AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Alexis (28)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


''Et patati, et patata...''

Je ne connaissais Alexis que par des bribes glanées ici ou là. Finalement, cet album m'a fait découvrir un dessinateur hors pair, roi de la caricature et un humour décapant et décalé, certes marqué par les années 70-80 mais toujours efficace. Bref, je me suis bien marré !!!
Commenter  J’apprécie          30
4 pas dans l'avenir

Au XIXème siècle, dans la cave de son sinistre manoir sur la lande, le professeur Stanislas a inventé une machine à voyager dans le temps. Tandis qu’il se creuse la tête pour monnayer son invention, Timoléon, son assistant impulsif, qui émet sans cesse des renvois sonores, a une idée : aller dans l’avenir, pour acheter des choses qui n’existent pas encore à leur époque et les revendre très cher.

Mais tout ne se passe pas comme prévu ; tour à tour machine-stoppeurs, emprisonnés dans une cellule lumineuse pour vagabondage temporel, puis faisant un bond dans le passé -la Préhistoire, les occasions de faire fortune ne se présentent pas !

Des aventures déjantées, deux héros aux personnalités contrastées, une BD originale et inclassable, avec Fred au scénario (l’auteur des Philémon) et Alexis au dessin… C’est le deuxième album des trois aventures fantastiques de ce tandem insolite. Remarquable !
Commenter  J’apprécie          20
Cinémastock - Intégrale

Quand deux joyeux lurons de la bande dessinée humoristique, soit Gotlib au scénario et Alexis au dessin, font leur cinéma, cela donne forcément un bouquin délirant dans lequel Hamlet, Tarass Boulba, les Malheurs de Sophie... sont adaptés à une sauce totalement folle, où toutes les ficelles des films de chevalerie nous sont dévoilées...

Cette édition réunit les deux albums initiaux; ma préférence allant davantage vers le premier volume, nettement plus inventif.
Commenter  J’apprécie          40
Cinémastock - Intégrale

"Cinémastock", c'est dans ses trois quarts la parodie bordélique à laquelle nous avait habitué Gotlib ; lassé des énièmes adaptations des grands classiques de la littérature ou des genres mineurs se transformant en une série de stéréotypes, il s'était en effet lancé avec son cobaye Alexis dans une tâche d'une ampleur sans égale : parodier un art tout entier, et le 7e, s'il vous plaît. J'ignore si ces deux tomes firent spécialement plaisir à François Truffault, mais il n'en est pas moins que lui aussi avait tout compris au cinéma.

Et c'est ainsi que sont éradiqués à coups de lasers de l'Étoile de la Mort Tarass Boulba, la gentille petite Sophie et Macbeth, dans un absurde et un comique de répétition joués jusqu'au bout et totalement assumés. Pourtant, le dernier quart reste bien plus surprenant et s'exprime principalement lors de la caricature du "Bossu de Notre-Dame" : si certes les allusions à la zoophilie fusent et que même les chiottes suivent une architecture scrupuleusement gothique, la taille des cases et leur disposition devient, à l'instar des mangas d'aujourd'hui, "cinématographique". Une sorte de montage s'opère, chaque case étant un plan, pour donner des choses à la fois totalement inédites et donnant l'impression de regarder un film, à l'image d'Esméralda sur la potence dont on voit le haut du corps sur une rangée de cases alors qu'elle n'est pas encore pendue, puis pile en-dessous à la bande suivante le bas commençant à l'endroit exact où l'autre dessin s'arrêtait, mais où cette fois elle est tuée : ses pieds flottent, donnant au personnage des allures angéliques démontrant à la fois sa candeur et ironisant sur le destin qu'elle vient de subir.

