Lu en anglais. Clap de fin pour La Campagne des Ombres, pentalogie de fantasy à mousquets inspirée par la Révolution et l'Empire, abandonnée en France dès son premier tome.
C'est le chaos ! Janus, possédé par la Bête, s'est déclaré Empereur et marche sur Vordan avec son armée. Sur son chemin, son ancien subordonné: Marcus d'Ivoire, rétrogradé commandant d'une division qui va devoir subir le commandement d'un général ambitieux. La reine Rasesinia, tente elle également de sauver son royaume en allant négocier une alliance avec le royaume de Borel mais cet acte pourrait bien avoir des conséquences importances. Enfin, Winter, toujours en Murnsk fait tout ce qu'elle peut pour rallier Vordan et fait sur son chemin des rencontres plus ou moins heureuses.
Bon, autant le dire tout de suite, on est un cran en dessous des tomes précédents. Ca reste un bon livre mais il manque quelques coups d'éclats ou retournements de situations dramatiques pour le hisser au niveau des volumes 3 et 4 et la dernière partie du roman est en fait inférieure au reste du roman.
Malgré tout, je n'ai pas boudé mon plaisir et j'ai apprécié le roman, qui malgré sa conclusion légèrement bâclée est tout à fait recommendable.
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La Campagne des Ombres s’achève donc et l’auteur aura su proposer une série de très bonne qualité. Il ne réserve pas forcément beaucoup de surprises ni de coups d’éclat, mais propose un univers et une galerie de personnages assez attachante pour mériter le détour. Vraiment dommage qu’il se termine de manière aussi terne.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
How do you create a hero readers will root for, and a villain they'll condemn (and sometimes also root for)? Authors known for their vivid, irresistible characters will talk about how they went from vague ideas to fully-fleshed people within their stories.
Featuring Tasha Suri, Django Wexler, Thomas D. Lee, and Bethany Jacobs