Sans états d’âme, le roman nous laisse entrevoir, comme il se doit, l’économie aussi subtile que complexe du despotisme, faite de faux pas, de rumeurs, de flatteries, de « procédures mystérieuses », de ballets chorégraphiés des courtisans et de bourse des réputations. « Je fus en grâce autant qu’en disgrâce », résumera simplement cet ancien conseiller du roi.
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