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3.95/5 (sur 655 notes)

Nationalité : Canada
Biographie :

Elle est née à Matane au Québec. À l’âge de 12 ans, elle habite pendant quelques mois au Cameroun en Afrique avec ses parents.

Elle a obtenu un certificat d’éducation en milieu de garde à l’Université du Québec à Montréal. Certificat en main, elle a été pendant plusieurs années éducatrice dans un Centre de la Petite Enfance, puis chargée de cours au Collège Édouard-Montpetit, et finalement formatrice.

Elle est auteure à temps plein, et donne des conférences dans les bibliothèques sur des sujets qui sont en lien avec ses romans. Elle est également chroniqueuse littéraire.

Bibliographie :

Série historique :
- D'amour et de haine : Quand tout bascule, Éditions AdA
- D'amour et de haine : La trahison, Éditions AdA

Série fantastique :
- Les gardiens des portes : Abbygaelle, Éditions AdA
- Les gardiens des portes : Alicia, Édtions AdA
- Les gardiens des portes : Amélie, Éditions AdA

Roman érotique :
- Annabel et Max, adultes consentants, Les Éditeurs Réunis

Recueil de nouvelle :
- L'ivre Coeur 2017 (sa nouvelle est "Une soirée torride"), Éditions L'ivre-Book

Série historique :
- La dame de Knox, Éditions Pochette (nouvelle version du roman "Le masque du gerfaut")
- L’amour au temps de la Guerre de Cent Ans : La tourmente, chez LÉR
- L’amour au temps de la Guerre de Cent Ans : L’insoumission, chez LÉR

Son blogue : http://soniaalain.com.overblog.com/
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Source : babelio
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Comme dans un état second, elle retira ses souliers, puis les tendit à la jeune femme. Celle-ci s’en empara et lui donna en échange un paquet d’allumettes.

