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Critiques de Confessions érotiques (10)
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Je suis une femme très soumise

Efficace



Romi, petite trentenaire quelconque (mais avec du potentiel) sort d’un mariage raté et se découvre une passion pour la soumission, à travers la rencontre d’un riche quinqua qui va l’initier aux plaisirs de Sade.



Le texte est plus soigné que ne pourrait le laisser penser le titre ultra racoleur et moins grossier ou outrancier que celui de son présentateur (Esparbec).

Ne nous trompons pas, il s’agit bien d’un livre pornographique, un poil au-dessus de la mom porn à la 50 nuances, mais la qualité est au rendez-vous.

Et c’est là qu’on voit quand même qu’on a rien inventé. Depuis Histoire d’O (et des aficionados pourront certainement me sortir des titres bien plus anciens), l’histoire de la jeune soumise à un exigeant et riche maître peine à se renouveler. Néanmoins, le texte fait son petit effet et m’a fait penser à un autre roman, tout aussi (si ce n’est plus) efficace : Devenir Sienne de Eva Delambre (je vous le conseille celui-là).
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Ils ont fait de moi une secrétaire soumise et..

Mauvais



Une secrétaire, poussée au début par la sauvegarde de son emploi et de celui de son mari se livre sexuellement pour pousser à la signature de contrat pour sa boite. Bien vite, elle apprécie son pouvoir et se met à en jouer.



La licence « confessions érotique », présentée par Esparbec, c’est vraiment le royaume du tout et du n’importe quoi. On peut tomber sur une pépite de qualité ou de la bouse.

Bingo, deuxième option pour cet opus.

Rien à dire si ce n’est que c’est mauvais, mal écrit, pas excitant et même la couverture est moche. Voilà.

Et puis c’est censé être une confession : Je suis UNE secrétaire. Auteur : Alain.
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J'étais une infirmière très délurée

Du cul du cul du cul.



Une infirmière jeune diplômée intègre une drôle de clinique ou le job consiste plus à donner son cul aux patients et aux médecins que de pratiquer des soins.



On est d’accord, la série « confessions érotiques » n’est pas réputée pour ses scenarii. Et ici, on atteint des sommets, ou plutôt des profondeurs en matière de crédibilité.

Mais on n’est pas là pour ça. Un truc adoubée par Esparbec, rien que cela vous annonce la couleur.



Pour résumer : Du cul, du cul du cul.
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Mon mari est devenu un pervers

Malaisant.



Une jeune mariée est transformée en putain soumise par son mari handicapé suite à un accident.



En dehors du vocabulaire pornographique qui a fait ses preuves dans cette collection (et qui fait toujours son petit effet), l’abus d’insulte, le rapport de force et cette soumission forcée (elle se sent coupable) laisse un goût amer à cette lecture.



Plus dérangeant qu’excitant.
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J'aimais beaucoup qu'on me retire mes jeans..

Un porno standard qui répond à un cahier des charges ultra calibré, commun à plusieurs collections de la Musardine (Confessions érotiques, Les érotiques d'Esparbec, Les interdits d'Esparbec).

Une nénette en terminale/BTS/lycée se retrouve dans une situation excitante liée à un fétichisme (ici les jeans, dans d'autres ce sera les collants, l'uro, le scato, les bottes, le ligotage). Elle fricotte avec une autre donzelle, un peu plus sûre d'elle et dominatrice sur les bords, qui partage les mêmes goûts. le binôme se livre à toutes les expériences possibles, repoussant chaque fois les limites (scènes lesbiennes génériques avec broutage de minou, gode-ceinture, fist-fucking, uro, scato). Leurs routes se séparent. La première nénette poursuit son chemin et croise un gars pour atteindre le quota de scènes hétéros. Sauf que ce n'est plus comme la première fois, donc le doute l'habite sur ses penchants fétichistes. Jusqu'au moment où elle croise la bonne personne, et à la fin ils vécurent heureux avec une sexualité épanouie.



Ce genre de texte est écrit avec les pieds, truffé de répétitions, redondances, lourdeurs, style rédaction de collège. Je cite Julie à propos de ses jeans: “Si jamais je le remettais, lui ou un autre, il me faudrait m'apprendre à me contrôler (NdlR : meuh meuh meuh). A part ça, je me sentais comblée, et surprise en même temps. Je n'avais pas imaginé que cela puisse être aussi bien (NdlR : rédaction de CM2). J'avais vraiment le regret de ne pas avoir essayé plus tôt (NdlR : on dirait du Google traduction...).”

Après, le bon côté, c'est du sexe cru, qui ne s'embarrasse de chichis. Donc si tu veux du porno de base, c'en est, là t'es pas volé.

Enfin, le problème de titre, c'est qu'il fait très vite le tour du sujet avant de tourner en rond et de virer à la redite.
Lien : https://unkapart.fr/critique..
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Les interdits n°360 : l'employee de maison

jeune veuve sans emploi Lucienne accepte de faire l,employée de maison pour Gérard et Claudia un couple de riches bourgeois.

Claudia va peu à peu assoir sa domination sur sa nouvelle bonne

une fois formée a la soumission Gérard,

va entre en scène et il seront deux a s,

amuser avec elle.

mais la complicité entre les deux femmes va devenir si forte,que c'est lui qui croyait

être le maître, va devenir le jouet des deux

chipies. et qu'il a pas fini d,en baver.

une sympathique histoire de soumission,

domination,ou après avoir été soumise Lucienne a son tour va prendre le dessus.👍
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Les confessions érotiques n°375 : vous parlez..

Delphine et sa soeur martine vivaient en paix.

jusqu'à ce que leur mère

se remarie avec John un

anglais adepte de l,éducation du même nom.

Delphine prendra plaisir

chaque fois qu'elle devra

baissée sa culotte pour se

mettre en position pour

recevoir la fessée.

un livre sensuel et sympathique.
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Au Haras, je servais souvent de monture

Les confessions érotiques de Média 1000, c'est l'entrée de gamme de la littérature pornographique. L'équivalent papier des films X lambda, avec leur scénar qui tient en deux phrases et leurs acteurs pas fichus de jouer la comédie ni d'aligner une ligne de dialogue à peu près juste. Dans ces confessions, on retrouve le même esprit, entre personnages pas développés, style rédactionnel niveau collège, récit enchaînant avec frénésie les scènes de sexe sans un poil d'histoire pour lier l'ensemble.

Celui-ci a la particularité d'être le premier que j'avais acheté, ce qui lui vaut un certain attachement affectif nostalgique. Parce que sinon, niveau littéraire, c'est un zéro pointé. Après, dans ce genre de bouquins, on vient du chercher du cul et il y en a à foison comme à toison, donc le pacte est respecté. On n'en attend pas plus, il n'y a rien de plus à en attendre.

Si on aime l'ambiance des écuries, le foin, les tenues d’équitation, les bottes cavalières, les cravaches et qu'on n'est pas regardant sur la qualité du texte, ce haras propose une virée plutôt fun sur des montures qui aiment cavaler au triple galop.
Lien : https://unkapart.fr/critique..
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J'aimais beaucoup qu'on me retire mes jeans..

Je bien
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Les confessions érotiques n°387 : j'etais une..

J'ai trouvé ce livre fade et très peu excitant. Les scènes de sexe sont trop convenues à mon goût. Il n'y a guère de fantasmes original. Bof...
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