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4,13

sur 829 notes
Je connais le film depuis très très longtemps….. depuis mes années collèges en fait. Un des films qui m'a marquée et dont je me souviens encore. Il faut dire que je l'ai vu bien des fois ce film..
Nous avions la chance quand il pleuvait de pouvoir aller en salle vidéo sur le temps de midi.. et les pions nous passaient des films… Pour être honnête je crois que c'est la période de ma vie ou j'ai le plus été marquée par des films ( la vie De Voltaire, celle de Molière, le cercle des poètes disparus, Mississipi Burning (on faisait moins cas de l'âge pour regarder certains films a l'époque) , Good Morning VIetnam …)... sans doute du en partie a l'âge que j'avais a l'époque.

Quand Gwen a fait passé ce roman sous mon nez il y a quelques jours, je n'ai pas hésité une seconde… J'ai été bluffée par le film, moins par le roman car il faut reconnaître que le casting est juste magistral… Spielberg n'aurait pas pu choisir mieux… et puis rien que le nom de Spielberg en dit long.
Alors pour une fois chez moi et c'est rare j'ai préféré le film au roman.

Par contre je conseille très très fortement (j'insiste) pour ceux qui n'ont pas vu le film de commencer par le roman, car je suis persuadée que si le film n'avait pas été aussi puissant j'aurais pu mettre ce roman comme coup de coeur… car il est marquant malgré tout. Cette façon de nous raconter la condition des femmes noires dans les années 30 est juste magistral. L'écriture de l'auteur peut peut-être rebuter au premier abord, mais il est dans le ton et dans l'esprit de Célia.. pour mieux la comprendre, pour mieux comprendre sa vie et l'époque.

Un roman mais surtout un film important en ce qui me concerne.
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Je referme ce beau roman épistolaire que j'ai volontairement fait durer afin de prolonger ce moment de lecture inoubliable, et c'est à regret que je quitte la compagnie de tous ces gens, attachants ou non qui construisent cette histoire par leurs actions, leurs allées et venues, leurs déconvenues et leurs réussites.

Nous sommes dans les années 30, Celie, se confie au bon Dieu et raconte sa vie, les violences qu'elle subit, et en femme noire soumise, se montre très passive face à l'attitude des hommes car n'ayant pas connu autre chose, ses propos en début de roman montrent qu'elle trouve normal d'être battue. Mariée de force à un homme qu'elle appellera « Monsieur », elle rencontre durant sa vie, d'autres femmes qui lui apporteront l'espoir d'une vie meilleure, la possibilité de s'affirmer et de mener sa vie comme elle l'entend. Trois de ces femmes jouent un rôle déterminant dans la vie de Célie : Shug, chanteuse, femme libérée grâce à qui Celie, qui n'est aucunement attirée par les hommes, découvrira l'Amour, Sofia, belle fille de « Monsieur », un personnage que j'ai particulièrement apprécié, franche, et non disposée à se laisser marcher sur les pieds par qui que ce soit, et que son tempérament fougueux conduira injustement en prison, puis au service de « blancs » qu'elle déteste. Et enfin Nettie, soeur de Celie, qui par ses lettres d'Afrique feront pencher la balance du bon côté pour que Celie trouve un équilibre entre ces femmes libérées au comportement parfois très excentrique (nous sommes en 1930 !) et sa soeur missionnaire, vouée au service d'autrui.

Et l'on assiste à l'épanouissement progressif de Celie : elle se découvre des qualités : elle sait coudre et confectionner des vêtements, elle se montre capable d'avoir ses propres idées et de les défendre, elle améliore sa façon de parler, c'est sans doute une des raisons qui m'ont fait refermer ce livre avec réticence parce que j'imagine qu'elle pouvait encore évoluer et j'aurais trouvé cela intéressant !

Les lettres de Nettie, installée en Afrique, dans un pays non précisé et devenue missionnaire près d' un peuple probablement fictif, fournissent des renseignements intéressants sur l'exploitation menée par les industries qui, ne se sont pas contentées d'employer une main d'oeuvre bon marché, mais qui ont osé chasser les gens de leurs villages, les parquant dans des lieux d'habitation ne correspondant pas à leur milieu de vie, l'habitat en Afrique étant alors souvent conditionné par des pratiques religieuses et des rites.

En 1930, L'esclavage a été aboli, certes, mais n'a supprimé ni la ségrégation, ni le racisme, ni le machisme, ni la violence qui en découle, La couleur pourpre en témoigne.

Je n'oublierai pas ce roman et je vous le conseille !
Lien : http://1001ptitgateau.blogsp..
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J'ai « avalé » La couleur pourpre en une journée, me délectant davantage de cette relecture que lors de sa découverte il y a une vingtaine d'années.

