Citations de Anonyme (7359)
Mathias Gardel (Demain nous appartient ) veut, le soir d'Halloween, provoquer les esprits dans le cimetière de Sète pour épater Jessica Moreno.
S'ils savaient : )
D'ailleurs, à force d'écoute et de volonté, Timothée Brunet réussit à entendre l'esprit de sa sœur Lola décédée, qui lui donne rendez-vous au cimetière, la même nuit d'Halloween. Là-bas, il a le plaisir de la voir comme si elle était vivante, mais quand l'inspecteur Karim Saeed vient récupérer Timothée, celui-ci continue à converser avec sa sœur, mais Karim ne comprend pas ...
A t-on eu raison de faire "mai 68" ?
Non. Les jeunes de mai 68, qui ont "tué le père", De Gaulle, et leurs parents, symboliquement,... ces jeunes, à leur tour parents, ont démoli les valeurs d'éducation, n'ont pas voulu élever leurs enfants correctement, cela les a desservi.
Rien ne dure toute la vie. Pas même vos soucis.
(Arnold H. Glasow )
La plus grande erreur que vous pouvez faire dans votre vie ...
C'est d'être continuellement effrayé que vous allez en faire une.
Elbert Hubbard
La vie c'est des étapes... La plus douce c'est l'amour... La plus dure c'est la séparation... La plus pénible c'est les adieux... La plus belle c'est les retrouvailles.
Lire c'est génial, mais écrire fait de nous des héros !
( Nicole Kangah , Côte D'Ivoire )
Le rire et le sommeil sont les meilleurs remèdes du monde.
Proverbe irlandais.
La véranda mouillée
est abandonnée.
Pluie d'automne.
Taigi
CHANSON DU CMDO
Rue Gay-Lussac les rebelles
N'ont qu'des voitures à brûler
Que vouliez-vous donc la belle
Qu'est-ce donc que vous vouliez
REFRAIN
Des canons par centaines
Des fusils par milliers
Des canons des fusils
Par centaines et par milliers
Dites-moi comment s'appelle
Ce jeu-là que vous jouiez
La règle en parait nouvelle
Ah quel jeu bien singulier
REFRAIN
La révolution la belle
C'est le jeu que vous lisiez
Il se joue dans les ruelles
Il se joue grâce aux pavés
REFRAIN
Ils nous lancent comme grêle
Grenades et gaz chlorés
Et nous n'avons que des pelles
Et des pioches pour nous armer
REFRAIN
Le gaullisme est un bordel
Personne n'en peut plus douter
Les bureaucrates aux poubelles
Sans eux on aurait gagné
REFRAIN
Le vieux monde et ses séquelles
Nous voulons les balancer
Nous devons être cruels
Mort aux flics et aux curés
REFRAIN
"Mes pauvres enfants, dit-elle
Mes jolis barricadiers
Mon coeur mon coeur en chancelle
Je n'ai rien à vous donner
REFRAIN
Rue Gay-Lussac les rebelles
N'ont qu'des voitures à brûler
Que vouliez-vous donc la belle
Qu'est-ce donc que vous vouliez
REFRAIN et FIN
Vent de printemps.
Bourgeons cassés.
Espoir déçus.
René Maublanc
Ne regarde pas en arrière
Ne reviens pas sur tes traces
Le destin de ce qui fut
est gravé dans la lumière
qui brille devant toi
Il en est du passé
comme d'une brassée de fleurs
dont ne demeure que le parfum
ou de ces allées forestières
qui conduisent aux clairières
sur un tapis de feuilles mortes
De la source à l'embouchure
les eaux du fleuve se renouvellent
Ce qui fut n'est que poussière
dansante sous le soleil
Poème de Jacques Robinet, revue de poésie ARPA
au pied du sapin
sous les papiers froissées
en boule l’enfant dort
Gertrude Millaire
Les jeunes vont en bandes, les adultes en couples, et les vieux tout seuls.
proverbe suedois
Tu as encensé mes yeux de gazelle.
Tu as exalté la musique de ma voix.
Tu t’es enivré du printemps de mon corps.
Puis, tu as piétiné mon cœur.
Le Temps
Le temps est menteur
Seul le présent est acteur
Le passé a ses pleurs
Le futur est un leurre
Au rendez-vous s'arrêter
Comprendre et apprécier
Les souffles comme balancier
Aller au rythme souhaité
Ne plus être poursuivi
De l'attente guéri
En soi trouver l'ami
En toute heures, réuni.
Richard Delias
richard.delias@wanadoo.fr
La vie est comme un arc-en-ciel: il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleurs.
On traite une maladie, on gagne, on perd...
On traite une personne, on gagne quoi qu'il arrive.
Ce n'est pas au loup à rassembler les brebis.
(Proverbe russe)
Les mots qui ne sont pas dits sont les fleurs du silence.
Proverbe japonais.
C'est en vain
Que je vais vers toi. De ne pas venir
Tu as l'habitude.
Mais par le désir de te voir
Je suis toujours entraîné.
[poème japonais]