Certes ici Gotlib et Alexis s'amusent à massacrer le cinéma sur tous ses niveaux ; mais, et alors qu'ils ne réalisent aucun film, ils réussissent à lui apporter de nouvelles techniques inédites qui ne pourront paradoxalement jamais être reproduites sur grand écran.
Commenter  J’apprécie          40
Cinémastock, tome 2

De Tarass Boulba à La dame au Camélia, on peut rire de tout !
Commenter  J’apprécie          20
Cinémastock, tome 2

Le tome 2 est tout aussi drôle que le 1

Un chef d'oeuvre d'humour. Et pour qui aime les grands classiques de la littérature, après avoir lu cinémastock, vous ne verrez plus vos personnages préférés de la même manière!

franchement indispensable!!

merci Gotlib
Commenter  J’apprécie          41
Cinémastock, tome 2

Relecture « à la Gotlib », c'est à dire complètement loufoque, de classiques cinématographiques ou télévisuels, comme une version bien hard des Malheurs de Sophie de la comtesse de Ségur, née Rostopchine (« c'est pas de sa faute , elle est née comme ça ») et un épisode franchement hilarant de Chapeau melon et Bottes de cuir. Le dessin d'Alexis s'étale plus que celui de Gotlib, on s'aperçoit que le trait se fait moins précis.

En bonus, Alexis nous régale de caricature des deux auteurs reprenant les personnages.
Commenter  J’apprécie          50
Dans la joie jusqu'au cou

En direct des grands moments de fluide glacial.

Aléxis et Gotlib nous emmenent dans leurs folies singulières.

Quelques sujets traités:

- La publicité dans la joie

- Les jeux désopilants du Général Bigeard

- La vraie nature de Bernadette Soubirous

- ...

Des sujets hautement importants qui me font marrer.

Haaa, c'était la grande époque de l'impolitiquement correct...
Commenter  J’apprécie          10
Fantaisies solitaires

Alexis se laisse aller...

Le génial dessinateur de Cinémastock, écrit avec son complice de toujours Marcel Gotlib, se laisse aller à des fantaisies solitaires.

Ici, il délire, pour notre plus grand régal, et nous dessine tout ce qui lui passe par la tête. Et comme le bonhomme était plutôt féru de cinéma et de littérature, on n'est pas pris pour un con et en plus, on se marre.

J'ADORE Alexis.

R.I.P. Monsieur Dominique Vallet, vous manquez dans ce monde trop lisse.
Commenter  J’apprécie          130
Fantaisies solitaires

Un album très agréable à lire et à regarder, tant le dessin d'Alexis était brillant et soigné.

Commenter  J’apprécie          60
La Loi des séries, tome 7

Ce n'est pas le meilleur des Larcenet, mais l'idée est bonne : associer à une bonne vieille série des années 70-80 un personnage ou un héros qui n'a rien à voir. Ainsi on voit des couples étranges se former :

- Stasky et Freud

- L'homme qui fallait 3 milliards et Robin des bois

- Les Brigades du Tigre et Merlin

- David Vincent et Babar

- Colargol et Rick Hunter

- Alerte à Malibu et Paul Emile Victor

- Au nom de la loi et Casimir
Commenter  J’apprécie          10
Les Aventures d'Al Crane (Collection Pilote)

Le western revisité de manière impertinente et nonchalante par Lauzier sous le crayon acéré d'Alexis.
Commenter  J’apprécie          50
Lob de la jungle

A l'heure où le professeur Raoul a hurlé le dernier cri qui dessaoule, à l'heure où la coccinelle a poussé Newton dans ses ultimes raisonnements, à l'heure où l'Histoire de France est racontée par les grands historiens Swouiss et veston dans la petite petite petite lucarne, à l'heure où les deux fameux explorateurs du siècle dernier, - Jules Stanley et Joseph Livingroom - parcourent encore ensemble l'Afrique en tous sens, le monde entier est toujours sans nouvelles de Lob ... Lob de la jungle.

En son temps, un dénommé Gotlib aurait bien remis la main sur Grolarzan l'homme hippopotame et sur Maigrichonzan l'homme girafe, tous deux élevés dans la "jongle" hostile ...

Quelque part aux confins de la creuse sauvage et mystérieuse, on aurait bien aperçu Bwana, le seigneur de la futaie ; mais de Lob de la jungle ... peau de zébi ... de nouvelles aucunes !

Qui était-il ?

Où se cachait-il ?

Un certain Jean-Pierre Dionnet qui a écrit la préface de cet album, - de quoi se mêlait-il ? - aurait retrouvé sa trace chez les humanoïdes associés.

Pourtant on se souvient comment, en 1974, Lob avait provoqué le buzz en déclarant dans le journal de Pilote :

"L'an 2000 viendra quand même !"