Les romans épistolaires ont cette faculté de suspendre le temps entre deux correspondances, pendant lequel on « entend » le personnage changer, évoluer au fil du temps et des mots.

Dans ce cri politique pour les droits des noirs, la militante féministe n'a peur ni des tabous, ni du sexe, ni de la violence.
Dans ce roman sudiste par excellence, la beauté tutoie souvent la tragédie.

Il est question de solitude, d'amour, de violence, de sexualité, de pauvreté et de domination, mais aussi de la recherche du bonheur, de tolérance et d'espoir !
L'auteure évoque les déchirures de notre chemin et celles qu'il faut raccommoder, remeubler, illuminer à nouveau !

Ce récit nous coupe le souffle ! La dignité de la colère est le mégaphone qui permet à l'auteure de donner de la voix aux invisibles.
Ce roman est animé par une étonnante force littéraire. Celle qui pousse un auteur à vouloir faire éclater la vérité sur L'Histoire.

Les seconds rôles sont très étoffés. Alice Walker concocte des portraits psychologiques renversants, captant ces points de contact entre les êtres comme un échange de regards, une complicité qui se passe de mots ou un rire partagé.

La couleur pourpre c'est un roman aussi brillant que salutaire, absolument intemporel.
Une sorte de diamant : clair, touchant, précieux !


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Un roman déchirant, bouleversant.
Des lettre ardentes, aimantes.
Des lettres perdues, jamais reçues.
Celie, Nettie, des soeurs aux blessures nues.
Une séparation pesante, suffocante.
Des vies tourmentées, maltraitées.
Mais deux âmes innocentes, deux beautés.
Une fin consolante, apaisée...

Partez à la rencontre de ces personnages restés purs et pleins d'espoir, malgré l'horreur de leurs destinées, bafouées, frappées, méprisées. Deux soeurs noires que la vie a brutalement séparées et qui, au-delà de leurs forces, continuent à croire en leurs retrouvailles... Les lettres de Celie, dans leur maladresse , car elle n'a reçu aucune instruction, sont si touchantes...C'est magnifique d'émotion et de tendresse! A lire!
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Années 1930, Memphis. Celie et Nettie sont deux soeurs, elles sont séparées par plusieurs milliers de kilomètres mais elles s'écrivent, comme un lien qui ne se brise jamais et les aident à garder espoir. La vie des femmes pauvres et noires américaines n'est pas évidente à cette époque…
Quel livre ! J'avais choisi ce livre pour une lecture commune (club de lecture) et j'avoue que le premier chapitre m'a fait un choc. Inceste, enfants perdus de vue et autres horreurs. J'ai failli fermer le roman illico mais j'ai pensé aux avis enthousiastes et j'ai poursuivi. La couleur pourpre est un livre sur la condition féminines des Noires dans le Sud des Etats-Unis. Celie est une jeune fille au début du roman et est soumise à son mari. Sa jeune soeur, Nettie, a eu de la chance d'avoir eu de l'instruction et est partie en Afrique en tant que missionnaire. J'ai beaucoup aimé cette tendre correspondance, même si leurs lettres ne sont que des lettres au bon dieu ou non reçues… Alice Walker peint des portraits de femmes qui souffrent mais ne renoncent jamais. J'ai particulièrement apprécié la jeune Sofia, même si elle est très directe dans ses échanges. J'ai été un peu déstabilisée par l'absence de repères temporels, comment d'années sont passées depuis son mariage avec Monsieur ? Ou entre l'union entre le fils de Monsieur et Sofia et leur nombreuse descendance ? Ça renforce la simplicité de Celie qui raconte sa vie sans détails mais ça m'a empêché de situer tel ou tel moment.
Un magnifique roman, je pense regarder le film avec Whoopi Goldberg même si je crains qu'il ne soit pas très fidèle.
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Le sud des Etats Unis,près de Memphis,, première partie du 20 ème siècle, même si l'esclavage a été aboli, les blancs et les noirs vivent à part ... Celie et Nettie sont deux soeurs très proches, leur beau -père les approche de très près, leur mère après avoir encore mis au monde trois enfants s'éteint . Celie l'aînée , pas très jolie, devient la proie du beau-père, les enfants qu'elle met au monde lui sont retirés, elle trime du matin au soir sans jamais se rebeller . Elle est marié à Mr. , une brute qui la bat et la considère comme la bonne à tout faire .A nouveau, elle bosse, lave, repasse, s'occupe des enfants de Mr , son seul rayon de soleil Nettie , mais Mr tourne autour de Nettie , Celie l'aide à s'enfuir, elles se promettent de s'écrire régulièrement mais silence absolu...Alors Celie écrit souvent au bon Dieu.
Il faudra l'arrivée de Shug Avery la pulpeuse, l'amour de Mr , pour que son horizon s'éclaircisse , ce sera grâce à Shug qu'elle mettra la main sur toutes les lettres que Nettie lui a envoyé depuis la terre d'Afrique où elle est partie comme missionnaire....
Roman épistolaire , d'abord les lettres de Celie, puis celles de Nettie, cela aurait pu me sembler pesant , même pas . Chant d'amour d'Alice Walker pour toutes ces femmes noires qui souffrent de leur impuissance à trouver leur juste place dans une société masculine machiste violente souvent dépravée. Shug Avery et Sonia sont les porte paroles de la rébellion féminine .
Quant à Nettie , c'est le regard de l'Amérique noire sur l'Afrique. Comment se comprendre, comment se reconnaître dans le regard de l'autre ? Comment tolérer l'intervention des colons blancs qui détruit tout sans aucun respect pour les civilisations déjà existantes .
Je n'ai pas vu à l'époque le film de Spielberg mais je n'ai qu'une hâte c'est de me le procurer et d'entendre chanter "Miss Celie'blues" .......
Je ne suis pas prête d'oublier ces lettres, certaines m'ont fait sourire, d'autres m'ont bouleversées , une très , très belle lecture et un prix Pulitzer ô combien justifié !
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"Cher bon dieu". Qui d'autre pourrait bien recevoir les confidences de Célie ? Sa mère est morte. Son père, après lui avoir enlevé à la naissance les deux enfants qu'il lui a fait, l'a mariée à "Monsieur", un veuf qui a plus besoin d'une bonne que d'une épouse avec ses 4 enfants en bas âge. Quant à sa soeur Nettie, après avoir fui les avances de leur père et de Monsieur chez qui elle avait trouvé refuge, ne donne plus de ses nouvelles. Pourtant, avant de taper à la porte d'une missionnaire noire qu'avait rencontrée Célie par hasard et qui portait dans ses bras une petite fille qui lui ressemblait, avait promis de lui écrire : "Il n'y a que la mort qui m'en empêchera". Mais Célie ne reçoit pas de lettre. Bientôt Shug, chanteuse et femme de mauvaise vie dont est amoureux Monsieur, avec son coeur sur la main et son corps brulant, apparait. Sans compter Sofia, la prétendante d'Harpo, le fils ainé de Monsieur, qui ne s'en laissera pas compter, ni par un homme, ni par un blanc. Et c'est toute la vie de Célie qui s'apprête à changer.

