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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Mon deuxième livre de zombies.
Un régal, du post apocalyptique comme j'aime en lire.
Truffé de personnages aux profils variés, ce roman vous fera déconnecter de notre vie réelle, sans difficultés :

Un monde en mode survie, des réchappés de la catastrophe ''zombies'' qui tentent de survivre en communautés dans les décombres de villes, surveillant anxieusement l'apparition de positifs dans les rangs,

Des pillards qui finissent d'achever ou de monnayer le peu qui reste exploitable,

Des positifs : survivants qui sont potentiellement atteints par le virus ''zombies'', parqués dans des camps, réduits à l'état d'esclaves en attendant que le virus se déclenche en eux (ou pas),

Les adorateurs d'Anubis semant mort en réalisant des sacrifices humains, apportant peur et chaos sur leur passage,

Et Finnegan (aussi dit Stones) qui passe/rencontre une catégorie puis une autre, avec parfois une chance folle
tentant de s'acclimater et comprendre ce qui lui arrive, les nouvelles règles du jeu de sa nouvelle vie de positif pour finir par imposer les siennes en prenant les commandes pour offrir une autre vie aux positifs.

Ce roman est palpitant, haletant. Bref ne vous lâche pas même refermé.
La construction en chapitre cours y participe grandement, les petites phrases annonciatrices d'événements met le lecteur au supplice... On veut savoir et fatalement on continue avec frénésie !
Toutefois le roman comprend quelques longueurs sur la première partie, sans doute voulue par l'auteur pour nous permettre d'assimiler les informations relatives au fonctionnement de ce monde en sursis.

Quant aux zombies, on sait qu'ils sont la cause de la catastrophe, qu'ils ''squattent'' encore la surface de la terre mais restent assez minoritaires au vu des autres catégories de personnages et des multiples aventures de Finnegan, dont le personnage évolue tout au long du roman.
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En mode zombie post-apocalyptique, je demande « Positif ».

Dans un New-York dévasté survit Finn et ses parents. le loustic est débrouillard, il connaît presque toutes les astuces pour survivre dans ce monde dévasté, car il y est né il y a à peine 19 ans. Au retour d'une pêche miraculeuse dans les métros noyés de sa ville, son enthousiasme est fauché par la zombification subite de sa mère et conséquemment, sa mort brutale par balle. C'est le début d'un long cauchemar pour Finn qui se trouve tatoué du signe « + » sur le dos de la main gauche, signe qu'il est éventuellement porteur du virus et certainement condamné à quitter sa ville pour une quarantaine de deux ans. Banni par les siens, c'est le début d'un long voyage qui lui fera traverser une Amérique méconnaissable et faire des rencontres inoubliables, dans tous les sens du terme...

Un roman du genre bien agréable à lire, avec des zombies mais pas trop ; avec des gentils et des méchants ; avec des paysages apocalyptiques et de la belle nature généreuse… Bref, vous l'aurez compris, tous les ingrédients ont été là réunis pour faire un bon roman mais pas une oeuvre inoubliable. Les personnages centraux sont attachants, même si un peu mièvres par moments. Il y a du rythme, de la trahison et de la fraternité. Bref, un moment de lecture rafraichissant !
Etonnant, non ;) ?
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Un monde ravagé, par …les Zombiiiies !!! Mais les zombies ne sont qu'un prétexte, car ils ne sont quasiment pas présents, nous suivons surtout la vie des survivants et les luttes entre rescapés.

Ok, les villes ont été ravagées, l'eau et la terre sont contaminées, mais les individus sont beaucoup plus dangereux qu'eux !

