveau décorum à cette saga. En fin de tome précédent, les enfants avaient réussi à quitter leur quartier qui s'enfonçait progressivement dans le sol pour rejoindre la terre haute.

Au fil des pages le lecteur découvre l'organisation sociale et politique de ce nouvelle citée baptisée Néosalem. Dans cet endroit organisé de façon gallo-romaine, les autochtones se promènent en toges et obligent nos amis à affronter une série d'épreuves se déroulant dans des Arènes. Outre des jeux aussi variés qu'intéressants, le lecteur va également en apprendre plus sur les « 7 familles ». Fabien Vehlmann en garde évidemment un peu sous la main et entretient le mystère qui enveloppe son histoire, permettant ainsi aux spéculations concernant l'étrange phénomène qui a totalement bouleversé le quotidien de Camille, Leïla, Terry, Yvan et Dodji d'aller bon train.

Fabien Vehlmann multiplie donc les rebondissements et livre à nouveau une aventure haletante qu'il enveloppe d'une bonne dose d'angoisse, sans oublier de parsemer son suspense de fraîcheur et d'humour, même si le rire et la bonne humeur sont de moins en moins présentes au fil des tomes. Visuellement, le dessin assez rond et légèrement caricatural de Bruno Gazzotti est d'une grande lisibilité et donc très adapté à un public plus jeune. La mise en couleur sied également très bien à ce monde peuplé d'enfants attachants à la bouille bien sympathique. Mais attention, cette série n'est pas aussi gentillette qu'elle n'en à l'air, comme en témoigne la méchanceté de l'accueil des habitants de Néosalem ou certaines tortures infligées à nos amis… sans même parler du fait que ces enfants errent dans les limbes. le nouveau décorum de ce huitième volet permet aussi à Bruno Gazzoti d'un peu varier les costumes, les décors et les ambiances après tant de temps passé dans la ville fantôme.
Lien : http://brusselsboy.wordpress..

j'adore tous les tomes même le dernier et je ne comprend pas pourquoi la moyenne est de 3.5

Je l'ai lu en quinze minutes et je vais devoir attendre un an pour lire le prochain!!!!!!

Un tome qui redonne le goût de la série. J'y retrouve des dialogues plus aboutis, plus poussés que sur les tomes précédents. Les questions se multiplient vu le contexte, mais ce n'est pas pour me déplaire tant cela redonne de l'intérêt au titre.
Graphiquement, la situation à Néosalem permet à Gazzotti de se renouveler et de nous proposer des décors différents.

bien

Les cinq héros se retrouvent dans les arènes antiques de Néosalem. Pour arriver à la septième famille du bien , ils doivent participer à des épreuves diverses et dangereuses.

Ce livre est bien mais les auteurs ont rajouté des phrases qui n'ont pas d'intérêt mais dans l'ensemble il est bien : du suspense ,de l'action et de l'amitié .

NOLHAN