Mitigée
Une petite histoire qui se lie très vite, et assez bien écrite. Mais rien de bien passionnant. Une histoire sentimentale comme tant d'autre Une histoire qui peut plaire a des ados qui aiment les romans a l'eau de rose
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« Sous ton pull mon coeur » est une charmante romance de Noël dont le sujet sort de l'ordinaire grâce à ses trois héroïnes principales, trois étudiantes. C'est une histoire d'amour pleine de rebondissements, vive et touchante.
June est une Parisienne superbe et sûre d'elle, une séductrice née. Bahiya et Angeline sont deux Québécoises viennent passer une année à Paris.
On découvre des mondes différents et brossés rapidement mais qui mettent de suite dans des ambiances très diverses : art parisien, artistes contemporains loufoques, ministre de la culture, université de la Sorbonne, château dans les vignobles bourguignons, chalet dans une station de luxe des Alpes.
C'est un petit livre sympa à lire dans un canapé bien douillettement installé sous un plaid avec un mug chaud à portée de main. Là, on se laisse aller pour trois heures de lecture légère, de dialogues vivants, de personnages attachants et frais. le tout est bien écrit, que demander de plus ?
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Pour des ados qui aiment les romans a l'eau de rose
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Petite histoire sympa mais beaucoup trop a l'eau de rose
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Quand elle releva le tète, deux étudiants lui souriaient en lui tenant galamment la porte. elle leur sourit en retour, plissant ses longs yeux asiatiques et bleus, et passa devant eux. Messieurs, pensa t elle, vous n'avez aucune chance. J'aime le même sexe dont vous attendez des faveurs comme des chiens affamés attendent leur gamelle!
Bien, pensait June. Voilà une affaire qui avance plus vite que ce que j’aurais pensé ! Oh, quelle douce et naïve fille ! Elle a compris que je la voulais, mais elle hésite, elle est inquiète, effrayée, parce qu’on l’aura certainement prévenue contre moi. Mais elle est prête, oui, elle est prête à succomber.
June comprenait et acceptait tout cela. C’était son monde et elle l’aimait tel qu’il était : brillant, impitoyable, n’aimant que lui et aimantant les autres. Ce monde lui ressemblait trop pour qu’elle le renie. Elle s’y sentait comme un poisson dans l’eau, comme un pinceau dans son pot de peinture.