Il avait dû fuir devant l'énormité de son intervention, avec à ses trousses les séides de Giscard.

D'abord, Lob s'était réfugié au delà du grand bouchon, dans les "Fonds Jolis" où il s'était lié d'amitié avec Submerman.

Mais sans relâche poursuivi, pourchassé, il était monté à bord du Transperceneige, le dernier train parcourant les déserts glacés d'une civilisation anéantie.

Et finalement, il aurait embarqué à bord d'une soucoupe volante en compagnie d'un dénommé Gigi, et peut-être avec le fameux Lone Sloane.

Mais ceci ne nous regarde pas, et reste en tout cas à confirmer par Philippe Druillet !

"Lob de la jungle" est un album, paru en 1980, dans la collection "Pied Jaloux" des éditions "Les Humanoïdes Associés".

C'est un album "choral".

Ils sont venus, ils sont tous là ... ou presque :

Alexis, Benoit, Clavé, Druillet, Forest, Gotlib, Guilmard, Goetzinger, Mandryka, Pichard, Solé et Vern.

Que de amis, rien que des amis ...

Une quinzaine de récits pour une centaine de pages ...

Un certain Jean-Pierre Dionnet qui a rédigé la préface, - de quoi s'est-il mêlé ? - y a prétendu que l'album ne révolutionnerait pas l'art de la BD.

Il faut dire que la faim, ce moteur implacable et commun à toute espèce vivante, l'avait contraint à sortir de sa torpeur originelle !

Mais il a tout de même aussi laissé entendre que Jacques Lob aurait vendu au diable un tout petit morceau d'âme pour acquérir talent et invention ... Serait-ce possible ?

Approchez, approchez ! Venez assister à la lutte implacable et séculaire du bien et du mal !

Le combat se déroulera en deux manches et une belle, s'il y a lieu.

A ma gauche : le bien ...

A ma droite : le mal ...

Tous les coups lui sont permis !

Approchez, approchez ! Venez parcourir la galaxie à la recherche de la planète Homph, venez découvrir l'affaire du pont Dupont, les bas-fonds du monde animal et Magic-City.

Vous y serez aux premières loges devant la pitoyable déchéance du professeur Adamus et, comme Wenceslas, vous y vivrez peut-être le destin fabuleux de pilote d'essai à la brouette française ...

Approchez ! Approchez !

Homph ...
Commenter  J’apprécie          442
Métal hurlant, n°57 bis

Les Humanoïdes associés présentent l'anthologie de l'âge d'or de "Métal Hurlant", la référence trimestrielle de la bande-dessinée de science-fiction.

Transfuges du journal "Pilote"atteint en 1975, d'une certaine morosité, Moebius, Druillet et Dionnet, adoptant un nouveau ton plus adulte et provocateur, fondent "les Humanoïdes Associés", une nouvelle maison d'édition sur laquelle reposera "Métal Hurlant", le journal, d'abord trimestriel puis mensuel, qui va marquer une génération et révolutionner le genre.

Ce 57ème numéro bis est un objet collector.

Il revient sur les débuts de la revue et revisite les premiers numéros.

Son sommaire est prestigieux, rien que la BD et de la SF.

La couverture, association de talents, est signée Druillet et Moebius.

Le premier récit, "jusqu'au dernier" est signé Jacques Tardi ainsi que "la crainte du sloane aux yeux bleus" et "lune de miel" que l'on retrouve un peu plus loin.

Dionnet et Mandryka nous offrent une sorte de court feuilleton : "Jules l'Eclair".

Mais interrompons une minute ce programme pour une petite page de pub !

Au commencement il y avait "le bandard fou" "John Watercolor" et "cauchemar blanc" de Moebius - Il y avait "Mirages" de Druillet.

Si vous avez aimé ce numéro, vous apprécierez ces deux volumes contenant les premières bandes des deux dessinateurs qui ont le plus révolutionné l'histoire de la bande dessinée.

