" _ Alors vous êtes avec Torh? demanda t-il au groupe
_ Oui, répondit Rhage. Ca me va.
Viszs et Fhurie acquisièrent
_ Z?
le guerrier fit les yeux ronds
_ Qu'est ce que j'en ai à foutre? Toi, Tohr ou Britney Spears "
- tu mets tout cela pour dormir, normalement? demanda t-elle?
- absolument, oui
- pourquoi est-ce que l'étiquette est toujours sur le peignoir alors?
- pour en retrouver un autre exactement pareil, pour avoir les références
Il se tourna sur le cote, le dos tourne, puis se retourna encore, sur le dos, et s'absorba dans la contemplation du plafond. Une minute plus tard, il se mît sur le ventre.
- Rhage.
- Quoi?
- Tu dors nu, n'est-ce pas?
- Oui, en général
- Ecoute, tu peux enlever tous ces vêtements. Ça ne va pas me gêner.
- Je ne voudrai pas te mettre... mal a l'aise.
- Ce qui me met mal a l'aise, c'est le fait que tu te retournes dans tous les sens. J'ai l'impression d'être secouée comme une salade.
Payne réalisa que « je t’aime » pouvait vraiment être dit sans que les mots ne soient prononcés. Les actions comptaient bien plus que les paroles.
Mieux vaut ne pas être tentée que se sentir inutile. L’un est un soulagement. L’autre un vide et un lourd fardeau à porter.
- V., tu sais que je t'aime comme un frère, pas vrai ?
- Oui.
- Si jamais tu la nourris, je t'arrache la tête.
_ Dis-moi encore une fois que cela te rend fou que nous ne couchions pas ensemble, énonça-t-elle avec calme.
_ Ca me rend complètement fou. J'ai mal partout. Je bande tout le temps. Je n'arrive pas à me concentrer et je suis en permanence de mauvais poil.
_ Tant mieux. (Elle rit doucement.) Diable, je ne suis pas charitable, n'est-ce pas?
_ En aucune manière.
« La peur, la gratitude et une certaine forme de chaleur lui serrèrent la poitrine. Sur un coup de tête, elle se pencha et déposa un baiser sur les lèvres de Zadiste.
Il bondit en arrière en sifflant, les yeux écarquillés comme si elle l’avait giflé. Oh merde. Pourquoi avait-elle fait ça ?
— Je suis désolée. Je suis désolée, je…
— Non, ça va. Aucun problème.
Il roula sur le dos et porta les mains à sa bouche. Ses doigts allaient et venaient sur ses lèvres.
— C’était mon premier baiser…
Bella eut le souffle coupé. Comme était-ce possible ?
— Oh merde, ne me regarde pas comme ça.
Son premier baiser…
— Zadiste ?
— Quoi ?
— Je peux recommencer ? »
Elle eut un petit sourire.
— Tu es un manipulateur.
— Je préfère penser que je suis un artiste de la suggestion.
On ne s'est pas bien entendus tout de suite, tu te souviens?
Mais j'ai ensuite compris qui tu étais et je suis tombée amoureuse.
merci de m'avoir laissé voir par tes yeux et marcher un moment dans tes pas.
"— La femelle m’a viré de chez elle ce matin après avoir massacré mon égo
— Quel genre d’arme elle avait ?
— Une comparaison humiliante entre moi et un sous-produit de la race canine
— Oups. Du coup bien entendu tu ne rêves que de retourner la voir
— Absolument
— C’est consternant
— Je sais."