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Un roman au très joli titre, sur le harcèlement scolaire, au collège, traité de façon efficace.
Parce que lui-même est harcelé par son frère, Ralph fait de Lana, dés le premier jour de la rentrée, sa victime préférée. Il faut dire qu'elle a été , quelques jours avant, témoin d'un moment gênant pour sa réputation, alors mieux vaut "attaquer" en premier.
Lana a bien trop peur pour riposter.
Quand aux autres (et Zélie en particulier ), ils choisissent de fermer les yeux. Dur de dénoncer quand on est soi- même pas très sûrs de soi. Dur d'être la balance.;
Un roman raconté par trois voix, celle du harceleur harcelé, celle de la victime, et celle du témoin-muet.
Je ne sais pas si ce livre peut faire changer les choses, mais cela peut amener des enfants, des élèves, à ne pas se contenter de détourner les yeux.
La maison d'édition dit qu'on peut le lire à partir de 9 ans. C'est vrai que la façon de raconter est assez "bébé", mais comme l'histoire se passe dans un collège, il devrait intéresser les 11/12 ans.
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Dans le cadre du prix des Incorruptibles, je suis allée en classe de CM2 présenter très brièvement ce roman jeunesse de Muriel Zürcher, et en lire les trois premiers chapitres. le moins qu'on puisse dire, c'est que Des bleus au cartable suscite des réactions ! Les questions fusent, les discussions s'engagent, les récits d'expériences suivent. Les enfants expriment spontanément leurs craintes et posent très librement des questions, même délicates, même quand elles les concernent de près, à tel point que l'enseignante qui voulait revenir au roman plus tard dans la semaine le fera sans attendre…
***
Trois narrateurs différents se succèdent le premier jour de l'entrée en 6e. La première, Zélie, travaille son entrée en scène. Elle ressent le besoin de s'affirmer comme une fille populaire et concocte un vrai programme dans ce but. Elle flashe sur Ralph qu'elle connaît depuis le CP. Elle jouera le rôle du témoin passif. La deuxième narratrice, Lana, subit du harcèlement et souffre dès le premier jour : nous faisons sa rencontre alors qu'elle a les fesses par terre. Elle vient d'être poussée par Ralph, et on comprend dès ce deuxième chapitre qu'elle a assisté à une scène gênante pour le garçon. le troisième narrateur, bien sûr, c'est Ralph, le harceleur, qui avoue très vite avoir peur de ce que Lana peut raconter : elle a vu ce qu'elle n'aurait pas dû voir. le problème de Ralph, c'est son grand frère Alex qui le brutalise et dont il a peur…
***
L'autrice de ce roman tape juste en présentant trois personnages avec des forces et des faiblesses, et en faisant ressortir pour chacun des trois au moins un aspect de leur caractère qui les rend sympathiques. Autre point qui me semble très positif, Muriel Zürcher les sort du milieu scolaire et nous emmène dans les familles. Chez Zélie, classe moyenne, les parents sont à l'écoute, mais très occupés par le travail et par le petit frère qui fait ses premiers pas (joli moment raconté par la grande soeur). Pour sa part, Lana vit seule avec sa mère célibataire et il est évident pour le lecteur qu'elles sont pauvres. Quant à Ralph, il appartient à milieu social très favorisé (parc et maison immenses, avec cuisinière, jardinier et jeune fille américaine au pair), mais ses parents très occupés sont quasi absents et semblent faire une confiance aveugle à Alex pourtant frimeur et brutal. Bref, pour les neuf ans et plus, on peut dire que ce roman évite le manichéisme et les situations trop simplistes. L'autrice veut évidemment prévenir contre le harcèlement, mais aussi donner des clés pour agir au mieux afin d'aider les petites victimes, de conscientiser les harceleurs et de sensibiliser l'entourage. Avec les réactions des enfants ce matin, je peux vous assurer que c'est réussi !
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****

Lana, Zélie et Ralph font leur rentrée en 6ème. Zélie met tout en oeuvre pour faire partie des élèves populaires. Ralph veut aussi passer pour un gars cool. Et c'est malheureusement Lana qui en subira les conséquences... Comment faire tomber les masques ? Qui se cachent derrière ce garçon tyrannique, cette fille aveugle ou fragile ? Comment sortir des rôles qu'on a tant voulu tenir ?

Muriel Zürcher signe ici un roman jeunesse très réussi. le harcèlement scolaire est le thème central et il est habilement traité.
Les chapitres alternent entre 3 personnages, 3 façons d'appréhender et d'approcher le harcèlement.

Lana est l'élève qui centralise toutes les moqueries. Elle est la source de toutes les attentions. Surtout celles de Ralph. Lui c'est le garçon toujours entouré, qui organise des supers fêtes et aux côtés de qui il est bien de se montrer. Et puis, il y a Zélie. Elle est l'élève qui ne laisse jamais rien au hasard, une tenue, une attitude, des amies. Ce trio représente la victime, l'agresseur et le témoin aveugle...