Finn, un ado de la seconde génération va se retrouver positif et être confronté à un monde de pillards, de sectes, de zombies.... il va tenter de survivre à ce monde apocalyptique. Il est vachement naïf, malgré ce monde ravagé.Vivre à Manhattan, une île, où les survivants se sont organisés et vivent à peu près normalement, lui a permis de garder un semblant de vie humaine ... J'ai bien eu envie de le secouer à plusieurs reprises ! Bein oui !! Notre héro se retrouve confronté à la lie de l'humanité, à un monde complètement apocalyptique et il comment de belles bourdes qui mettent sa vie en danger à plusieurs reprises.
Le récit est jalonné de bons et méchants, à un rythme effréné, plus proche de Mad Max que de World war Z.
C'est marrant, car quand je me suis lancée, je n'avais pas fais attention à la petite phrase sur la couverture : "Entre Mad Max et World War Z, l'ultime épopée zombie de notre temps" pourtant plus j'avançais dans le récit et plus Mad Max s'imposait, c'est incroyable ce road movie qui prend aux tripes comme face à l'écran !
Et je n'arrêtais pas de fredonner cette chanson de Chris Rea "Road to Hell" (La Route de L'enfer)
La psychologie des personnages est superbement bien rendu, l'évolution du héros, passant de la naïveté d'un ado et la maturité d'un homme adulte, mais tellement imprégné de valeurs humaines que cela peut faire croire qu'il est toujours naïf, mais pour moi cela lui confère une humanité dans ce monde d'apocalypse.
Tout ce que j'adore en fait !
L'auteur s'émancipe des attaques de zombies, pour se concentrer sur la psychologie de ses personnages et leur débrouille.
Je ne peux que vous conseiller cette lecture, bien différente des derniers livres sur les zombies que j'ai pu lire.
Pas un coup de coeur, mais j'ai passé un bon moment.
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L'apocalypse. Un virus zombie a décimé 99% de la population. Les survivants se sont répartis en deux camps. D'un côté, ceux qui se sont barricadés dans les grandes villes. de l'autre, ceux qui sont à l'extérieur (les friches) et qui se livrent à toutes sortes d'exactions pour survivre (pillage, cannibalisme, trafic d'êtres humains...).
Positif raconte le parcours initiatique d'un jeune homme (Finnegan) né après l'apocalypse à New York qui se retrouve projeté du jour au lendemain dans les friches après avoir été déclaré potentiellement atteint par le virus.
Le récit est raconté par Finnegan lui-même, à la première personne.
On suit vraiment son parcours, les personnes qu'il rencontre, l'évolution de sa personnalité au fur et à mesure des difficultés qu'il rencontre.
Le récit est parfois très violent mais pas vraiment horrifique (du moins pour moi).
On voit que l'auteur a voulu adresser un message d'espoir en mettant en avant les efforts de Finn pour reconstruire et redonner à l'humainté ses lettres de noblesse. J'ai bien aimé cet aspect du récit. Il y a toujours une lueur d'espoir qui nait du chaos.
Dernier point négatif, il y a quelques longueurs et certains événements qui manquent un peu de punch.
Mais pour moi, dans l'ensemble, c'est un livre qui est très bien passé. Les chapitres sont courts (même très courts), j'aimé les personnages (Finn et Kylie) et le récit dans son ensemble.
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J'a vraiment passé un très bon moment avec ce livre, qui malgré son épaisseur se dévore très rapidement tant les chapitres s'enchaînent! C'est un roman véritablement intéressant, qui malgré quelques incohérences soulève des questions et des réflexions braiment pertinentes sur la nature humaine ^^ C'est vraiment une lecture sans prise de tête, très agréable, même si elle ne révolutionne pas le genre.
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Finnegan est un positif. le signe « plus » tatoué sur le dos de sa main l'atteste. Parce qu'il a été en contact direct avec le virus zombie, le voilà condamné à quitter son lieu de vie, un Manhattan post-apocalyptique barricadé, où toute trace de l'ancien monde a disparu, pour se rendre dans un centre sanitaire de l'Ohio. le virus mettant jusqu'à 20 ans pour se manifester, il devra attendre ses 21 ans pour être déclaré sain et revenir… Sauf que ça ne va pas se passer tout à fait comme prévu…
Dire que j'ai hésité avant de me lancer dans une histoire de zombie serait un doux euphémisme. C'est que souvent, depuis La Nuit des Morts-vivants, le chef d'oeuvre de George Romero, le thème apparait ultra rabâché, et le seul intérêt est de montrer des hordes de morts-vivants envahir les rues et s'en prendre aux quelques survivants. Si la bande dessinée Walking Dead a en partie relancé l'intérêt, elle a tendance à s'essouffler sans parvenir à se renouveler. je ne parle même pas de la série télévisée qui est pour moi d'un ennui profond au point que je n'ai pas dépassé la première saison.
Positif plante l'action dans un futur proche, dans une Amérique dévastée et en proie au chaos. Les zombies sont des malades infestés par un virus, dont le temps d'incubation peut prendre vingt ans, ce qui fait de chacun un malade potentiel. D'un côté, l'armée tente de rétablir l'ordre le plus souvent avec violence et sans discernement, de l'autre, les survivants, souvent dans des camps retranchés, où la vie s'articule autour de trocs et de petits métiers divers. Les pillards s'organisent en bande avec la complicité des autorités, des sectes apparaissent, voulant prêcher leur bonne parole. Au milieu de tout ça, Finn devra apprendre à vivre. C'est un gamin débrouillard, mais sans aucune idée de ce qu'il peut se passer hors des murs. Son chemin lui fera croiser des personnages haut en couleur, comme Adare et son harem de filles mineures au volant de son 4X4, Kate la Rouge et sa bande de motards, les dirigeants du camp d'Akron…
Empruntant parfois la voie d'un Mad Max , Positif est aussi une réflexion sur la dérive du totalitarisme, un roman de zombie où finalement le zombie n'est qu'un prétexte et non le thème principal. C'est plutôt un roman post-apocalyptique parfaitement bien écrit et sans aucun temps mort, laissant la porte ouverte à une note d'espoir final en la personne de Finn et de ses compagnons de route, décidés à faire de leur faiblesse une force. Et je remercie les Éditions Bragelonne pour m'avoir permis de découvrir cette petite pépite.
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À défaut de proposer une lecture à 100% accrocheuse (l'auteur parvient à surprendre mais ne cherche jamais à créer d'insoutenables moments de suspense), Positif demeure néanmoins un bouquin très fréquentable, peut-être pas pour les inconditionnels des zombies, en tout cas pour l'amateur de S.F. post-apo.
Le texte complet de ma critique sur Khimaira !
Lien : http://www.khimairaworld.com..
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Un road book dans un mode post apocalyptique mêlant aventures et actions. Même sur une Terre 2.0 le récit montre que les hommes reproduisent les mêmes faits et gestes, attitudes pour survivre ou rebâtir une société. le héros né depuis ce nouveau monde refuse la mentalité pré établie et prouve que l'on peut se comporter différemment. On ne s'ennuie pas dans cette épopée mais on regrette la fin qui semble sceller uniquement un épisode.
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Une agréable surprise. Sincèrement, je ne m'attendais à pas grand-chose.

