Devenir Français était une fierté. C'est devenu une
formalité.
La catholicisme est une religion. L'islamisme est un
plan de conquête.
La France subit tellement d' « attaques » commises par des « déséquilibrés » que la surveillance des islamistes fichés S devrait être confiée au ministère de la Santé.
Nous vivons sous le joug de l'indignation permanente. Elle oppresse quiconque s’étonnera des non-sens ou s'élèvera contre l'ubuesque et harcèle les rétifs aux bouleversements sociétaux imposés par les communautarismes. La minorité nous dicte que l'anormal doit devenir la norme, et que la normalité est désormais oppressante, discriminante, insultante.
Un jour, la basilique de Saint-Denis, éminent symbole de notre histoire, deviendra une mosquée dans un département musulman.
Les fossoyeurs progressistes applaudiront au nom de la tolérance à sens unique et d'un « vivre-ensemble » qui n'existe pas, qui n’a jamais existé. Nous serons devenus des dhimmis sur la terre de nos ancêtres. Ce processus est presque achevé.
Le féminisme devient outrancier pour défendre des
caprices puérils, mais se révèle incapable de blâmer
les conséquences du multiculturalisme rétrograde
pour le droit des femmes. Il semble pourtant être
porté en religion par les médias, sa critique relevant
d'un nouveau délit de blasphème.
Ce verbiage d’agent immobilier l’enrageait presque. Il considérait que ce vocabulaire prémâché, que l’agent utilisait par mimétisme bêlant, n’avait pour objet que de combler la vacuité de ces recalés des facultés de droit, de ces vendeurs de soupe recyclés, de ces notaires du pauvre qui ne connaissent que trop rarement les maisons et appartements qu’ils ont en catalogue et se contentent d’engloutir de grasses commissions sur les transactions qui viennent à eux.
Le couple franco-allemand est mort. Il ne subsiste qu'une relation de maître à élève dans laquelle l'Allemagne s’ingère davantage qu’elle ne suggère.
Le gauchiste est un antisocial narcissique méprisant
son propre peuple au profit d'autres peuplades
auprès desquelles il pense se valoriser, ne recevant
en définitive que leur apparente gratitude.
Il n'y a pas trop d'aides sociales. Il y a trop de
bénéficiaires allogènes.