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Note moyenne 4.14 /5 (sur 3832 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Massachusetts , 1969
Biographie :

Plus connue à l'heure actuelle sous le pseudonyme de JR Ward, Jessica Bird est auteur de romans à l'eau de rose.
Elle a d'ailleurs écrit sa première romance juste avant de rentrer à l'université. Activité qu'elle poursuivra à titre personnel dans un premier temps.

Elle est diplômée en histoire et histoire de l'art (période médiévale) et en droit. Elle a travaillé dans l'administration dans le secteur médical, y compris en tant que chef d'équipe au centre médical Beth Israel Deaconness de Boston.

En 2001, son mari l'encourage à se trouver un agent pour sortir ses livres. En 2002 sort son premier roman, une histoire d'amour contemporaine intitulée "Leaping Hearts".

Ce n'est qu'en 2005, qu'elle publie sous un nom de plume sa première romance paranormale : Dark Lover (L'amant ténébreux), 1er tome de sa série phare : La confrérie de la dague noire.

Elle a reçu le RITA Award pour une nouvelle romantique intitulée From the First en 2007. Elle a également été nominée 6 fois pour le prix des critiques Romantic Times, qu'elle gagna une fois pour Lover Awakened (L'amant furieux).
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Source : anita-blake.darkbb.com
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Citations et extraits (611) Voir plus Ajouter une citation
" _ Alors vous êtes avec Torh? demanda t-il au groupe
_ Oui, répondit Rhage. Ca me va.
Viszs et Fhurie acquisièrent
_ Z?
le guerrier fit les yeux ronds
_ Qu'est ce que j'en ai à foutre? Toi, Tohr ou Britney Spears "
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- tu mets tout cela pour dormir, normalement? demanda t-elle?
- absolument, oui
- pourquoi est-ce que l'étiquette est toujours sur le peignoir alors?
- pour en retrouver un autre exactement pareil, pour avoir les références
Il se tourna sur le cote, le dos tourne, puis se retourna encore, sur le dos, et s'absorba dans la contemplation du plafond. Une minute plus tard, il se mît sur le ventre.
- Rhage.
- Quoi?
- Tu dors nu, n'est-ce pas?
- Oui, en général
- Ecoute, tu peux enlever tous ces vêtements. Ça ne va pas me gêner.
- Je ne voudrai pas te mettre... mal a l'aise.
- Ce qui me met mal a l'aise, c'est le fait que tu te retournes dans tous les sens. J'ai l'impression d'être secouée comme une salade.
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Payne réalisa que « je t’aime » pouvait vraiment être dit sans que les mots ne soient prononcés. Les actions comptaient bien plus que les paroles.
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Mieux vaut ne pas être tentée que se sentir inutile. L’un est un soulagement. L’autre un vide et un lourd fardeau à porter.
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- V., tu sais que je t'aime comme un frère, pas vrai ?
- Oui.
- Si jamais tu la nourris, je t'arrache la tête.
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_ Dis-moi encore une fois que cela te rend fou que nous ne couchions pas ensemble, énonça-t-elle avec calme.
_ Ca me rend complètement fou. J'ai mal partout. Je bande tout le temps. Je n'arrive pas à me concentrer et je suis en permanence de mauvais poil.
_ Tant mieux. (Elle rit doucement.) Diable, je ne suis pas charitable, n'est-ce pas?
_ En aucune manière.
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— L’automne est ma saison préférée, dit-il au bout d’un moment. Non que je me transforme en gonzesse ni en quoi que ce soit… mais j’aime les feuilles quand elles deviennent rouges et orange. Elles sont superbes sous la lune mais, surtout, c’est une transformation incroyable. Le vert du printemps et de l’été n’est que l’ombre de la véritable identité des arbres, et tout cette couleur qui apparaît à mesure que les nuits refroidissent est un miracle sans cesse renouvelé. C’est comme si les feuilles compensaient la perte de la chaleur par leur propre feu. J’aime… l’automne. (Il la regarda dans les yeux.) Tu es pareille. Tu es belle et tu brilles… et il est temps pour toi de sortir de l’ombre. Alors je choisis… Automne.
Dans le silence qui suivit, elle eut conscience du picotement aux coins de ses yeux.
