Les Rougon-Macquart, tome 11 : Au bonheur des dames

Mon Dieu, j'ai lu ce Zola il y a presque 25 ans, et oui! lecture scolaire obligatoire, et si j'en garde un souvenir si frais, comme si c'était hier, c'est qu'il m'a tellement ennuyé, que chaque page était si lourde à tourner... que cela restera à jamais gravé dans ma mémoire je pense!!! Je maudis encore la prof qui nous à forcer à lire ce pavé!!
Un exemple, la description de 50 pages sur la descente de l'escalier dans le magasin en question: je crois que Zola a décrit chaque tissu, chaque matière, chaque couleur, j'en passe et des meilleures, de tous les échantillons que l'héroïne touchait de ses yeux... Autant vous dire que ça a contribué à clore les miens de fatigue et que le lendemain je me réveillais épouvantée de n'avoir pu lire que 3 pages (j'imaginais déjà les sarcasmes de la prof...)
Seul intérêt au final, comprendre la disparition des petites boutiques au profit des grands magasins, la modernisation de Paris avec son boulevard Hausmann. Tout ça pour ça!!!

Comme tous le Zola lassant et ennuyeux je comprend encore une fois pourquoi les jeunes n'aiment plus lire quand ils ont lus une stupidité pareil en classe

C'est un grand classique d'Emile Zola mais je dois avouer que je me suis arrêtée au bout de quelques pages. J'ai beaucoup de mal avec les auteurs classiques.

C'est le 1er roman que j'ai lu de Zola et sa ne ma VRAIMENT pas donnais envie de lire les autres. Ce roman était interminable ( je me suis arété au 3eme chapitre, ce que je trouve est déja trés bien ). S'il y avait un mot a retenir de ce livre: Chiant.