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3.79/5 (sur 51 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Hanoï , le 21/10/1912
Mort(e) à : Le Soler (Pyrénées-Orientales) , le 02/07/1984
Biographie :

M. G. Braun, de son vrai nom Maurice-Gabriel Brault.

Écrivain français, auteur de nombreux de romans policiers et d'espionnage.

On lui doit d'avoir créé les héros Sam et Sally, un couple d'enquêteurs devenu les personnages-titres et les héros de la série télévisée Sam et Sally.

Des romans d'espionnage de M. G. Braun, également publiés aux éditions Fleuve noir, racontent les aventures de l'agent Alex Glenne, secondé de Giulio Cavassa.

Il publie en 1952 son premier roman, Une fille tranquille, qui marque les débuts du duo d'enquêteurs Sam et Sally.

Au cours de sa longue carrière d'écrivain qui s'étend de 1954 à 1984, il publie 171 ouvrages.

Source : wikipedia
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Bibliographie de M. G. Braun   (111)Voir plus

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Citations et extraits (48) Voir plus Ajouter une citation
En fait, elle se trouvait gênée dans ses mouvements par une robe qui la moulait trop étroitement.
La blonde revint.
- Une bière, Eva, dit ma compagne.
Elle ajouta très vite, comme pour s'excuser de perdre son temps avec un minable de mon genre :
- J'ai soif...
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Mais, du coin de l’œil, Davis n'avait pas quitté l'homme juché sur un tabouret tout à l'extrémité du bar. Tout de suite Davis avait pensé que ce client-là était un drôle de type. En arrivant, il était resté sur le seuil, regardant autour de lui d'un air un peu effaré. Il s'était décidé à avancer, pour bientôt tomber en arrêt devant l'appareil à musique, avec sur le visage l'expression qui aurait pu être celle d'un gosse découvrant un jouet merveilleux. Il l'avait touché, caressé du bout des doigts avant de le faire fonctionner.
Un petit jet d'eau, une station de métro, Pi-gal-le.
Un disque français vieux comme Hérode, une rengaine ! Davis avait râlé lorsqu'il avait vu que ce salaud de Li-Fu lui avait collé ce vieux machin dans le programme. A cet instant, il eût parié mille dollars contre un paquet de Player's qu'il n'y avait pas dans tout Hong-Kong un type assez cinglé pour dépenser un seul nickel à faire jouer ce truc-là.
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décidément sally a le chic pour se faire des amies.
alors que sam trouve une gamine de sept ans, dans son fauteuil favori.
que la gosse lui tend un billet. il lut:
- on va m, arrêter. je vous en supplie,
venez a mon secours.
euh.... fit sam surpris, je connais ta maman?
- non. mais nous venions ici.
- parce que vous êtes un grand détective.
- pour elle, tu es superman, dit sally. elle te connait par son père. le soir, a la table familiale, il amusait tout le monde en racontant tes exploits.
- de quoi accuse t, on sa mère?
- de meurtre.
- charmant! soupira sam.
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le garde du corps trouve
son patron endormie 😫 dans le canapé.
- vous avez pas l, air en forme, boss.
- me n'en parle pas hier
j'ai taper mon code de carte bleue pour rentrer
chez moi, la soirée a été
chaude.
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Giulio serrait les dents et son menton me parut plus carré.
- Au moment où nous touchions au but, fit-il remarquer. Non, vraiment ce serait le maximum de déveine. Et une fois de plus à cause de ce corniaud !
Il employa, d'ailleurs, une autre expression qui rangeait McDun parmi les adeptes de jeu sans femme.
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sam appelle sally.
- mon Coeur, veux tu téléphoner à notre agence de voyage et voir s, il est encore possible de retenir deux places pour le vol de
13 heures?
- pour où? questionna sally
en lui offrant son regard le plus candide.
- hum! je me demande bien pourquoi tu te crois obligée de poser cette question quand tu as parfaitement tout entendu.la prochaine fois que tu feras semblant de lire life, tourne au moins les pages.a voir où tu en es,
tu as actuellement sous les yeux une publicité pour les rasoir électrique, et je n, arriverai pas a te croire passionnée par une lame qui rase quinze barbes en douceur.
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Je vis luire un petit éclair et mon automatique vint, comme par enchantement, dans la paume de ma main droite. Déjà, j'avais par deux fois pressé la détente.
Un poids lourd chuta de branche en branche, rebondit et vint s'écraser sur la route.
- M... ! Vous en avez décanillé un ! lança Paul Jouan.
Il venait de mettre un genou à terre et surveillait les frondaisons. Aucune riposte ne venant, je jugeai que ça allait comme ça et replaçai mon arme sous mon aisselle gauche. Paul Jouan se releva. Il semblait légèrement estomaqué.
- Comment avez-vous fait ? questionna-t-il tout en continuant à surveiller le terrain.
- J'ai vu quelque chose briller et j'ai tiré dessus, dis-je. Il se trouve que je tire plutôt bien.
- Plutôt ! renchérit-il.
Ça semblait décidément calme. Avec Paul Jouan derrière moi, je contournai la fosse et allai examiner ma victime. Avec deux balles dans la tête, elle n'aurait pas risqué de courir bien loin. Il portait le vêtement et le chapeau de paille classique des paysans ; mais aussi une cartouchière pleine et une carabine d'origine tchécoslovaque passée en bandoulière.
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- quand la souris 🐭 nargue le chat 🐱,
c'est que son trou n'est pas loin.
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La guerre décuplait l'agitation d'une ville qui n'a jamais été morose, comme presque tous les ports, et je me retrouvais plongé dans la vie de follingue d'une ville où tout le monde est pressé d'arriver nulle part.
Cavassa me conseilla Cholon pour passer le temps et poussa la gentillesse jusqu'à me fournir deux ou trois adresses d'établissements qui valaient le détour. Je préférai aller flâner sur les quais, attiré, en bon pékin que je suis, par tout ce qui touche à la mer. En fin d'après-midi, je retournai attendre Cavassa au bar du Majestic.
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Il la repoussa du bout du canon de son arme, répondit, désinvolte, en s'asseyant justement dans le fauteuil favori de Sam....Elle regarda le bronze placé sur un meuble de coin, juste au dessus de la tête de l'homme. Quand il parlait d'Henry Moore et de son oeuvre, Sam employait des expressions comme "puissance rayonnante", ou il disait que sa sculpture avait "une dimension métaphysique". Sally n'avait jamais très bien compris ce que celle-ci représentait. En revanche, elle était sûre d'une chose : c'était du solide. Mentalement, elle implora Marie-Madeleine, sa sainte patronne, pour que ce truc dégringolât sur la tête du malotru.
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