Quel roman magnifique, émouvant, sublime. Il faut dire que les personnages sont de ceux que l'on n'oublie pas, que l'on porte en nous bien après avoir refermé le livre.
C'est à la fois une sorte de photographie de la vie des femmes noires dans les années 1900 en Georgie, mais aussi un hommage à celles qui, noires et femmes, n'avaient que des handicaps pour mener leur vie. Battue, humiliée, maltraitée, Célie supporte tout en silence, avec dans son coeur ses lettres au bon dieu, et l'espoir insensé de revoir un jour sa soeur Nettie. Nettie, qui plutôt que de plier s'enfuit et prend son destin en main. Sofia, la belle Sofia, si dure, si aimante, si sure de son droit à exister et à être respectée, et qui pourtant sera brisée. Et Shug bien sûr, qui, par sa beauté, son talent, sa façon d'être, mène les hommes par le bout du nez. Il faut quand même dire de ces hommes que côtoie Célie qu'il n'y en a pas un pour rattraper l'autre. Les blancs non plus d'ailleurs n'ont pas le beau rôle.
Ecrit sous forme de lettres avec un seul expéditeur au départ (le bon dieu ne répond pas directement à Célie), "La couleur pourpre" nous parle de la place des femmes dans une société qui peine à évoluer, évoque leur transformation, nous parle de la religion, de l'espoir, du pardon, et de la rédemption. Il nous montre comment l'écriture peut sauver des femmes du désespoir. Et si le propos est souvent grave, l'auteur ne tombe jamais dans le misérabilisme, et l'écriture n'est pas dénuée d'humour : "Et alors ? S'il (le bon Dieu) ouvrait ses oreilles toutes grandes pour écouter les femmes noires, le monde ça serait quand même autre chose, c'est moi que j'te l' dis" !
Un vrai coup de coeur.
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La couleur pourpre c'est l'histoire bouleversante d'une jeune fille Célie, prise en étaux, dans cette Amérique ségrégationniste, entre le racisme des « blancs » et le patriarcat des « noirs ».