Avec une écriture fluide et simple, des personnages auxquels on s'attache facilement, ce roman constitue une approche juste sur un problème souvent passé sous silence.
La force de la parole, le courage des mots, et la priorité à la vérité... Voici les seuls maîtres que les enfants devraient suivre...

Un grand merci à NetGalley et aux Éditions Didier Jeunesse pour leur confiance.
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Dernier roman jeunesse dévoré grâce à Didier Jeunesse : Des bleus au cartable de Muriel Zürcher.
La rentrée en sixième n'est pas toujours facile.... comme nous allons le constater.
Dès le premier jour, Ralph fait de Lana son bouc émissaire et tous les moyens sont bons pour la tourmenter.
Zélie, elle, préfère regarder ailleurs ; pas question d'être une balance, surtout quand on veut être aimée et populaire dans sa classe.
Lana va-t-elle se laisser faire ?
Et pourquoi Ralph agit-il ainsi ?
Tour à tour, Lana, Ralph et Zélie racontent l'histoire.
Des bleus au cartable est un excellent roman jeunesse que je conseille à tous, dès 10 ans.
Nous avons trois points de vue car trois narrateurs : Lana, la harcelée ; Zélie, qui veut être populaire et ne surtout pas être une balance ; mais aussi Ralph le harceleur.
Trois enfants de 11 ans parmi tant d'autres, et dont l'histoire, classique, fait froid dans le dos ! Il est facile de se retrouver dans un ou plusieurs des personnages. Surtout qu'il y a une raison au comportement de Ralph. S'il en veut à Lana c'est car il a peur qu'elle révèle quelque chose. En soi, ce gamin n'est pas méchant mais il préfère attaquer plutôt qu'être attaqué. C'est compréhensible, même si je ne cautionne absolument pas son comportement.
J'ai apprécié que Muriel Zürcher n'aille pas trop loin. C'est un roman jeunesse à partir de 10 - 11 ans, avec de jeunes élèves. S'ils avaient été plus loin dans les actes de harcèlement cela aurait été trop, et pas crédible. le harcèlement reste de trop, un enfant n'a pas à faire subir ce que Ralph fait subir à Lana. Mais cela reste en adéquation avec leur age.
Les adultes sont très à l'écoute, notamment les mamans quand les filles décident de parler. Et là encore, c'est crédible. Il ne faut pas minimiser les faits, écouter les enfants, ne pas juger et c'est ce qui arrive ici.
De plus, une initiative prise par le corps enseignant dans la dernière partie du roman est une excellente idée. Il faudrait vraiment que ce genre de solution soit proposée car des ateliers pour prévenir et comprendre le harcèlement scolaire sont plus que nécessaire de nos jours. Et aussi, comment se défendre face à certains comportement !
Des bleus au cartable est un vrai coup de coeur car il est extrêmement bien ficelé. La plume de Muriel Zürcher fait mouche, elle est tout à fait adapté aux élèves dès le CM2 ou la sixième.
Je suis conquise, et je mets un énorme cinq étoiles à ce très bon roman.
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Des bleus au cartable c'est un délicat roman des Éditions Didier jeunesse sur le thème du harcèlement .
C'est le jour de la rentrée en sixième , tout le monde se raconte ou invente , pour les moins chanceux , ses dernières vacances .
Pour la plupart des élèves , il s'agit d'un moment important où on montre ses nouveaux vêtements , son nouveau cartable .
C'est un moment difficile pour Lana , elle ne suit pas les codes en cours , elle n'a pas la chance d'avoir un nouveau cartable , elle arrive en sixième avec son cartable de CP , ce sera un objet de moquerie .
Malgré tout , Lana n'est pas passive , elle réagit , demande de l'aide à sa maman , elle se prend en mains
J'ai beaucoup aimé ce livre qui reste positif , qui est nuancé , on a différents avis sur l'histoire , sans jamais juger mais aussi sans minimiser .

Un livre à mettre entre toutes les mains , il ne faut pas attendre qu'il soit trop tard , parler , dénoncer , comprendre , est toujours important .
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Lu pour valider une case du jeux en foli-ttérature, j'ai apprécié ce petit livre sur le harcèlement.
Un roman choral qui suit les pensées de la petite fille harcelée, du garçon harceleur et de celle qui assiste, qui laisse faire un riant.
C'est très accessible, assez équilibré pour comprendre les mécanismes de tout cela ; envie d'être populaire, peur d'être exclu, parents qui ne voient pas et effet de groupe.
Ce texte pourrait être lu en classe de CM2 juste avant l'entrée en collège ; cela aiderait, peut être, ces pré-adolescents à se protéger de ce cercle infernal.
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J'avais repéré ce livre il y a quelques années déjà, étant donné que je m'intéresse pas mal aux fictions qui traitent du harcèlement scolaire. En ayant été victime durant de nombreuses années moi-même, j'éprouve le besoin de lire des ouvrages à ce sujet et j'aime voir comment il est abordé.