L'écriture est fluide et elle est accompagnée d'annotations qui font plaisir. Les chapitres sont un plus. Ils ne font que 3 pages en général et donnent un rythme très dynamique au livre. Je pense que c'est un des facteurs qui a fait que j'ai dévoré le livre très rapidement.

On suit Finn qui est expulsé de New York dû à une exposition au virus. Comme on peut s'en doutait, le fait qu'il fasse partie de la 2eme génération et qu'il y aucune connaissance du monde le rend un peu bêta. Mais après plusieurs mois, on ressent qu'il apprend de ses erreurs et s'adapte au monde extérieur. J'ai beaucoup aimé son évolution.

Pour Kylie, je pense que j'aurais aimée la voir plus souvent ou plus l'approfondir.

Au début, c'était un peu compliqué. L'aspect zombie me faisait un peu peur. Je peux confirmer dès à présent que je préfère voir les zombies au cinéma que dans un livre. Néanmoins, les zombies j'aimais pas trop, autant la façon dont on peut être contaminé et tout ce qui gravite autour est original.

Mais sincèrement on ne croise pas tant que ça les zombies. le livre traite plus de la psychologie et de l'évolution que l'humain a pu avoir face à une telle catastrophe. Et ce n'était pas pour me déplaire.

Je recommande ce livre
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Ce livre, c'est avant tout une aventure. En tant que fan du genre post apocalypse avec pour les plus connu The Walking Dead et ou Fear The Walking Dead, on y retrouve beaucoup de similarité. Néanmoins, et comme la première oeuvre cité, on ne fait pas dans la concession. Ce que l'auteur veut dire, il le fait. de fait, il en ressort une oeuvre complète, dure et touchante à la fois.

Comme toujours, le message est le suivant : les humains sont pire que la menace initiale. Comme toujours, les mésaventures se cumulent, au point de se demander si le héros n'est pas un surhomme, pour tout encaissé. Mais comme toujours, on laisse de côté ces questions en espérant, au fond, qu'il trouve enfin la paix.

Ce livre se lit tout seul, à ce point que le lâcher, c'est difficile. A ce point que le quitter, c'est y repenser régulièrement. Une pépite que j'ai beaucoup apprécié.
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