Puis, quand le programme reprend, surgissent Lesueur pour "de réputation mondiale", Vaughn Bodé pour "Cobalt 60", Moebius encore, Alexis pour "Vengeance", Enki Bilal avec "Crux Universalis, Gotlib pour, ne nous étonnons de rien, un "attentat à la pudeur", Russ Heath, Mandryka et jean-Claude Mézières qui nous présente de drôles de "baroudeurs de l'espace"....

J'en oublie et pas des moindres mais l'énumération, trop longue, serait lassante à force d'être trop fournie.

En ouverture de ce 57 bis spécial, les couvertures des 4 premiers numéros sont reproduites en pleine page et les sommaires correspondants de l'époque sont retranscrits.

"Métal Hurlant" pour toute une génération c'est aussi un film d'animation canadien inspiré de la revue française et de "Heavy Métal", son émanation américaine.

Ce film a certes un peu vieilli mais sa bande son, saturée de Hard-Rock, est toujours aussi fameuse et "Trust", cocorico, y fait une tonitruante apparition.

Dans le passé, le futur, sur la terre et dans l'au-delà, il est le seul à connaître son véritable ennemi. Il est le seul à pouvoir le trouver.

C'est l'histoire de "Métal Hurlant"...

Les américains en avaient rêvé, "les Humanoïdes associés" l'ont fait !













Commenter  J’apprécie          190
Superdupont

Alexis au dessin , Lob au scénario et gotlib qui supervise un peu le tout, on a là la crème de la BD d'humour française des années 70. Alexis, parti trop vite, sera remplacé par Solé qui n'est pas manchot non plus. Et Lob restera un temps aux commandes d'un scénario délirant, politique et plein de créativité, lui qui reste le plus imaginatif scénariste de la BD ever !
Commenter  J’apprécie          62
Superdupont

EXTRAIT "Ce sont trois histoires qui nous sont proposées là, parues initialement dans Fluide Glacial. Lob et Gotlib sont les premiers papas du personnage, l’homme à la coccinelle assurant la mis en image aux côtés de son compère scénariste. Et puis Alexis est venu prendre le relais, pour donner une touteautre orientation au titre. Gotlib est dans l’humour pur. On retrouve son dessin des dingodossiers, il est sans surprise. Mais un peu limité pour le genre, me semble-t-il. Ou pour le potentiel du personnage. Gotlib est drôle, fidèle à lui-même, mais Alexis a su donner une profondeur différente au personnage. Le ton est tout à fait différent. Gotlib est dans la pure caricature, Alexis, lui, est beaucoup plus dans un style réaliste qui brouille un peu les cartes quant au propos développé par les deux scénaristes. Ceci dit, les dessinateurs partagent un point commun, le désir évident de proposer un dessin hommage à la bande dessinée américaine. "
Lien : http://chroniquesdelinvisibl..
Commenter  J’apprécie          00
Superdupont

Suite au décès de VGE,(qui, soyons clair ne m'empêchera pas de dormir) je me suis souvenu de ce super-héros de ma jeunesse dont les aventures revenait régulièrement dans Fluide Glacial.

"Super-Dupont", est le seul super-héros 100% français, l’incarnation du Génie et de la grandeur de notre pays, le héros franchouillard et caricaturale du beauf bien de "chez-nous" que le monde entier nous envie.

Mais qui dit super-héros dit aussi Super-vilains. De mystérieux agents veulent nuire aux intérêts et à la grandeur de la France, "l'Antifrance" une organisation criminelle diaboliques, un ennemis redoutable qui parlent de multiple langues étrangères, une organisation criminelle qui fomente des plans démoniaques pour nuire à la grandeur de notre beau pays.

Si la France est en danger, Super-Dupont rapplique illico sans hésité, toujours prêt à servir les intérêts de notre patrie.

Une bande dessinée à l'américaine, les codes graphiques du Comic-book sont belle et bien là, quitte à faire du super-héros, autant y aller à fond.

C'est sur fond d'humour que Super-Dupont ridiculise la France et les français dans leurs grands traits de caractère.

Et pourtant, notre capacité à nous faire des ennemis par le passé est bien réel, ce sentiment de supériorité, qui nous a mis plusieurs pays d’Europe à dos au fil des siècles.

Cet BD peut paraitre vieillotte, mais pour ma part je prend toujours un énorme plaisir à la relecture des aventures de Super-Dupont.
Commenter  J’apprécie          10
Time is money : Ils voyagent dans le temps ..