C'est un roman choral qui nous laisse suivre trois personnages qui représentent le trio toujours présent dans le harcèlement scolaire : la victime, l'agresseur et le témoin, en l'occurrence Lana, Ralph et Zélie. La première est une élève assez discrète qui entre en sixième et qui, en raison de la situation financière précaire de sa mère, traîne toujours son cartable à roulettes qui "fait bébé". le second est également un nouvel élève dans ce collège, également en sixième, et était plutôt populaire dans son école. Ralph va prendre Lana pour cible au prétexte de son cartable, mais il y a une autre raison derrière : Lana connaît son secret... Quant à la troisième, elle est une amie d'enfance de Ralph et l'aime beaucoup. Zélie se retrouve dans la même classe que la victime et l'agresseur, et décide de ne rien faire face à cela...

Il est assez rare de lire des romans comme celui-ci qui donnent la voix à plusieurs personnages dans une telle situation et il me semble que c'est un angle tout à fait intéressant. Sans excuser le comportement infect de Ralph ou le fait que Zélie ne proteste pas, cela permet de comprendre ce qui se passe dans la tête des autres, de celleux qui ne sont pas les victimes. Afin de lutter efficacement contre le harcèlement, cela me semble un bon moyen, sans bien sûr oublier la victime, dont le point de vue est fondamental. L'autrice a réussi à provoquer de l'empathie pour la victime, sans que les lecteur•rices détestent totalement les agresseurs, et c'est un point que j'ai trouvé particulièrement réussi !

Même si je n'ai pas trop aimé Ralph, j'ai eu de l'empathie pour lui, étant donné qu'il vit aussi des choses difficiles avec des problématiques qui lui sont propres. Traiter des violences intra-familiales permet, sans excuser, à tout le moins d'expliquer la violence des agresseurs.

Malgré tout l'intérêt du livre, notamment grâce au fait que ce soit un roman choral qui permet d'avoir plusieurs points de vue, j'ai trouvé que la résolution du harcèlement scolaire était un peu simpliste - même si ce livre s'adresse à des plus jeunes. Aussi, je déplore qu'une fois de plus, il soit proposé aux victimes d'apprendre à se défendre, ce qui est le rôle des adultes. Toutefois, c'était une chouette histoire !
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Le harcèlement scolaire est devenu un incontournable dans les collections des éditeurs de littérature jeunesse. Si le sujet mérite forcément une place dans les bibliothèques (personnelles ou collectives), il n'est pas simple de s'y retrouver parmi le nombre et trouver des textes qui n'offrent pas toujours le même déroulé. Des bleus au cartable évite l'écueil de l'énième texte sur le sujet en proposant non seulement trois points de vue (victime, témoin, harceleur) et des personnages qui ne sont pas trop manichéens.

Le livre n'est pas très épais ( aux alentours de 160 pages) mais il développe assez bien son sujet autour du « petit » harcèlement ordinaire. En filigrane on y parle aussi des enjeux de la vie au collège ( suivre la mode, se fondre dans le moule, être « cool »…). le tout sans tomber, donc, dans les clichés du sujet.

J'ai trouvé les personnages particulièrement intéressants psychologiquement. Par exemple Ralph, le harceleur, est certes le « méchant » de l'histoire mais on voit aussi de quelle manière il est, par ailleurs, une victime. Son histoire personnelle est touchante. Zélie, la témoin, est une jeune fille très crédible. Son regard sur les lois du collège est réaliste et les ados pourront facilement s'identifier à elle. Enfin, Lana, la victime, est très combattive malgré ce qu'elle subit. Si malheureusement chaque année des ados meurt des suites d'un harcèlement en règle, Lana est plus à l'image de la majorité des ados qui subissent le « harcèlement ordinaire » au quotidien : agacée, triste mais aussi courageuse car elle trouve chaque jour la volonté de venir au collège, affronter les autres,…jusqu'à décider de faire entendre sa voix avant qu'il ne soit trop tard.

