"Pour elle, un monde sans livres était un monde sans amour, triste, fade, désolant. Pour elle, la littérature était le berceau de l'éducation et de l'humanité. Il fallait que les gens s'évertuent à lire, à rêver, à s'entraider, à s'aimer"
Les petites merveilles
Léna Walker
"Elle" c'est Bernadette, femme de Marcel ...
" Transmets-leur la pasion de la lecture", c'est ce qu'elle ne cessait de lui répéter (à Marcel).
Pour elle, un monde sans livres était un monde sans amour, triste, fade, désolant. Pour elle, la littérature était le berceau de l'éducation et de l'humanité. Il Fallait que les gens s'évertuent à lire, à rêver, à s'entraider, à s'aimer."
p.99
Il y a un livre pour chaque lecteur et un lecteur pour chaque livre.
Il y a un livre pour chaque lecteur et un lecteur pour chaque livre.
Comme des roses qui ont besoin de lumière, d’eau et de terre pour grandir, nos enfants ont besoin d’attention, d’amour et de bienveillance pour s’épanouir.
Eva y avait fui le monde réel des contraintes, des déceptions et des responsabilités, pour se réfugier dans celui des livres, lieu par excellence de tous les possibles.
Le pouvoir des mots : aussi bien responsables des pires maux et méchancetés que des plus grand bienfaits. Quelle contradiction.
Dans la vie, elle est persuadée qu'on a tous le choix., le choix entre se laisser vivre et vivre...
Comme des roses qui ont besoin de lumière, d’eau et de terre pour grandir, nos enfants ont besoin d’attention, d’amour et de bienveillance pour s’épanouir.
« La violence n’appose jamais de paix durable. »
Martin Luther King