— Elles guideront ton chemin si jamais tu t’égares dans les ténèbres.
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Ces salopards se cachaient sous leur complet et leur fausse respectabilité pour commettre des atrocités en toute impunité, et il s’avérait que les plus vicieux d’entre eux se trouvaient justement à l’intérieur des murs de cette auberge. De quoi lui donner l’envie de faire fi de la justice et de les abattre sur-le-champ. Sauf qu’il était assujetti à la loi, ce qui le mettait à rude épreuve. Frustré, il lâcha une bordée de jurons.
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Les loups existaient bel et bien dans le cœur des hommes, certains plus voraces que d'autres, et c'est sans pitié que ceux-ci avaient fait de sa famille un plat de résistance.
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Une pensée perturbante le frappa. Agissait-il vraiment de cette façon pour le bien de son investigation, ou parce qu’il désirait au fond de lui que ce tueur extermine tous les membres importants de cette organisation ? Après tout, ces salauds méritaient de mourir. Il secoua la tête à cette pensée, horrifié par cette soudaine noirceur de son âme. Il était un policier, pas un justicier… Il ne pouvait pas, en toute connaissance de cause, cautionner de tels crimes.
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Hélène observa de nouveau l’homme qui tenait lieu de chef au sein du groupe. Vu sa réaction démesurée, elle se doutait que son amie courait un grave danger. Lasse d’attendre des explications qui ne venaient pas, elle se résigna à prendre les devants. Faisant face à Keith, elle l’apostropha rudement.
— Qu’est-ce qui se passe, nom de Dieu ? Où se trouve Alicia ? attaqua-t-elle sans détour.
Keith stoppa net, surpris par cet assaut pour le moins inattendu. « Bon sang, les femmes mortelles sont-elles donc toutes aussi acariâtres ? » se demanda-t-il avec humeur. Il serra la mâchoire, puis darda un regard inquisiteur dans sa direction.
— Sachez que je n’ai pas l’habitude de laisser une femelle discuter mes décisions, lâcha-t-il avec impatience. J’ai déjà suffisamment de problèmes avec votre amie pour que vous en rajoutiez à votre tour.
Quand son frère lui tourna promptement le dos, Glen perçut sa mine féroce. Il ne s’y trompa pas. La nouvelle venue n’avait aucune idée des ennuis qu’elle courait en bravant Keith de la sorte. Il avait rarement vu son aîné dans un tel état, ce qui l’alarma d’autant plus. La dernière fois que Keith avait été aussi vindicatif datait de l’époque funèbre de son retour d’exil. Il se rappelait très bien l’homme qu’il avait été alors : sombre, à la limite du maléfique. Aucun membre de leur clan ne s’était risqué à l’aborder durant cette période, même les plus valeureux d’entre eux. Il avait fallu des années, ainsi que la mort de leur père pour que la lueur obscure qui habitait son regard en permanence disparaisse pour de bon. Depuis, toute personne sensée évitait de le provoquer inutilement.
Échangeant un coup d’œil entendu avec Todd, Glen s’avança d’une démarche raide vers Keith.
— Tu seras responsable de cette péronnelle, déclara celui-ci avec froideur. Assure-toi qu’elle se taise ! S’il le faut, n’hésite pas à la bâillonner.
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Étant donné que les paysans s’affairaient aux travaux agricoles, elle ne croisa personne d’autre à la sortie du village. Partout où son regard se posait, elle apercevait des montagnes et des collines verdoyantes à perte de vue. En fait, le bourg était niché au cœur même d’une vallée, près d’un loch sinueux. Des bovins se prélassaient plus haut, indifférents aux tourments des hommes.
Tout en inspirant l’air pur des Highlands, elle contempla la nature qui se déployait à ses pieds avec ravissement. Elle entendit alors le bruit répétitif d’un marteau sur du métal. Elle savait, pour l’avoir remarqué, qu’Isaac aimait à l’occasion s’adonner au travail de forgeron. Peut-être était-ce lui qui s’y trouvait. D’un pas vif, elle se dirigea vers l’endroit, attirée malgré elle par une force irrésistible. Isaac se tenait effectivement debout devant un four. Ce jour-là, il portait une longue tunique blanche qu’elle ne lui connaissait pas. Celle-ci était ceinturée par un cordon finement tressé de la couleur du cuivre qui lui parut tout à coup vaguement familière. Il avait à la main droite un maillet qu’il frappait avec énergie sur quelque chose. Elle ne pouvait distinguer quoi exactement, car elle était beaucoup trop éloignée. Cependant, une impression de déjà-vu lui glaça le dos et toute sérénité la déserta.
Keith, qui était arrivé derrière elle, entoura au même instant sa taille de ses bras musclés.
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A la pensée du sort que lui réservait Abaddon si elle échouait , son poil se hérissa sur sa nuque. C'était là une situation qu'elle voulait éviter à tout prix. Brûler à petits feu dans les affres de l'enfer serait un destin bien doux en comparaison des tortures que pourrait lui infliger Abaddon. Un frisson funeste la secoua. La nuit avait recouvert la ville de son long manteau depuis un bon moment, ce qui contribua à assombrir d'avantage son humeur...
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L'adolescente lui faisait penser à une panthère noire. Un félin sournois, cruel, au regard acéré. Lorsque personne ne lui portait attention, Adenora la dévisageait avec une férocité à couper le souffle. Pour rien au monde, elle n'aurait souhaité rencontrer cette fille dans une ruelle obscure et déserte.
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Des larmes traitresses roulèrent sur ses joues. Ayant une pensée pour son père, elle s'étrangla dans un sanglot.
- Chut Abby! murmura une voix rude.
Elle se figea, le corps parcouru d'une décharge électrique. Cette intonation lui était familière. "Marcus"
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— C’est dans cet endroit que les futurs guerriers sont formés au combat, commença-t-il d’une voix tendue. Ici, il n’y a plus de laird, ni de file, ni même d’ami ou d’amant. Il n’y a que la lame froide des épées, la volonté de survivre. Les faibles et les entêtés n’ont pas leur place en ces lieux. L’art de guerroyer demande de la force, de la concentration, de l’habileté, ainsi que de la maîtrise de soi. J’exigerai une soumission totale, Alicia.
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