Des paysans teigneux, rapiats et alcooliques, se battent en famille pour des bouts d'héritages, des filles attardées et engrossées comme des vaches, des curés crétins, des paysages sinistres, des bourgeois véreux… Bref, une chronique agricole ennuyeuse et pesante. Comment ne pas craquer au bout de 150 pages, lues pourtant courageusement sans avoir couru se pendre à l'un des rares arbres de la Beauce ?
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