Je me suis lancée dans la lecture de cette nouvelle car j'espérais qu'elle pourrait me réconcilier avec la confrérie de la dague noire. Une petite lecture rapide donc, qui se déroule après, semble-t-il, les évènements du tome 3 que je suis loin d'avoir terminé.
Sans connaître les tenants et les aboutissants de la relation entre Zadiste et Bella développée dans le dit tome 3, je ne me suis absolument pas sentie perturbée pour un sous. C'est dire la prévisibilité de leur histoire et son originalité par rapport aux autres couples de la confrérie.
Ici, pas d'éradiqueurs, ou très très peu. On se concentre sur la relation entre Zadiste, Bella et leur fille Nalla (et pourquoi pas Isabella et Simba tant qu'on y est ? ^^).
A sa naissance, Zadiste s'est refermé sur lui-même et refuse de toucher sa fille. Sa vie de couple est également inexistante. Il passe son temps à se battre et à faire des cauchemars.
L'histoire se concentre donc sur ce qui me plait dans cette série, à savoir la romance. Exit l'action qui n'est là que pour casser le rythme, on ne dévie pas du sujet principal.
En cela, j'ai apprécié cette nouvelle.
Les scènes de sexe sont bien moins explicites et présentes que dans les tomes de base. L'évolution de la relation est lente, construite, réfléchie et cohérente. Je ne me suis pas ennuyée et j'ai sentie ma lassitude vis-à-vis des personnages s'estomper. Tant mieux, c'était le but.
Maintenant, il ne faut pas se leurrer. Ca reste à ras les pâquerettes. Ce serait digne de faire parti de la collection Harlequin. Mais ça détend…
Je vais arrêter de chercher autre chose que de la romance dans la saga. Et je pense que j'apprécierai davantage !
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Un court petit tome qui nous replonge dans ce que je crois être le personnage chouchou de l'auteure. Zsadist (par contre, quelle cruelle femme au niveau de l'orthographe des noms).
Ce pauvre mâle que l'on croyait sur la pente du bonheur a encore du mal à s'y laisser aller véritablement. Entre l'arrivée de l'innocente Nalla et la nouvelle dynamique de son couple, il ne sait plus quoi faire et c'est tout à fait compréhensible.
En tout cas, cette courte historiette à le mérite d'en montrer plus sur la ligue des femmes au coeur de la Confrérie, parce que si dans chaque tome on comprend bien que les mâles sont Frères et qu'ils rapporte leurs shellane dans leurs groupe, on ne voit jamais vraiment comment les filles s'entendent entres elles. C'est donc une très bonne chose que de voir qu'elles aussi se serrent les coudes et se soutiennent, chacune apportant sa touche de caractères à l'ensemble du groupe.
En bref, un petit plus très sympathique et qui se lit vite, tout simplement.
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Une centaine de pages bouleversantes. Zsadist est perdu, la naissance de sa fille et la peur de perdre sa shellan qui l'a accompagnée ont eu raison de son équilibre mental.
Il va falloir tout l'amour de ces deux êtres pour venir à bout des démons surgis du passé de Z.
Un excellent moment d'amour et de tendresse. A lire sans modération....
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Pas tres passionnat pour moi. Je me suis ennuyée et je suis décues de ce dernier tome de la confrérie de la dague noire. Je m'attendais à mieux vu que ce tome parle d'un des mes personnages préféré. Mais je le trouve plat et sans relief. Mais il se lit vite car il n'est pas long.
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Nalla était parfaitement bien dans ses mains. Les fesses dans une paume, la tête dans l’autre. En se redressant, il la souleva, et la trouva étonnamment ferme, chaude, et—
Elle s’agrippa à son col roulé, et tira dessus, réclamant plus de proximité... Et ce fut étonnamment facile d’accepter. Tandis qu’il la serrait contre sa poitrine, elle se calma immédiatement, se tourna elle-même contre lui.
Ça paraissait si naturel de la voir dans ses bras. Il se dirigea vers le fauteuil à bascule où il s’installa, utilisant un pied pour les balancer.
Il étudia les paupières, les petites joues rondes, la main serrée sur son col roulé, et réalisa soudain qu’elle avait besoin de lui. Pas seulement pour la protéger. Mais aussi pour l’aimer.
La mort était un colis enveloppé de noir qui arrivait un jour chez soi, avec des différences de forme, poids ou emballage. Pourtant, quand le paquet passait le seuil, on devinait immédiatement ce que c'était, sans avoir besoin de vérifier l'adresse de l'expéditeur - et avant même de l'ouvrir.