L'ensemble est très cohérent. Muriel Zücher ne fait pas dans le sensationnel et traduit finement le mal être qui peut apparaître quand le harcèlement commence. le texte reste globalement optimiste et volontariste. le tout est très juste.
Lien : http://www.lirado.fr/bleus-c..
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Des bleus au cartable est un roman à trois voix, dont le sujet est le harcèlement. Présentation simple et sans fioriture. Nous avons d'abord Zélie (prénom rare, qui est celui de la mère de sainte Thérèse de Lisieux, je le dis en passant). Elle m'a sciée, terme familier pour vous dire à quel point cette gamine qui rentre en 6e maîtrise mieux que moi (que les adultes ?) les stratégies de management : comment être populaire, comment garder sa popularité, comment tout se permettre parce que, justement, elle est populaire. Comment surtout, surtout, ne pas s'approcher de celle qui ne l'est pas – Lana. L'impopularité, cela peut être contagieux, non ?
Lana n'a pas de stratégie. Elevée par une mère seule qui galère pour joindre les deux bouts, elle aimerait simplement profiter de sa scolarité, et non être harcelée. Pour Ralph, tout est prétexte pour se moquer d'elle. Il est tant de choses à retenir sur le harcèlement, ou plutôt sur les moyens d'empêcher le harcèlement : le harceleur aime avoir un public, et ne plus en faire partie, réagir, peut tout changer.

Mais voilà. Parfois, en lisant ce livre, j'ai eu l'impression que le temps s'était arrêté. La peur de « passer pour une balance » est ici bien présente (loin des confidences que j'ai pu, parfois, recueillir). L'extrême confiance en soi aussi. Zélie, qui dans le schéma du harcèlement, se trouve être « témoin supporteur » ne voit pas pourquoi elle interviendrait, ce qui se passe ne la concerne pas. Bien des adultes réagissent comme elle – Zélie a un avenir tout trouvé, n'était le basculement qui se produit dans le cours du récit. Il suffit d'un rien, d'un battement d'ailes du papillon ou d'une boule de poils, pour que les choses changent.
Et les adultes, dans tout cela ? le constat n'est pas brillant. Seule la mère de Lana est à mes yeux exemplaire, d'abord parce qu'elle aime sa fille et fait tout pour qu'elle se sente bien, ensuite parce qu'elle prend sa défense, pointant les insuffisances, pour ne pas dire les défaillances de la direction de l'établissement dans lequel sa fille est scolarisée. Pour moi qui suis professeur principale de 6e, je suis ébahie de voir une chef d'établissement brandir la menace de la saisine d'un conseil de discipline au premier incident (pas si simple dans la réalité), sans avoir consulté le dossier scolaire de l'élève, depuis son arrivée au collège ou en primaire. N'ont-ils pas, comme nous, de liaison école-collège, de journées de visite, d'intégration, sans oublier le conseil école/collège ? Bref, défaillance, surtout que les professeurs, les surveillants, n'ont rien vu, rien entendu, rien compris – trop fatiguant ? J'ajoute que les parents de Ralph n'ont pas vu non plus ce qui se passait dans leur foyer. Je n'irai pas jusqu'à dire qu'ils étaient éblouis par leur fils aîné mais presque. On imagine pas à quel point il est difficile de trouver sa place dans une fratrie, combien il peut être difficile de parler à ses parents, quand le quotidien est fait de micro ou macro humiliation du fils préféré, humiliations qui ont lieu « pour son bien » par « volonté d'endurcir ». La maltraitance n'est pas loin, même si admettre qu'un aîné puisse maltraiter un cadet n'est pas facile à admettre. Bienvenu dans la mise en place d'un processus de harcèlement, dans lequel le harcelé, dans un autre cadre, devient à son tour harceleur. Oui, dans les situations de harcèlement, rien n'est simple, et ce roman à trois voix a le mérite de le montrer.
Il va aussi plus loin en montrant comme on peut tenter d'y remédier, et de rappeler que ce n'est pas la pauvreté, la grosseur, la minceur qui font que l'on est harcelé, c'est le fait que l'on est vulnérable, et que l'autre le sent.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Un des meilleurs livres que j'ai lu sur le harcèlement ! A mettre entre toutes les mains, à lire dans toutes les classes !

Pourquoi ? Parce qu'il se place dans chacun des points de vue d'une situation de harcèlement : le harceleur, la harcelée, la témoin : le trio classique. Et c'est tellement intéressant. Ça force à l'empathie de cette façon :
*le harceleur : ou comment on peut en arriver à harceler les autres, comment on se sent lorsqu'on le fait.
*la harcelée : ou comment on en arrive à laisser faire sans réagir, comment on se sent.
*la témoin : (et là, vraiment, bravo de l'avoir mise dans le trio. Lorsque je fais des séances en classe sur le harcèlement, je dis toujours à mes élèves que la clé de la résolution d'un tel problème est grandement dans les mains du TÉMOIN) : ou comment on ne dit rien, comment on peut changer d'avis, comment on est la clé.

C'est vraiment tout ce qu'on aime pour chacun, on y comprend que rien n'est aussi simple que l'on pense. Sans parler de cette chose que Lana aurait vu à propos de Ralph et que l'on passe le récit à essayer de deviner : petit suspense bonus qui nous accroche plus encore.

Brillant, génial, bravo !

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