Au cours d'une conversation à bâtons rompus avec ma petit-fille, nous avons parlé, entre autres, du "silence de la mer".
C'était pour elle un bon souvenir scolaire. Je ne me rappelais pas si je l'avais lu ou pas et comme elle en parlait si bien, je l'ai emprunté.
J'ai trouvé cette nouvelle très puissante.
Le silence comme seule arme contre l'occupant, c'est très fort.
L'indifférence du silence qui peu à peu se lézarde.
Bien sûr, cette stratégie n'aurait pas pu fonctionner avec tout autre que Werner von Ebrennac.
Quant aux autres récits, ils m'ont tellement ennuyée que j'en ai abandonné la lecture.
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