Orpheline de mère et salie par son propre père, Célie se retrouve très jeune, mariée à un homme tout aussi violent. Victime de violences physiques et morales, c'est dans l'écriture de lettres adressées à Dieu qu'elle trouve un refuge. Un refuge construit avec amour par sa soeur bien-aimée Nettie qui avant son départ précipité, a eut le temps de lui apprendre à lire et à écrire.
Roman épistolaire, des lettres, comme des appels au secours, jetées à la mer dans l'espoir d'un retour ...

Le récit de Célie m'a beaucoup touchée, de sa 1ère lettre bouleversante « Cher bon Dieu, j'ai quatorze ans. J'ai toujours été sage ... » à sa dernière si lumineuse « Cher bon Dieu. Chères étoiles, chers arbres, cher ciel, chers gens. Cher tout. Cher bon Dieu ».
Entre ces deux lettres, toute une vie.
Un destin hors du commun, un chemin semés d'embûches certes mais un destin éclairé par l'Amour, l'amour fusionnel entre deux soeurs, remarquablement transmis par l'auteure.
Une vie de combat éclairée par ces belles rencontres qui accompagnent l'autre sur le chemin de l'espérance et de la liberté.

J'ai trouvé cachée dans ces lettres, la voix de Alice Walker qui toute sa vie a lutté contre le racisme, le sexisme et les inégalités sociales. Il y a aussi je pense, la confession de son homosexualité ...

Et c'est bien le visionnage, après ma lecture, du film de Steven Spielberg qui m'a incontestablement convaincue de la richesse de ce roman.

Ami(e)s lecteurs(trices) plutôt le livre ? le film ? Ou les 2 ?
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"La couleur pourpre" est peut-être l'un des romans épistolaires américains les plus célèbres. Les échanges entre Célie et Nettie, deux soeurs confrontées dès l'enfance à la violence des hommes et d'une société ségrégationniste, sont touchants et parfois même horrifiants. Mais ils témoignent d'une réalité malheureusement fondée.

"La couleur pourpre" est un roman social qui investigue le quotidien d'une famille noire avec une crudité farouche parfaitement rendue par le style sobre d'Alice Walker.

Le récit se situe sur deux continents, l'Amérique du Nord et l'Afrique. Il tente par l'histoire particulière de Célie et de Nettie de reconstituer le trait d'union entre ces deux territoires, et par l'histoire générale de donner une identité et une "légitimité" au peuple afro-américain qui doit se saisir de son passé pour que celui-ci ne se limite pas à l'esclavage.

Si le roman se lit vite et bien, la narration épistolaire m'a moins convaincue que le propos en lui-même. Comment ne pas s'émouvoir au spectacle de la misère et des souffrances endurées par ces très jeunes filles ? Et le moyen de ne pas crier à l'injustice ? Pourtant, malgré sa noirceur (sans mauvais jeu de mots), le roman est porteur d'espoir et c'est sur une note joyeuse que l'auteure nous fait abandonner ses personnages.


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C'est en commençant la lecture de ce livre que je me suis rappelée que j'avais vu le film du même nom pendant mon adolescence et que même s'il m'avait beaucoup marquée, je ne l'ai jamais revu….. Je ne me rappelais même pas que c'était Steven Spielberg qui l'avait réalisé, (honte à moi, il a fallu que je regarde la bande annonce sur le net pour réaliser cela), j'en étais juste restée à la prestation remarquable de Whoopi Goldberg….
J'aime bien les romans épistolaires et celui-ci en fait partie. Deux soeurs, Célie et Nettie, sont les deux narratrices de cette histoire.
Si Celie est surtout présente dans la première partie de l'histoire, elle en est aussi un des personnages les plus émouvants et attachants…. Il faut dire que ses débuts dans la vie semblent démontrer qu'elle n'est pas vraiment née sous une bonne étoile….Elle se révélera au fur et à mesure d'histoire grâce à d'autres personnes dont la charismatique Shug qui l'aideront à se construire et à sortir de son statut de victime.
Un livre qui nous permet de découvrir la condition des afro-américains et plus précisément celle des femmes de couleur dans l'Amérique des années trente. Certes, l'esclavage a été aboli depuis plusieurs décennies, mais les inégalités subsistent encore fortement.
J'ai eu un peu de peine au début de la lecture de ce livre avec le style et le parler de Celie, mais une fois habituée, j'ai pu continuer sans problèmes la lecture de ce roman qui se lit très rapidement.


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