— Quel est le problème ? se dépêcha-t-il de demander. Merde… ça ne te plaît pas ? Je pourrais en choisir un autre. Lihllith ? Pourquoi pas Suhannah ? Que… Joe ? Fred ? Howard ?
Elle posa la main sur son visage.
— Je l’adore. Il est parfait. Je serai désormais connue sous le nom que tu m’as donné, celui de la saison où les feuilles brûlent : Automne.
Se redressant, elle appuya les lèvres sur les siennes.
— Merci. Merci…Comme il hochait la tête d’un air solennel, elle l’entoura de ses bras et le serra contre elle. Être nommée, c’était être revendiquée, et cela lui donnait l’impression… de ressusciter.
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— Trez, tout me terrifie. (Elle montra les cachets.) J’ai peur de les prendre. J’ai peur d’aller dormir…
— Tu es très courageuse… Le courage ne signifie pas que tu n’as pas peur. (Il posa la bouche sur la sienne et l’embrassa.) Mon Dieu ! je t’aime tant. Je t’aime si profondément. Je t’aime pour toujours.
Glissant les bras autour de lui, elle le serra fort et essuya peut-être quelques larmes sur sa chemise.
— Très bien, tu me trouves courageuse… eh bien, tu es le mâle le plus romantique que j’aie jamais connu, vu, ou même entendu parler.
Ce fut à son tour de rire, et le grondement grave sonna agréablement à son oreille.
— Oui. C’est ça. Bien sûr.
Collant son corps contre le sien, elle ajouta :
— Il n’y a rien de plus romantique sur terre que d’aimer quelqu’un de tout son cœur, même en sachant que cette personne va disparaître.
Il se figea.
— Comment un mâle pourrait-il aimer une femelle de valeur comme toi autrement que de toute son âme, absolument et sans le moindre regret ?
Comme ils demeuraient là dans ce tunnel, à mi-chemin du complexe et de la maison principale, elle songea qu’il était logique que ce qui partait de chaque côté d’eux semble se perdre dans l’infini. Ils n’avaient que ce point central, ici et maintenant, et ils devaient s’arranger pour en tirer le plus de bonheur possible.
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— Ahssaut ! s’écria-t-elle. Je sais que tu es là !
Sa voix ne portait pas loin à cause des rafales. Elle rebroussa chemin et repartit vers chez elle au pas de course.
— Ahssaut ?
Son cœur cognait dans sa poitrine, tandis qu’un espoir traître vibrait en elle au point de lui donner l’impression de flotter au-dessus du sable.
Cet optimisme, toutefois, se consuma comme de l’essence dans un réservoir. Plus la réponse tardait à venir, plus le niveau baissait, jusqu’à ce qu’elle ralentisse, puis s’arrête.
— Ahssaut… ?
Elle regarda autour d’elle, priant pour l’apercevoir même si c’était la dernière chose dont elle avait besoin.
Mais l’homme à la chevelure dorée qu’elle cherchait ne répondit pas à son appel, et, finalement, cette impression d’être observée s’évanouit. Comme si le vent l’avait emportée. Comme si elle n’avait jamais existé.
Sur le chemin de son appartement, elle laissa les larmes couler une à une sans se soucier de les essuyer. Il faisait noir dehors. Nul n’était là pour les discerner.
Et elle n’avait à se cacher de personne.
Elle était toute seule.
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Tohr se passa une main tremblante sur le visage, comme s’il essayait d’effacer ses traits. Puis il saisit l’encolure de son propre débardeur, juste au-dessus du cœur.
— Je ne peux pas arrêter… uniquement parce que son corps a cessé de vivre.
— Mais tu te comportes comme si c’était arrivé hier, et je n’ai pas le sentiment que cela va changer.
Lassiter s’approcha du lit sur lequel était étalée la robe d’union. Il empoigna le satin, souleva le vêtement par la jupe et l’agita en l’air.
— Ce n’est pas elle. Ta colère n’est pas elle. Tes rêves, ta saloperie de douleur… rien de tout cela n’est elle. Elle est morte.
— Je le sais, rétorqua Tohr. Crois-tu que je l’ignore ?
Lassiter tendit la robe devant lui, et le satin tomba comme une pluie de sang.
— Alors dis-le !
Silence.
— Dis-le, Tohr. Laisse-moi l’entendre.
— Elle est…
— Dis-le !
— Elle est…
N’entendant rien, il secoua la tête et jeta la robe sur le lit. Grommelant à voix basse, il retourna vers la porte.
— On ne va nulle part. Malheureusement, c’est la même chose pour elle.
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