Une petite bande dessinée, dessinée plutôt talentueusement, et surtout une représentation parfaite des événements liés à la machine à remonter le temps, et une représentation, non moins intéressante, de l'avidité d'un vieil homme, puissance oppressive, mystérieuse et inquiétante, qui semble diriger les événements de ce monde étrange. Avec sa manière de comprendre ce que nul autre que lui ( et le lecteur ) ne comprend, cette espèce de puissance en surplomb, qui reste jusqu'au bout, pour le lecteur, un mystère, mais un agréable mystère.
Commenter  J’apprécie          40
Time is money : Ils voyagent dans le temps ..

Aujourd’hui, dans les bacs des bandes dessinées de la bouquinerie « A la source du Livre », j’ai trouvé un exemplaire en très bon état de « Time is Money » de Fred et Alexis. J’avais lu cette aventure de Timoléon dans les pages du magazine Pilote au début des années 70, lors d’un camp d’été dans les Ardennes belges. Je me vois encore sous la tente en toile, en compagnie de mon frère et de son épouse, dévorant cette histoire complètement loufoque de voyage(s) dans le temps. Et donc, l’effet nostalgique a très bien fonctionné. La relecture m’a apporté un regard différent. Elle m’a confirmé que le regretté Fred n’était pas seulement le génial père de Philémon, mais également un scénariste prolixe pour d’autres dessinateurs. Pour Alexis, dans ce cas-ci. Alexis, de son vrai nom Dominique Vallet, (1946 – 1977), est un peu oublié du grand public, ce qui est bien triste, me semble-t-il. Son graphisme très empreint des comics américains dénotait, à l’époque, des aficionados de la ligne claire, chère à Hergé, par exemple.

Timoléon est l’anti-héros par excellence. Il est un VRP qui, lors de ses pérégrinations, rencontre l’acariâtre professeur Stanislas, l’inventeur d’une machine à voyager dans le temps. S’ensuivent des paradoxes temporels créant confusions, malentendus, rencontres improbables, le tout étant soutenu par un humour très « non-sens ». Ce qui rend cette bande dessinée intemporelle…

Commenter  J’apprécie          20
Time is money : Ils voyagent dans le temps ..

Sur une lande inculte et désolée se dresse le manoir du professeur Stanislas, inventeur d'une machine à remonter le temps. Secondé par Timoléon, vendeur de machines à vapeur pour rouler des cigarettes dont il a fait son associé, l'excentrique savant escompte bien mettre à profit son invention pour devenir riche. Commercer à travers le temps en revendant dans le présent à prix d'or des œuvres et inventions acquises dans le passé et le futur. La première mission de Timoléon l'amène à négocier un portrait inédit de la Joconde avec un jeune Léonard de Vinci. Échec total car le célèbre inventeur s'avère déjà brillant technicien mais très médiocre dessinateur. S'ensuivent diverses aventures absurdes et loufoques durant lesquelles, entres autres, les deux compères se perdent dans un futur peuplé de machines temporelles et ramènent accidentellement un brontosaure dans la cave du manoir. Leur situation se complique encore lorsque Joseph le borgne, neveu du professeur Stanislas et trafiquant d'armes recherché par toutes les polices du pays, vient trouver refuge dans leur demeure et leur propose d'aller vendre des armes aux chefs de guerre du passé. Quoiqu'il arrive, comme le résume Timoléon, ils vont chercher la fortune dans le passé, l'avenir et se retrouvent toujours fauchés dans le présent... Je conseille cette excellente bande-dessinée, drôle, caustique et originale à tous les publics dès le collège.
Lien : https://leventdanslessteppes..
Commenter  J’apprécie          20




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Alexis (369)Voir plus

Quiz Voir plus

Quiz sur le livre "Derrière la haine" de Barbara Abel.

Quel cadeau le parrain de Milo offre-t-il au garçon pour ses 4 ans ?

un ballon de foot
une petite voiture
des gants de boxe

10 questions
148 lecteurs ont répondu
Thème : Derrière la haine de Barbara AbelCréer un quiz sur cet auteur

{* *}